Like tout de même. Je me fais l'avocat du diable de l'avocat du diable.Alors là c'est un comble même la prose n'est plus libre .Conclusion ce n'est plus de la prose mais de la prose titution !? C'est la meilleure ! Manquait plus qu'ça !?? Le parfait écrivain. Surtout rester dans l'moule. Le comble même de la prose, La mettre en vertu de ses titres de noblesse, au garde-à-vous. La réelle jurisprudence n'existe point sur terre. La plume possède plus de valeur au ciel. À ceux qui pointent les vers du doigt, je réponds que la dentelle d'arabesque n'est pas ma tasse de thé. Eût-til fallu plaire ? Que je vous visse sur-le-champ dans les règles de l'établi ? Ou du moins que je le susse sans délai ni manière de catin ? Écrire pour les autres mais sans certains. Viser des certaines en parlant de soi. En Lego de son ego qui ne casse nulle brique. Lubric d'un soir, hybride des lois. Rêver l'innovation, l'inaccessible, biblique de toute fusion. Irréversible de l'action. Parler des fleurs qu'aiment oiseaux ? Du temps qui passe passereaux. D'une virgule en suspension. D'une rime manquante à ma pension. Naïf s'accroche loin des étoiles. En pure strophe devient si pâle. Écharde plantée par le destin inéluctable au poids d'airain. L'absolu de la bourgeoisie chloroformée. Impressionnisme qui te noie. La chlorophylle ce n'est pas moi. Surréaliste qui fait peur. La perspective avortée . Le cubisme fatigué. Écrivaillon de bonne famille qui vient à peine, lâcher trois billes. Se met alors à jouer aux quilles. Formaté par la morale, la bonne nouvelle, la chorale. Conjugaisons fades. Mondaine d'adverbes en transe. S'extasiant loin des absynthes d'abysses, autour d'un verre d'Alexandra. Rien à inventer ou tout à espérer. Vous faites mon ami fausse route ! Ah oui en êtes- vous vraiment certain ? Ce carrefour ne mène nulle part ! Bien ! Peut-être choisir son terrain , loup esseulé dont le cri déchire la nuit ou mouton reconduit dans la tonte de la conciergerie. Bergerie ne trouve sa voie, car ce ne fut qu'au risque d'offusquer. Déballer par exercice de style, ses tripes sur la tablée. " Flic ou ripou". Bourgogne des tripots. Tryptique de la critique. Tryptophane du goulot. Mais alors, qui se charge de ponctuer quoi ? La beauté d'une herbe sauvage ? Béatitude inconsciente au milieu d'un rang terni de tulipes sages. Éternels orages de désespoir. Non je ne suis ni poète ni ébloui ! Mon inspiration quelquefois se puise aux mortes des ténèbres pour en omettre les portes. Cela fait déjà quelques années que j'ai cessé de me poser la question d'être. Plus tard sans doute serai-je ? À l'heure de ma rencontre. Jean-Robert Dray. Cergy. Le 18.04.1993. 23h55. Le 27.09.2024. 20h45.
@alexandrebonnet-terrile771225 күн бұрын
kzbin.info/www/bejne/p2qYiqtprs-EY5I
@garance73074 ай бұрын
C'est très touchant d'écouter une personne aussi sensible et authentique ! Merci
@arthurclerc17225 ай бұрын
faut que vous écoutiez jeune ciel c un poète
@arthurclerc17225 ай бұрын
first
@adelinedetoffoli54835 ай бұрын
Merci pour cet interview
@AlexSaurel7 ай бұрын
Sur les premières secondes avant d’aller plus loin dans l’écoute de la thèse de ce monsieur, je trouve qu’il a la tête d’un homme de gauche, je dirais même d’un homme très à gauche, je continue de regarder
@AlexSaurel7 ай бұрын
Fin de la vidéo, je n’ai pas d’indication puisqu’il ne propose pas de hauteur. Par contre je m’attarde sur le style vestimentaire, la marinière typiquement bobo montmartrois arborant la tenue du pêcheur laborieux breton du début du XXe siècle renforce ma thèse de départ. J’aimerais que le créateur de la vidéo vienne confirmer ou infirmer mon intuition?
@jacquelinesalvin71588 ай бұрын
"Ce qu'il me semble que je puisse changer à peu de frais dans un ouvrage est l'ennemi de mon plaisir, c'est-à-dire l'ennemi de l'ouvrage."
Allez, j'y vais de mes vingt centimes : L'Echo, par François Coppée : J’ai crié dans la solitude : - Mon chagrin sera-t-il moins rude, Un jour, quand je dirai son nom ? Et l’écho m’a répondu : - Non. - Comment vivrai-je, en la détresse Qui m’enveloppe et qui m’oppresse, Comme fait au mort son linceul ? Et l’écho m’a répondu : - Seul ! - Grâce ! le sort est trop sévère ! Mon cœur se révolte ! Que faire Pour en étouffer les rumeurs ? Et l’écho m’a répondu : - Meurs ! ---------- L'Echo Malpoli (revisité par moi) ---------- J’ai crié, face à la montagne : - Pourquoi faut-il que nous éloigne La haine des cieux inféconds ? Et l’écho m’a répondu : - Con ! - Que ne puis-je donc, avec elle, Avide, étreindre de mes ailes Ces pays que l’été parfume ? Et l’écho m’a répondu : - Fume ! - Oh ! Je chanterais sa beauté Et me laisserais emporter Tel Caruso sur l’ultime air de… Mais l’écho m’interrompit : - Merde !
@Serendip98 Жыл бұрын
Arf ! Je viens de me farcir les aventures du commissouille de mes caires, San-Bernardo, par le ci-devant Pierre Chardot, et grandement esbaudi me suis. Bien vu, malgré un loupé fâcheux : "Le Mastar est rouge comme une écrevisse" : ben non, il est rouge comme la Place du même nom ! Sinon, on voit que monsieur est connaisseur, et il y a donc encore des gens qui lisent Frédéric Dard, par ces tristes temps de merdasse woke ? Mais que voilà une good news ! Mince, je vais me sentir obligé de me taper le reste, maintenant.
@nilsvandenesch2982 Жыл бұрын
Thibault est un excellent conseiller littéraire.
@paddyattitude Жыл бұрын
"notre ambition est aussi de créer un espace de dialogue, de débat et de rencontre autour de l’art et de la littérature...." Dès que vous aimez pas un spectacle (et d'ailleurs ce n'est pas le boulot d'un critique que d'exprimer son opinion), vous refusez d'en parler sur votre site internet. Donc si vous parlez que des choses que vous aimez (dont on se fout royalement), où est l'espace de dialogue, de débat et de partage?
@zonecritique11 ай бұрын
Vous répondez à votre propre question. On parle également de ce qui nous déplaît. (zone-critique.com/2023/04/03/ovidie-sa-chair-est-triste-helas-et-jai-lu-tout-son-livre/). Mais pour cela, encore faudrait-il nous lire ! Par ailleurs, c'est un peu naïf de croire que la critique objective existe. Toute critique est située, et il faut au moins préciser d'où l'on parle - ce que nous faisons.
@Radaep1 Жыл бұрын
Clarisse, si naturelle et trés interessante, j'ai hate de lire le livre🎉
@eveguerra14392 жыл бұрын
Allez-vous parler de Paul Gadenne dans la table ronde des grands écrivains oubliés ?
@zonecritique2 жыл бұрын
Nous avons déjà eu l'occasion de lui rendre hommage à travers un article : zone-critique.com/2017/05/18/paul-gadenne/#:~:text=L'%C5%93uvre%20de%20Paul%20Gadenne,que%20Bernanos%20donnait%20%C3%A0%20cette Et nous comptons également rendre compte de la publication de son journal aux éditions Des instants.
@estelleogier2 жыл бұрын
Parfait !
@thibautdemazure21642 жыл бұрын
Bravo pour la chaine youtube !! Hâte de voir vos prochaines vidéos.
@zonecritique2 жыл бұрын
Merci beaucoup Thibaut :) !
@SOPHIEBOURSAT2 жыл бұрын
J'ai mal compris quelle librairie c'est. Je suis très interessée
@zonecritique2 жыл бұрын
Bonjour, Merci pour votre commentaire ! C'est la librairie Pritzky (5, rue d'Eupatoria 75005)
@dr38442 жыл бұрын
Bravo!!
@BAGLISTV-gp2 жыл бұрын
très intéressant, et inspirant, merci
@SOPHIEBOURSAT2 жыл бұрын
Oui formidable et c'est dans quelle librairie? Je n'ai pas compris le nom?