Point de vue d’un spectateur « 10 000 images, la fabrique du journal filmé », raconte le hors champ du journal filmé. Un texte passionnant sur la pratique d’un genre cinématographique peu connu ; le journal filmé est un champ d’exploration sans limites. Imperceptiblement depuis plusieurs épisodes le journal filmé change de cap, déstabilisant le spectateur. Le journal filmé vit et oblige le spectateur à se remettre continuellement en question.
@arnauddelaCotte7 күн бұрын
Merci Jean-Jacques. j'avance un peu à l'aveugle dans le Journal filmé sans toujours trop savoir où je vais. Je découvre en même temps que vous. Vos commentaires éclairent ma lanterne.
@annedejardin72336 күн бұрын
Étrange, je viens de relire la fin de votre livre et du coup aussi la postface de François Bon qu'on aperçoit ici...
@arnauddelaCotte6 күн бұрын
@@annedejardin7233 Merci, j'aime beaucoup ces croisements entre film et quotidien des regardeuses et regardeurs que produit le Journal filmé. Et heureux de savoir que le livre poursuit sa route.
@Elina-mn2mu9 күн бұрын
Bonjour, je suis actuellement dans la rédaction de mon mémoire de fin d'étude en cinéma. J'ai décidé de parler du journal filmé et du film de famille, une chose qui me tient grandement à cœur et que je pratique depuis toute petite. Vous êtes parmi mes références et au delà de cela, une source d'inspiration qui me pousse à continuer de créer. Merci !
@arnauddelaCotte9 күн бұрын
Merci à vous, votre message me réconforte. Je suis très touché. J'ai également publié un livre aux éditions joca seria "10000 images, la pratique du Journal filmé". Je me tiens à votre disposition pour échanger sur nos approches et je serais très intéressé par la lecture de votre mémoire.
@Elina-mn2mu9 күн бұрын
@@arnauddelaCotte C'est grâce à votre livre que je vous ai découvert, au détour d'une allée de la bibliothèque François Truffaut à Paris! J'aimerais beaucoup échanger aussi sur votre approche, je n'ai jamais eu l'occasion d'en discuter avec quelqu'un qui pratique le journal filmé, cela peut aussi être enrichissant pour mon mémoire. Avez vous une adresse mail ou lien pour communiquer ?
@arnauddelaCotte9 күн бұрын
@@Elina-mn2mu Heureux de savoir que le livre circule. Je serai ravi d'échanger avec vous. C'est important pour moi. Pour me contacter, vous pouvez passer par Facebook (à mon nom) je pourrais vous donner mon adresse mail en MP ou Instagram : arnauddelacotte.
@Elina-mn2mu9 күн бұрын
@@arnauddelaCotte message envoyé !
@gerardcourant299122 күн бұрын
Qui a dit qu'Arnaud de la Cotte était une bonne pâte ?
@StewenCorvezАй бұрын
Filmer le filme...
@jean-jacques-reveries1176Ай бұрын
À propos du chat, figure familière du journal filmé… J’avais été surpris de voir, dans l’épisode 180, le chat dans le couloir et surtout de voir son nom « créditer au générique », son nom qui n’avait jamais, je crois, été dit avant. Il a aussi été filmé faisant une sieste dans un des épisodes suivants. La disparition du chat, il y a quelques semaines, modifie sa place dans le journal filmé. De silhouette familière il devient un personnage à part entière.
@arnauddelaCotteАй бұрын
Merci Jean-Jacques, oui sa disparition fait de lui un personnage. Dorénavant, je garderai tous les plans dans lesquels il apparaît.
2 ай бұрын
Toujours aussi chouette ton journal, et merci pour ce que dit Jean-Luc Godard à Jean Douchet à propos du cinéma !
@arnauddelaCotte2 ай бұрын
Merci à toi.
@morganeee_32252 ай бұрын
Je suis tombée sur cette petite vidéo par hasard et je trouve le format très chouette, c'est simple et authentique, j'adore! Le travail de Bérénice est magnifique, courage à elle pour son cursus 😊
@arnauddelaCotte2 ай бұрын
Merci à vous, très touché. Je transmets le message.
@jean-jacques-reveries11762 ай бұрын
J'aime la revue de presse d'Ouest-France. Elle doit être entrée dans l'épisode 373. Les fuseaux que Bérénice croisent racontent le présent du journal ou le présent de la voie off, aux spectateurs de démêler ces espaces temps.
@arnauddelaCotte2 ай бұрын
Finalement, il y a peut-être une sorte d'analogie entre le travail du filmeur et celui de la dentellière. Merci.
@valentinvanderkelen60512 ай бұрын
Qu’est-ce que c’est que cette vidéo ????
@arnauddelaCotte2 ай бұрын
C'est un épisode de mon Journal filmé.
@presneau3 ай бұрын
Pierre Aiguë. Magnifique. Certains arbres filmés ici les pieds dans l'eau sont depuis couchés par une tempête.
@jean-jacques-reveries11763 ай бұрын
Souvent je parle de votre journal filmé dans mon entourage. Je ne sais pas si certain regardent des épisodes ; récemment j’ai reçu un texto d’un ami se rendant à Nantes en avion. Il y avait une photographie d’un lac vu du ciel et ces mots « Le lac de la Cotte » …
@arnauddelaCotte3 ай бұрын
Merci pour cette histoire incroyable.
@presneau3 ай бұрын
Ce lac, j'en parcours les rives depuis plus de 25 ans. Je caresse encore l'espoir d'une virée en bateau (hors 15 août.) Le journal filmé est ici une petite fenêtre sur l'inaccessible.
@adrienmeignan3853 ай бұрын
Cette beauté de l'imprésence du lac
@fbon3 ай бұрын
beau chemin d'image
@fbon4 ай бұрын
des fois, moins tu en montres plus beau que c'est ! merci à ton exceptionnelle actrice !
@arnauddelaCotte4 ай бұрын
Merci. Oui B. y est pour beaucoup. C'est quand même son projet. Je n'avais plus qu'a capter.
@adrienmeignan3854 ай бұрын
Magnifique épisode !
@gerardcourant29914 ай бұрын
Quelle aventure !
@jean-jacques-reveries11764 ай бұрын
Lumineux, magique !
@fbon4 ай бұрын
fabuleux Guillaume le racleur frotteur... miss him
@jean-jacques-reveries11764 ай бұрын
Le neige est entrée dans votre journal filmé...
@presneau4 ай бұрын
Le vibrato du U A disparu
@jean-jacques-reveries11764 ай бұрын
Hier, en début de soirée, alors que la projection de l’épisode du journal filmé se terminait, il y avait encore des lueurs et la masse blanche de l’Augstmatthorn se détachait dans un ciel presque noir. Pendant que François et Steven se disputaient pour être le premier à commenter, dans la grande tradition « yotubesque », le nouveau vidéogramme de leur filmeur préféré, j’ai sorti de ma bibliothèque « Souvenirs retrouvés » de Kiki de Montparnasse, publié en 2005 chez José Corti, plus de 50 ans après la mort de Kiki. Le volume côtoie une autre grande dame, « Sarah Bernhardt, la première star du théâtre face aux photographes », paru en 2000 aux Éditions Ides et Calendes, Neuchâtel. Une belle veillée commencée sous le regard de la Grande Bloute et terminée du coté de la Butte.
@StewenCorvez4 ай бұрын
DeuZ !
@fbon4 ай бұрын
prem's
@gerardcourant29915 ай бұрын
Jean Castex, c'est qui ?
@michelbrosseau5 ай бұрын
"l'énergie de filmer"
@presneau5 ай бұрын
Le Collet, Marais de Lyarne. Certainement l'un des lieux que je préfère près de chez nous. Surtout au couchant.
@laurentgivelet86385 ай бұрын
Très belle atmosphère, fantomatique et donc cinématographique.
@gerardcourant29915 ай бұрын
Quelle sérénité malgré la tempête du Covid-19 !
@jean-jacques-reveries11765 ай бұрын
La séquence, un peu mystérieuse, de l’ombre du filmeur arpenteur est belle. J’aime particulièrement le plan furtif de l’ombre « avec chapeau » sur le mur du cimetière. Un épisode qui nous tient en haleine, une ombre, des routes, une épidémie, la musique de Stewen Corvez nous emporte dans cette histoire…
@AnhMat5 ай бұрын
J’ai parfois le sentiment, dans mon manque d’organisation et de régularité, qu’il m’arrive de monter des videoécritures, dans un état se rapprochant du dessin au hasard du lancer de dés… je pioche dans une base d’images non classées ni nommées que je sélectionne à la couleur du thumbnail, sans souci de coherence spatiale ou temporelle… et je colle ensuite le tout… je me reconnais dans la concentration du processus de hasard…
@arnauddelaCotte5 ай бұрын
Merci pour ce retour. Il est si important de poursuivre le dialogue.
@ssgpro16865 ай бұрын
tu as picpler 😂🤣😁
@gerardcourant29916 ай бұрын
Il faudrait que tu ralentisses encore un peu ton rythme de montage pour être raccord avec le décalage d'une élection présidentielle américaine... Pour l'élection de 2028, tu devrais être bon...
@fbon6 ай бұрын
(sans le savoir tu as filmé maison de mes grands-parents paternels de 1965 à 1978, maison qui a bcp compté pour moi)
@arnauddelaCotte6 ай бұрын
Tu me diras dans quel plan.
@fbon6 ай бұрын
la rébellion filiale :-)
@jean-jacques-reveries11766 ай бұрын
Au milieu de cet épisode un plan a été pour moi un choc. Je pense à ce plan depuis dimanche. Pendant des années j'ai pensé que l'interrupteur du volet roulant se situait à droite de la porte fenêtre. Cette fois-ci , l'opération de l'ouverture du volet est présenté en 3 plans. 2 plans attendus et un troisième totalement inédit, inattendu, jamais, j'en suis pratiquement certain, filmé sous cet angle. Vous êtes de dos, en plan américain, en train d'actionner l'interrupteur du volet, je découvre que l'interrupteur est à gauche de la porte fenêtre. Le plan est très beau, on voit au loin la Grande Bloutte.
@arnauddelaCotte6 ай бұрын
Merci, il est vrai que j'entre rarement dans le cadre (ou juste une main ou les pieds...) je pose rarement la caméra. Et je ne l'ai plus refait pour l'ouverture du volet sur le Point de vue. Il est unique, d'où la surprise. La représentation de l'espace dans le JF est de fait une fiction, une reconstruction par le regardeur ou la regardeuse.
@fbon6 ай бұрын
impressionnant la boucle pelleteuse, merci de m'y avoir associé... perturbations temporelles, je pensais ça bien avant les confinations
@arnauddelaCotte6 ай бұрын
Merci à toi.
@gerardcourant29916 ай бұрын
Ce nouvel épisode du "Journal filmé" d'Arnaud de la Cotte nous confirme ce que nous savions déjà : le cinéaste n'hésite pas à se mouiller pour nous faire partager sa folle aventure cinématographique...
@arnauddelaCotte6 ай бұрын
Merci Gérard, j'aime bien l'idée "d'aventure cinématographique".
@gerardcourant29916 ай бұрын
@@arnauddelaCotte C'est l'une des dernières aventures cinématographiques... On a la chance de la vivre (presque) au jour le jour...
@gerardcourant29917 ай бұрын
Heureusement que le filmeur Arnaud de la Cotte existe car son "petit" théâtre cinématographique hebdomadaire nous permet de nous rappeler notre passé, même s'il est très récent !
@gerardcourant29917 ай бұрын
On le savait déjà : Arnaud de la Cotte connaît la musique !
@adrienmeignan3857 ай бұрын
Le journal filmé retrouve son rythme.
@jean-jacques-reveries11767 ай бұрын
La vie d’un spectateur un dimanche de novembre pluvieux. François Bon aura été « la vedette américaine » de ma journée cinématographique/vidéographique. Ce matin j’ai regardé la proposition d’écriture pour son atelier d’écriture : #enfances #05 | Seî Shonagon, émerveillements. En début d’après-midi un vidéogramme d’Yvan Petit, filmé le 16 novembre, nous plonge au cœur d’un autre atelier d’écriture animé par François Bon, avec les participants de l’atelier Journal filmé de l’Université de Tours. En début de soirée, installé dans le salon faiblement éclairé, avec en fond sonore, le rugissement au fond de la vallée du Lombach, gonflé par les pluies, j’ai regardé François Bon lire un extrait d’Où finit la ville, accompagné par Guillaume Ertaud, à la Médiathèque de Bouguenais. Le journal filmé capte des instants de la Résidence d'auteur/e l'Esprit du lieu, puis par une alchimie savante, le journal filmé et son contenu se transforme en livres… J’habite dans la région lémanique de la Suisse, la première librairie francophone est à plus de 60 kilomètres. Vendredi, le facteur à déposé un colis pour moi. Une vingtaine de livres, provision pour l’hiver, parmi lesquels six qui évoquent le journal filmé : «Où finit la ville», «Circum lacustre», «Débordements», «10 000 images la fabrique du journal» et «Un monde sans rivage», «une magie ordinaire». Pour le spectateur, le journal filmé ouvre un champ d’exploration immense, sur le plan cinématographique, littéraire ou esthétique. Le journal filmé est un incessant aller et retour entre le spectateur, le filmeur et le hors champs suggéré.
@fbon7 ай бұрын
merci
@arnauddelaCotte7 ай бұрын
Avec le temps qui passe, j'ai trouvé important de garder cette séquence qui donne un éclairage sur la résidence d'auteur. Le texte à venir d'Anne et Joachim "La Boucle impossible" viendra prolonger cela. J'aime bien l'idée d'une continuité, porosité entre entres nos domaines d'actions.
@laurentgivelet86388 ай бұрын
Le livre de Niney est fondamental. Il en a aussi écrit un qui s'appelle (et le titre est formidable) Le subjectif de l'objectif. Beau dialogue entre l'image et la réflexion sur elle-même.
@arnauddelaCotte8 ай бұрын
Merci Laurent.
@gerardcourant29918 ай бұрын
Arnaud de la Cotte : le maître du Temps...
@gerardcourant29918 ай бұрын
Arnaud de la Cotte : le maître du Temps...
@fbon8 ай бұрын
j'ai reconnu mon carrefour !
@arnauddelaCotte8 ай бұрын
J'y ai bien pensé, c'est là où finit la ville ?
@fbon9 ай бұрын
super rythmes
@arnauddelaCotte9 ай бұрын
Merci François, pas trop le temps ces jours derniers de travailler sur le JF... fallait envoyer.
@fbon9 ай бұрын
@@arnauddelaCotte c'est peut-être ça la recette ! 🙂
@jean-jacques-reveries11769 ай бұрын
Le petit village dans les montagnes Un soir d’octobre 2023 J’ai regardé cet épisode, le 352, du journal filmé dans un état d’esprit « euphorique ». Hier soir, je suis rentré chez moi après une semaine passée dans ma famille. Dans la boîte aux lettres une enveloppe matelassée attendait mon retour. Au dos de l’envoi, une note de l’expéditeur indique que ce colis arrive des environs du Lac de Grand-Lieu. Une belle surprise, le texte du Journal filmé avec une dédicace du filmeur/auteur. Un scénario improbable s’est construit, en quelques minutes. J’ai récupéré le petit paquet dans la boîte aux lettres, pendant que j’ouvrais l’envoi une notification signalait que l’épisode 352 était en ligne. À la fin du film : « ouverture d’un colis reconditionné par La Poste / mains du filmeur / Journal filmé, le texte, tomes 1 et 2 ». J’ai regardé le vidéogramme, une main posée sur la version papier du journal. « Journal filmé, le texte, tome 4, du 18 février 2019 au 16 février 2020, Arnaud de la Cotte, collection Prose de vue ». Sur la 1ère de couverture, l’ombre du filmeur, un extrait du Journal filmé 238, j’ai pensé à Yasujirō Ozu… Merci, Arnaud, je suis très touché. Jean-Jacques
@gerardcourant29919 ай бұрын
Arnaud de la Cotte est un homme heureux : il a retrouvé la boule !