La leçon ici , il ne faut pas douté quand nous sommes avec Dieu
@LeonardDounamou2 ай бұрын
que le seigneur continue à vous bénir abondamment
@laurencelecole22882 ай бұрын
C'est merveilleux j'aimerais que le monde voit la puissance de Dieu de Jésus et st marie car beaucoup sont aveugler par l'argent au lieu d'être humble doux repentant s'aimer au lieu de faire la guerre merci pour ce reportage 🙏🌹
@777-f1c2 ай бұрын
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@777-f1c2 ай бұрын
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@JimmyGahungu2 ай бұрын
Continuer de proclamer le salut en Jésus Christ partout dans le monde
@EraMarea2 ай бұрын
Seigneur merci pour les bénédictions que tu nous donnes en ces derniers jours
@shaddouida34472 ай бұрын
Les enfants dans la Bible Dans l’Ancien Testament, l’enfant est un don et une bénédiction. Mais son éducation est exigeante et sévère. Jésus, lui, accueille les petits avec bienveillance, il voit en eux un modèle d’humilité et de dépouillement spirituel. Reflet de la société de l’époque, les enfants n’apparaissent que peu souvent ; la plupart des mentions concernent les nouveau-nés ou les jeunes enfants appelés à jouer un grand rôle. Il en va ainsi du fameux passage du Livre de l’Exode (2, 1-10) où le petit Moïse est sauvé des eaux par la fille de Pharaon. « Il est certain que l’enfant est considéré comme une bénédiction de Dieu », souligne Mgr Pierre Debergé, membre de la Commission biblique pontificale et directeur au Séminaire français de Rome. « Ils sont nécessaires pour la survie du clan, d’autant que la mortalité infantile est très forte. » Au contraire, l’expérience de la stérilité est vécue comme un drame et parfois comme une malédiction, à l’image de Rachel dans le Livre de la Genèse ou Anne dans le Premier Livre de Samuel. Si l’enfant est une bénédiction et un don, il est loin d’être l’enfant-roi, que l’on décrit souvent dans notre société actuelle. Dans la Bible, l’éducation, parfois sévère, des enfants, prend une place très particulière : « Le plus grand don que l’on peut faire aux enfants, c’est de les éduquer, insiste Mgr Pierre Debergé. Les parents se doivent de donner des conseils à leurs enfants qui se doivent de les écouter. » Pour illustrer son propos, le théologien cite par exemple un passage du Livre des Proverbes (1, 8-9) : « Écoute, mon fils, les leçons de ton père, ne néglige pas l’enseignement de ta mère : c’est comme une couronne de grâce sur ta tête, un collier à ton cou. » Fondamentale, l’éducation est avant tout la connaissance de Dieu et de la Torah. Un apprentissage qui peut aussi être fait de corrections, dont le bâton est l’un des symboles. « Qui ménage sa trique n’aime pas son fils, qui l’aime vraiment veille à le corriger », est-il écrit, témoignant d’une certaine rudesse, dans le Livre des Proverbes (13, 24). Une idée que l’on retrouve dans le Livre de Ben Sira le Sage (30, 1) : « Qui aime son fils lui donne souvent le fouet, pour qu’il fasse, plus tard, sa joie. » Cette éducation intransigeante se veut à l’image de l’amour de Dieu : « Car le Seigneur reprend celui qu’il aime, comme fait un père pour le fils qu’il chérit » (Proverbes 3, 12). Comment la Bible conçoit-elle l’enfance ? « Dans l’Ancien comme dans le Nouveau Testament, l’enfant est perçu comme une personne incomplète qui n’a pas d’indépendance ni d’autonomie », observe Valérie Nicolet, maîtresse de conférences en Nouveau Testament et doyenne de la faculté de Paris de l’Institut protestant de théologie. « Ce n’est qu’après sa Bar Mitzvah par exemple, qu’il se doit de respecter les commandements de Dieu. Cela correspond au contexte social de l’époque qui est très différent du nôtre où les enfants sont reconnus à part entière, possèdent une part de responsabilité et peuvent exprimer des opinions. » Dans la Bible, l’enfant a surtout des devoirs envers ses parents. Il se doit de respecter le grand commandement du Deutéronome : « Honore ton père et ta mère, comme te l’a ordonné le Seigneur ton Dieu, afin d’avoir longue vie et bonheur sur la terre que te donne le Seigneur ton Dieu » (5, 16). « C’est le seul commandement positif de la Bible », appuie Mgr Pierre Debergé. Sur la conception de l’enfance, le regard du Nouveau Testament se situe, à bien des égards, dans la lignée de l’Ancien, notamment en ce qui concerne les Épîtres de Paul, comme dans la Lettre aux Éphésiens : « Vous, les enfants, obéissez à vos parents dans le Seigneur, car c’est cela qui est juste : Honore ton père et ta mère, c’est le premier commandement qui soit assorti d’une promesse : ainsi tu seras heureux et tu auras longue vie sur la terre » (6, 1-3). « Mais il y a une forme d’équilibre car, dans les versets suivants, les parents sont appelés à ne pas pousser leurs enfants à la colère ou à ne pas les exaspérer selon un passage assez similaire de la Lettre aux Colossiens », complète Mgr Debergé. Paul utilise parfois l’image de l’enfant pour exprimer l’inconstance et l’immaturité, comme dans la Première Lettre aux Corinthiens : « Quand j’étais petit enfant, je parlais comme un enfant, je pensais comme un enfant, je raisonnais comme un enfant. Maintenant que je suis un homme, j’ai dépassé ce qui était propre à l’enfant » (1 Co 13, 11). Jésus, Dieu fait nourrisson, opère-t-il une révolution dans la conception de l’enfant ? « Le renversement, c’est le fait même de Noël : le Fils de Dieu se fait enfant, symbole de dépossession radicale et de faiblesse, qui bouleverse les images de Dieu », explique Mgr Pierre Debergé. La gloire de Dieu se manifeste dans l’humilité la plus totale et l’incapacité à se défendre, comme l’illustre le massacre des Saints Innocents. Devenu adulte, Jésus utilise à plusieurs reprises la symbolique de l’enfant dans son enseignement. Dans l’Évangile selon saint Marc (10, 13-16) - mais aussi celui de saint Luc (18, 16-17) - il rabroue les disciples qui empêchent les enfants de venir le voir. Selon eux, les enfants ne peuvent pas importuner le maître. Mais Jésus les accueille et les considère, ce qui est notable dans l’environnement culturel de l’époque. Toutefois, selon Valérie Nicolet, cette attention ne signifie pas pour autant que les enfants occupaient une place particulière dans l’entourage de Jésus. Plus surprenant encore, il les érige en modèle en affirmant que « celui qui n’accueille pas le royaume de Dieu à la manière d’un enfant n’y entrera pas » (Mc 10, 15). « Le dernier de la société, le plus faible, dans une dépendance totale, devient ainsi le premier, l’exemple de la manière dont nous devons nous situer, dans la confiance, renonçant à toute maîtrise, analyse Mgr Pierre Debergé. C’est une vraie nouveauté, surtout au sein d’une société hiérarchisée où l’enfant est relégué au second plan. » L’enfant représente ici tous les petits, les fragiles, les pauvres. Il est aussi l’image de l’humilité pour rappeler aux disciples de ne pas chercher à être le plus grand. « L’enfant dans sa dépendance et sa petitesse renvoie à ce que nous sommes, c’est-à-dire des enfants de Dieu, poursuit Mgr Pierre Debergé. Il nous indique le chemin spirituel du dépouillement. A LIRE AUSSI → Qu’est-ce qu’être père dans la Bible ? → La mère dans la Bible
@shaddouida34472 ай бұрын
La création du monde dans la Bible Dans la Genèse, Dieu crée le monde en six jours. Au commencement, Dieu créa les cieux et la terre. La terre était informe et vide : il y avait des ténèbres à la surface de l’abîme, et l’esprit de Dieu se mouvait au-dessus des eaux. Dieu dit : Que la lumière soit ! Et la lumière fut. Dieu vit que la lumière était bonne ; et Dieu sépara la lumière d’avec les ténèbres. Dieu appela la lumière jour, et il appela les ténèbres nuit. Ainsi, il y eut un soir, et il y eut un matin : ce fut le premier jour. Dieu dit : Qu’il y ait une étendue entre les eaux, et qu’elle sépare les eaux d’avec les eaux. Et Dieu fit l’étendue, et il sépara les eaux qui sont au-dessous de l’étendue d’avec les eaux qui sont au-dessus de l’étendue. Et cela fut ainsi. Dieu appela l’étendue ciel. Ainsi, il y eut un soir, et il y eut un matin : ce fut le second jour. Dieu dit : Que les eaux qui sont au-dessous du ciel se rassemblent en un seul lieu, et que le sec paraisse. Et cela fut ainsi. Dieu appela le sec terre, et il appela l’amas des eaux mers. Dieu vit que cela était bon. Puis Dieu dit : Que la terre produise de la verdure, de l’herbe portant de la semence, des arbres fruitiers donnant du fruit selon leur espèce et ayant en eux leur semence sur la terre. Et cela fut ainsi. La terre produisit de la verdure, de l’herbe portant de la semence selon son espèce, et des arbres donnant du fruit et ayant en eux leur semence selon leur espèce. Dieu vit que cela était bon. Ainsi, il y eut un soir, et il y eut un matin : ce fut le troisième jour. Dieu dit : Qu’il y ait des luminaires dans l’étendue du ciel, pour séparer le jour d’avec la nuit ; que ce soient des signes pour marquer les époques, les jours et les années ; et qu’ils servent de luminaires dans l’étendue du ciel, pour éclairer la terre. Et cela fut ainsi. Dieu fit les deux grands luminaires, le plus grand luminaire pour présider au jour, et le plus petit luminaire pour présider à la nuit ; il fit aussi les étoiles. Dieu les plaça dans l’étendue du ciel, pour éclairer la terre, pour présider au jour et à la nuit, et pour séparer la lumière d’avec les ténèbres. Dieu vit que cela était bon. Ainsi, il y eut un soir, et il y eut un matin : ce fut le quatrième jour. Dieu dit : Que les eaux produisent en abondance des animaux vivants, et que des oiseaux volent sur la terre vers l’étendue du ciel. Dieu créa les grands poissons et tous les animaux vivants qui se meuvent, et que les eaux produisirent en abondance selon leur espèce ; il créa aussi tout oiseau ailé selon son espèce. Dieu vit que cela était bon. Dieu les bénit, en disant : Soyez féconds, multipliez, et remplissez les eaux des mers ; et que les oiseaux multiplient sur la terre. Ainsi, il y eut un soir, et il y eut un matin : ce fut le cinquième jour. Dieu dit : Que la terre produise des animaux vivants selon leur espèce, du bétail, des reptiles et des animaux terrestres, selon leur espèce. Et cela fut ainsi. Dieu fit les animaux de la terre selon leur espèce, le bétail selon son espèce, et tous les reptiles de la terre selon leur espèce. Dieu vit que cela était bon. Puis Dieu dit : Faisons l’homme à notre image, selon notre ressemblance, et qu’il domine sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, sur le bétail, sur toute la terre, et sur tous les reptiles qui rampent sur la terre. Dieu créa l’homme à son image, il le créa à l’image de Dieu, il créa l’homme et la femme. Dieu les bénit, et Dieu leur dit : Soyez féconds, multipliez, remplissez la terre, et l’assujettissez ; et dominez sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, et sur tout animal qui se meut sur la terre. Et Dieu dit : Voici, je vous donne toute herbe portant de la semence et qui est à la surface de toute la terre, et tout arbre ayant en lui du fruit d’arbre et portant de la semence : ce sera votre nourriture. Et à tout animal de la terre, à tout oiseau du ciel, et à tout ce qui se meut sur la terre, ayant en soi un souffle de vie, je donne toute herbe verte pour nourriture. Et cela fut ainsi. Dieu vit tout ce qu’il avait fait et voici, cela était très bon. Ainsi, il y eut un soir, et il y eut un matin : ce fut le sixième jour.
@PierreMartius2 ай бұрын
On a cruellement besoin d'un nouveau Capitaine Moroni, pour lutter contre le terrorisme islamiste...
@gedeonkitoko-k9i2 ай бұрын
merci pour les enseignements
@MelineAGbodjan2 ай бұрын
Enterré nos armes de rébellion
@shaddouida34472 ай бұрын
Les enfants dans la Bible Dans l’Ancien Testament, l’enfant est un don et une bénédiction. Mais son éducation est exigeante et sévère. Jésus, lui, accueille les petits avec bienveillance, il voit en eux un modèle d’humilité et de dépouillement spirituel. Reflet de la société de l’époque, les enfants n’apparaissent que peu souvent ; la plupart des mentions concernent les nouveau-nés ou les jeunes enfants appelés à jouer un grand rôle. Il en va ainsi du fameux passage du Livre de l’Exode (2, 1-10) où le petit Moïse est sauvé des eaux par la fille de Pharaon. « Il est certain que l’enfant est considéré comme une bénédiction de Dieu », souligne Mgr Pierre Debergé, membre de la Commission biblique pontificale et directeur au Séminaire français de Rome. « Ils sont nécessaires pour la survie du clan, d’autant que la mortalité infantile est très forte. » Au contraire, l’expérience de la stérilité est vécue comme un drame et parfois comme une malédiction, à l’image de Rachel dans le Livre de la Genèse ou Anne dans le Premier Livre de Samuel. Si l’enfant est une bénédiction et un don, il est loin d’être l’enfant-roi, que l’on décrit souvent dans notre société actuelle. Dans la Bible, l’éducation, parfois sévère, des enfants, prend une place très particulière : « Le plus grand don que l’on peut faire aux enfants, c’est de les éduquer, insiste Mgr Pierre Debergé. Les parents se doivent de donner des conseils à leurs enfants qui se doivent de les écouter. » Pour illustrer son propos, le théologien cite par exemple un passage du Livre des Proverbes (1, 8-9) : « Écoute, mon fils, les leçons de ton père, ne néglige pas l’enseignement de ta mère : c’est comme une couronne de grâce sur ta tête, un collier à ton cou. » Fondamentale, l’éducation est avant tout la connaissance de Dieu et de la Torah. Un apprentissage qui peut aussi être fait de corrections, dont le bâton est l’un des symboles. « Qui ménage sa trique n’aime pas son fils, qui l’aime vraiment veille à le corriger », est-il écrit, témoignant d’une certaine rudesse, dans le Livre des Proverbes (13, 24). Une idée que l’on retrouve dans le Livre de Ben Sira le Sage (30, 1) : « Qui aime son fils lui donne souvent le fouet, pour qu’il fasse, plus tard, sa joie. » Cette éducation intransigeante se veut à l’image de l’amour de Dieu : « Car le Seigneur reprend celui qu’il aime, comme fait un père pour le fils qu’il chérit » (Proverbes 3, 12). Comment la Bible conçoit-elle l’enfance ? « Dans l’Ancien comme dans le Nouveau Testament, l’enfant est perçu comme une personne incomplète qui n’a pas d’indépendance ni d’autonomie », observe Valérie Nicolet, maîtresse de conférences en Nouveau Testament et doyenne de la faculté de Paris de l’Institut protestant de théologie. « Ce n’est qu’après sa Bar Mitzvah par exemple, qu’il se doit de respecter les commandements de Dieu. Cela correspond au contexte social de l’époque qui est très différent du nôtre où les enfants sont reconnus à part entière, possèdent une part de responsabilité et peuvent exprimer des opinions. » Dans la Bible, l’enfant a surtout des devoirs envers ses parents. Il se doit de respecter le grand commandement du Deutéronome : « Honore ton père et ta mère, comme te l’a ordonné le Seigneur ton Dieu, afin d’avoir longue vie et bonheur sur la terre que te donne le Seigneur ton Dieu » (5, 16). « C’est le seul commandement positif de la Bible », appuie Mgr Pierre Debergé. Sur la conception de l’enfance, le regard du Nouveau Testament se situe, à bien des égards, dans la lignée de l’Ancien, notamment en ce qui concerne les Épîtres de Paul, comme dans la Lettre aux Éphésiens : « Vous, les enfants, obéissez à vos parents dans le Seigneur, car c’est cela qui est juste : Honore ton père et ta mère, c’est le premier commandement qui soit assorti d’une promesse : ainsi tu seras heureux et tu auras longue vie sur la terre » (6, 1-3). « Mais il y a une forme d’équilibre car, dans les versets suivants, les parents sont appelés à ne pas pousser leurs enfants à la colère ou à ne pas les exaspérer selon un passage assez similaire de la Lettre aux Colossiens », complète Mgr Debergé. Paul utilise parfois l’image de l’enfant pour exprimer l’inconstance et l’immaturité, comme dans la Première Lettre aux Corinthiens : « Quand j’étais petit enfant, je parlais comme un enfant, je pensais comme un enfant, je raisonnais comme un enfant. Maintenant que je suis un homme, j’ai dépassé ce qui était propre à l’enfant » (1 Co 13, 11). Jésus, Dieu fait nourrisson, opère-t-il une révolution dans la conception de l’enfant ? « Le renversement, c’est le fait même de Noël : le Fils de Dieu se fait enfant, symbole de dépossession radicale et de faiblesse, qui bouleverse les images de Dieu », explique Mgr Pierre Debergé. La gloire de Dieu se manifeste dans l’humilité la plus totale et l’incapacité à se défendre, comme l’illustre le massacre des Saints Innocents. Devenu adulte, Jésus utilise à plusieurs reprises la symbolique de l’enfant dans son enseignement. Dans l’Évangile selon saint Marc (10, 13-16) - mais aussi celui de saint Luc (18, 16-17) - il rabroue les disciples qui empêchent les enfants de venir le voir. Selon eux, les enfants ne peuvent pas importuner le maître. Mais Jésus les accueille et les considère, ce qui est notable dans l’environnement culturel de l’époque. Toutefois, selon Valérie Nicolet, cette attention ne signifie pas pour autant que les enfants occupaient une place particulière dans l’entourage de Jésus. Plus surprenant encore, il les érige en modèle en affirmant que « celui qui n’accueille pas le royaume de Dieu à la manière d’un enfant n’y entrera pas » (Mc 10, 15). « Le dernier de la société, le plus faible, dans une dépendance totale, devient ainsi le premier, l’exemple de la manière dont nous devons nous situer, dans la confiance, renonçant à toute maîtrise, analyse Mgr Pierre Debergé. C’est une vraie nouveauté, surtout au sein d’une société hiérarchisée où l’enfant est relégué au second plan. » L’enfant représente ici tous les petits, les fragiles, les pauvres. Il est aussi l’image de l’humilité pour rappeler aux disciples de ne pas chercher à être le plus grand. « L’enfant dans sa dépendance et sa petitesse renvoie à ce que nous sommes, c’est-à-dire des enfants de Dieu, poursuit Mgr Pierre Debergé. Il nous indique le chemin spirituel du dépouillement. A LIRE AUSSI → Qu’est-ce qu’être père dans la Bible ? → La mère dans la Bible
@shaddouida34472 ай бұрын
La création du monde dans la Bible Dans la Genèse, Dieu crée le monde en six jours. Au commencement, Dieu créa les cieux et la terre. La terre était informe et vide : il y avait des ténèbres à la surface de l’abîme, et l’esprit de Dieu se mouvait au-dessus des eaux. Dieu dit : Que la lumière soit ! Et la lumière fut. Dieu vit que la lumière était bonne ; et Dieu sépara la lumière d’avec les ténèbres. Dieu appela la lumière jour, et il appela les ténèbres nuit. Ainsi, il y eut un soir, et il y eut un matin : ce fut le premier jour. Dieu dit : Qu’il y ait une étendue entre les eaux, et qu’elle sépare les eaux d’avec les eaux. Et Dieu fit l’étendue, et il sépara les eaux qui sont au-dessous de l’étendue d’avec les eaux qui sont au-dessus de l’étendue. Et cela fut ainsi. Dieu appela l’étendue ciel. Ainsi, il y eut un soir, et il y eut un matin : ce fut le second jour. Dieu dit : Que les eaux qui sont au-dessous du ciel se rassemblent en un seul lieu, et que le sec paraisse. Et cela fut ainsi. Dieu appela le sec terre, et il appela l’amas des eaux mers. Dieu vit que cela était bon. Puis Dieu dit : Que la terre produise de la verdure, de l’herbe portant de la semence, des arbres fruitiers donnant du fruit selon leur espèce et ayant en eux leur semence sur la terre. Et cela fut ainsi. La terre produisit de la verdure, de l’herbe portant de la semence selon son espèce, et des arbres donnant du fruit et ayant en eux leur semence selon leur espèce. Dieu vit que cela était bon. Ainsi, il y eut un soir, et il y eut un matin : ce fut le troisième jour. Dieu dit : Qu’il y ait des luminaires dans l’étendue du ciel, pour séparer le jour d’avec la nuit ; que ce soient des signes pour marquer les époques, les jours et les années ; et qu’ils servent de luminaires dans l’étendue du ciel, pour éclairer la terre. Et cela fut ainsi. Dieu fit les deux grands luminaires, le plus grand luminaire pour présider au jour, et le plus petit luminaire pour présider à la nuit ; il fit aussi les étoiles. Dieu les plaça dans l’étendue du ciel, pour éclairer la terre, pour présider au jour et à la nuit, et pour séparer la lumière d’avec les ténèbres. Dieu vit que cela était bon. Ainsi, il y eut un soir, et il y eut un matin : ce fut le quatrième jour. Dieu dit : Que les eaux produisent en abondance des animaux vivants, et que des oiseaux volent sur la terre vers l’étendue du ciel. Dieu créa les grands poissons et tous les animaux vivants qui se meuvent, et que les eaux produisirent en abondance selon leur espèce ; il créa aussi tout oiseau ailé selon son espèce. Dieu vit que cela était bon. Dieu les bénit, en disant : Soyez féconds, multipliez, et remplissez les eaux des mers ; et que les oiseaux multiplient sur la terre. Ainsi, il y eut un soir, et il y eut un matin : ce fut le cinquième jour. Dieu dit : Que la terre produise des animaux vivants selon leur espèce, du bétail, des reptiles et des animaux terrestres, selon leur espèce. Et cela fut ainsi. Dieu fit les animaux de la terre selon leur espèce, le bétail selon son espèce, et tous les reptiles de la terre selon leur espèce. Dieu vit que cela était bon. Puis Dieu dit : Faisons l’homme à notre image, selon notre ressemblance, et qu’il domine sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, sur le bétail, sur toute la terre, et sur tous les reptiles qui rampent sur la terre. Dieu créa l’homme à son image, il le créa à l’image de Dieu, il créa l’homme et la femme. Dieu les bénit, et Dieu leur dit : Soyez féconds, multipliez, remplissez la terre, et l’assujettissez ; et dominez sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, et sur tout animal qui se meut sur la terre. Et Dieu dit : Voici, je vous donne toute herbe portant de la semence et qui est à la surface de toute la terre, et tout arbre ayant en lui du fruit d’arbre et portant de la semence : ce sera votre nourriture. Et à tout animal de la terre, à tout oiseau du ciel, et à tout ce qui se meut sur la terre, ayant en soi un souffle de vie, je donne toute herbe verte pour nourriture. Et cela fut ainsi. Dieu vit tout ce qu’il avait fait et voici, cela était très bon. Ainsi, il y eut un soir, et il y eut un matin : ce fut le sixième jour.
@inamahe35522 ай бұрын
❤❤❤Dieu a le pouvoir de changer le cœur des hommes et c'est par l'exemple que nous pouvons aider nos frères qui ne sont pas dans le Christ à aller au christ. Il a tellement d'enseignement dans les chapitres d'Alma qui me touchent vraiment. ❤❤❤
@michelinebrouard53112 ай бұрын
😢dieu saint dieu fort dieu éternel prend pitié de nous et du monde entier. Soyez tous béni en sont nom amen 😇🙏😥🇨🇵🕊
@martialebalou3822 ай бұрын
"Il y a tant à attendre de l’avenir ! Le Seigneur vous a placé[s] ici et maintenant parce qu’il savait que vous aviez la capacité de triompher des difficultés de la dernière partie de ces derniers jours. Il savait que vous mesureriez la grandeur de son œuvre et que vous seriez désireu[x] de participer à sa réalisation. Je ne dis pas que les jours à venir seront faciles, mais je vous promets que l’avenir sera glorieux pour les personnes qui sont préparées et qui continuent de se préparer à être des instruments entre les mains du Seigneur." Prophète Russell M Nelson
@ElyseeNocturne2 ай бұрын
Ils ressemblent à Indiens d'Amérique autres que les gens d'ammon
@delphinemariechantalfavier97202 ай бұрын
Amen 🙏,gloire honneur, louange à L'ÉTERNEL d.ieu VIVANT en notre SEIGNEUR Jésus christ 🙏💞🕊
@schuhmacerluise2 ай бұрын
Coeur ❤
@schuhmacerluise2 ай бұрын
Super ❤
@schuhmacerluise2 ай бұрын
Super ❤
@shaddouida34472 ай бұрын
Au commencement, Dieu créa les cieux et la terre. La terre était informe et vide : il y avait des ténèbres à la surface de l’abîme, et l’esprit de Dieu se mouvait au-dessus des eaux. Dieu dit : Que la lumière soit ! Et la lumière fut. Dieu vit que la lumière était bonne ; et Dieu sépara la lumière d’avec les ténèbres. Dieu appela la lumière jour, et il appela les ténèbres nuit. Ainsi, il y eut un soir, et il y eut un matin : ce fut le premier jour. Dieu dit : Qu’il y ait une étendue entre les eaux, et qu’elle sépare les eaux d’avec les eaux. Et Dieu fit l’étendue, et il sépara les eaux qui sont au-dessous de l’étendue d’avec les eaux qui sont au-dessus de l’étendue. Et cela fut ainsi. Dieu appela l’étendue ciel. Ainsi, il y eut un soir, et il y eut un matin : ce fut le second jour. Dieu dit : Que les eaux qui sont au-dessous du ciel se rassemblent en un seul lieu, et que le sec paraisse. Et cela fut ainsi. Dieu appela le sec terre, et il appela l’amas des eaux mers. Dieu vit que cela était bon. Puis Dieu dit : Que la terre produise de la verdure, de l’herbe portant de la semence, des arbres fruitiers donnant du fruit selon leur espèce et ayant en eux leur semence sur la terre. Et cela fut ainsi. La terre produisit de la verdure, de l’herbe portant de la semence selon son espèce, et des arbres donnant du fruit et ayant en eux leur semence selon leur espèce. Dieu vit que cela était bon. Ainsi, il y eut un soir, et il y eut un matin : ce fut le troisième jour. Dieu dit : Qu’il y ait des luminaires dans l’étendue du ciel, pour séparer le jour d’avec la nuit ; que ce soient des signes pour marquer les époques, les jours et les années ; et qu’ils servent de luminaires dans l’étendue du ciel, pour éclairer la terre. Et cela fut ainsi. Dieu fit les deux grands luminaires, le plus grand luminaire pour présider au jour, et le plus petit luminaire pour présider à la nuit ; il fit aussi les étoiles. Dieu les plaça dans l’étendue du ciel, pour éclairer la terre, pour présider au jour et à la nuit, et pour séparer la lumière d’avec les ténèbres. Dieu vit que cela était bon. Ainsi, il y eut un soir, et il y eut un matin : ce fut le quatrième jour. Dieu dit : Que les eaux produisent en abondance des animaux vivants, et que des oiseaux volent sur la terre vers l’étendue du ciel. Dieu créa les grands poissons et tous les animaux vivants qui se meuvent, et que les eaux produisirent en abondance selon leur espèce ; il créa aussi tout oiseau ailé selon son espèce. Dieu vit que cela était bon. Dieu les bénit, en disant : Soyez féconds, multipliez, et remplissez les eaux des mers ; et que les oiseaux multiplient sur la terre. Ainsi, il y eut un soir, et il y eut un matin : ce fut le cinquième jour. Dieu dit : Que la terre produise des animaux vivants selon leur espèce, du bétail, des reptiles et des animaux terrestres, selon leur espèce. Et cela fut ainsi. Dieu fit les animaux de la terre selon leur espèce, le bétail selon son espèce, et tous les reptiles de la terre selon leur espèce. Dieu vit que cela était bon. Puis Dieu dit : Faisons l’homme à notre image, selon notre ressemblance, et qu’il domine sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, sur le bétail, sur toute la terre, et sur tous les reptiles qui rampent sur la terre. Dieu créa l’homme à son image, il le créa à l’image de Dieu, il créa l’homme et la femme. Dieu les bénit, et Dieu leur dit : Soyez féconds, multipliez, remplissez la terre, et l’assujettissez ; et dominez sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, et sur tout animal qui se meut sur la terre. Et Dieu dit : Voici, je vous donne toute herbe portant de la semence et qui est à la surface de toute la terre, et tout arbre ayant en lui du fruit d’arbre et portant de la semence : ce sera votre nourriture. Et à tout animal de la terre, à tout oiseau du ciel, et à tout ce qui se meut sur la terre, ayant en soi un souffle de vie, je donne toute herbe verte pour nourriture. Et cela fut ainsi. Dieu vit tout ce qu’il avait fait et voici, cela était très bon. Ainsi, il y eut un soir, et il y eut un matin : ce fut le sixième jour.