C'est une honte de voir ça toute personne devrait pouvoir vivre dignement mais voilà pourquoi faut pas aller en maisons de retraite la facilité pour éviter trop de travail aux aides soignantes

J'ai été hélas admise aux urgences psychiatriques alors que je n'etais pas suicidaire. On m'a drogué au valium et on m'a attaché avec des sangles de contentions alors que je venais d'être positive au Covid19. Aucun dialogue n'a été possible et j'ai été juste avant violentée par des pompiers à mon domicile et dans le camion de pompiers. L'appel au 15 a été fait de façon volontaire par une personne malveillante dans l'intention de me nuire. Deux ans après je ne m'en suis jamais remise. Jamais ! Je dénonce toutes ces pratiques ignobles de la part du système hospitalier où l'humain n'existe plus. Pardon la dernière option ? Moi je n'ai pas mérité cela, ni suicidaire, ni bipolaire, j'étais bien chez moi, j'ai été dénoncée par un pervers qui a appelé le 15. Les pompiers m'ont traîné au sol sur 30 mètres, j'ai été violentée dans le camion de pompier. Je travaille, je m'occupe de mon foyer, je suis quelqu'un de bien, on m'a violentée de façon injuste. Aujourd'hui je suis en dépression depuis deux ans à cause des pompiers et des hôpitaux. Aucun dialogue possible !!!!

Si le patient a envie de se gratter, ce n'est pas possible il est attaché!🤔

bande de barbarie

À tous les patients, demandez vos dossiers médicaux,il existe des lettres types relatives à ce sujet sur Internet car il faut mentionner dans la dite lettre un article de loi (l'article L 1111-7 du code de la santé publique). De plus, demandez impérativement vos feuilles de consentement éclairé (qui n'existent pas !), vous pourrez ainsi démontrer qu'aucune information claire et loyale concernant les effets secondaires fréquents des traitements psychotropes ne vous a été communiqué (je rappelle qu'un défaut d'information constitue une faute medicale).Si vous voulez agir en justice, rapprochez vous des associations d'aide aux victimes d'abus psychiatrique.