Et bien encore un film sur lequel nous sommes d'accord, mon cher Stef ^^. Je débarque un peu tard mais effectivement le malaise est palpable dun bout à l'autre du métrage. L'un des gros points forts du film aussi, selon moi, est que Coralie Farfeat assume mieux ses références que Julia Ducourneau, dans la mesure où Coralie Fargeat a conscience de s'être pleinement inspiré de Cronenberg, Carpenter ou encore Brian Yuzna tout en faisant sien son propre film, si je puis m'exprimer ainsi. P.S : petite anecdote un peu potache : un collègue de travail pensait qu'il s'agissait de la vraie poitrine de Margaret Qualley et quand on lui a dit que non, il a un peu déchanté 😅

punaise, déso mais tu es passé à coté du film en ne parlant QUE du coté mélancolique !!! où est le coté "se rendre compte qu'être une femme est un sacerdoce" ? etc etc ...... .... bref

Abomminable ce management ? a qui le dites vous,nous le subissons presque tous tous les jours,en entreprise ou dans l'administration.

Quel film !!! Je me posais une question : fait-il peur à un public ados/jeunes adultes ? Parce que la partie "gore" m'a bien fait rire...

Le fameux The Substance!

C’est bon de retrouver Les Films du vendredi avec ton enthousiasme communicatif! 😀

Je te rejoins également totalement sur ton retour sur EMILIA PEREZ 😉

Merci pour ton retour sur « Monsieur Aznavour », je ne l’ai pas vu, je vais attendre qu’il soit dispo sur Canal+ car je comprends que pas indispensable d’aller le voir en salle (d’autant que j’ai d’autres films à voir qui m’intéressent plus) 😉

Je te rejoins totalement sur ton retour sur L’AMOUR OUF 😉 J’ai beaucoup aimé, plein de qualités, très généreux (parfois trop mais les qualités l’emportent à mon goût). Ce film fait du bien au cinéma français ! 😀

ANORA je ne l’ai pas encore vu. Du réalisateur j’avais vu en salle « Red Rocket » que j’avais trouvé très original dans le ton et la mise en scène. J’ai entendu des retours mitigés pour ANORA parmi ceux qui connaissent les précédents films de Sean Baker. Ton retour me rend curieuse de le voir en tout cas 😉

J’ai été voir JURÉ #2 lundi soir et j’ai adoré! 🤩 Super casting, thématiques passionnantes, enjeux psychologiques et judiciaires, en tant que spectatrice, je me mettais à la place des différents personnages (surtout du personnage principal). Excellent retour de Clint Eastwood en réalisateur! 😀

Coucou Stef. Je sors de la projection de Joker 2, c'est encore tout frais mais honnêtement je pense que je n'en retiendrai vraiment pas grand chose. Je n'irai pas jusqu'à dire comme certains que c'est de la m... mais vraiment la question qui me taraude depuis mas sortie de la salle il y a un peu plus d'une heure " quel est l'intérêt de ce film ?" Le 1er, que j'aime bien sans le considérer comme un chef d'œuvre, se suffisait à lui-même et Todd Philips et Joaquin Phoenix avaient clairement dit à l'époque que ce serait juste un one shot puis on connaît la suite (Lion d'or, Oscar du meilleur acteur, le milliard de $ de recettes mondiales). Donc je pense que l'appel de l'argent doublé de la pression de la Warner ont fait que... La relation entre le Joker et Harley m'a paru complètement artificiel de même que l'arrivée d'un certain procureur (dont je tairais le nom) bien connu de l'univers de Batman. Restent pour moi Joaquin Phoenix qui, même condamné à se répéter, se montre encore une fois très bon et Lady Gaga , sans être exceptionnel, s'en sort avec les honneurs. Y a très clairement un manque d'ambition dans cette suite c'est évident. Quant à Megalopolis, il ne sort en Belgique que le 11 décembre et étant donné que je l'attends depuis longtemps, je lui laisserai malgré tout sa chance et je reviendrai t'en parler ;). Bonne continuation:).

Voir coup de coeur, rusty james, /sur le temps/, cotton club tucker est meilleur que megalopolis et traite a la capra le meme thème.

Bonnes critiques 👍

C'est pas ORIAnenburg, c'est ORAnienburg !

Revu hier soir avec des amis et j'ai réévalué le film, figure-toi ^^. Quand j'étais allé le voir y a 2 semaines en avant-première, j'avais eu quelques réservés: je trouvais qu'il y avait un gros manque de rythme dans le 1er acte qui entremêle plusieurs sous-intrigues (retour de la femme de Beetlejuice, mort du père de Lydia, relation compliquée entre elle et sa fille, retour de Beetlejuice). Bref, j'en étais ressorti un peu mitigé et puis hier après second visionnage, miracle j'ai adoré. Alors oui y a toujours des trucs qui me chiffonent (Dolores aka Monica Bellucci qui pour moi sert pas à grand chose) mais je me suis vraiment laissé emporté par ce retour aux sources quo fait du bien. Tim Burton qui se lache comme à ses débuts, se permettant même un zeste d'horreur absurde (la référence à Braindead avec le "bébé "), s'offrant même le luxe de tacler Disney au passage... Bref on sent que ce bain de jouvence lui a fait du bien et si ça peut le relancer creativement je dis tant mieux. Mentions speciales à Willem Dafoe et Justin Theroux en seconds rôles déjantés, surtout ce dernier qui m'a bien fait marrer en petit ami un peu nœud nœud ^^

Bonjour, je viens de te découvrir via la vidéo sur triangle of sadness puis j’en ai regardé d’autres. J’aime beaucoup ta chaîne et tes vidéos ont un réel intérêt. Merci beaucoup !

J’ai vu LE COMTE DE MONTE-CRISTO en AVP et j’ai beaucoup aimé! Une fois de plus, je te rejoins tout à fait sur ton ressenti et les qualités que tu relèves de cette adaptation cinématographique! Tout est réussi : la réalisation, la mise en scène, les dialogues, le travail sur les personnages, le jeu des acteurs (principaux et secondaires) ! Pierre Niney et Anaïs Demoustier avaient déjà joué un couple dans le film SAUVER OU PERIR (2018) 😉 Je suis fan de l’acteur Pierre Niney depuis longtemps, à chaque fois il m’épate! Il a déjà joué dans de nombreux films et séries humoristiques, il est bon dans les comédies comme dans les drames et les thrillers! Et là, dans son rôle d’Edmond Dantes / Comte de Monte-Cristo, il a encore été largement à la hauteur alors que sur papier ce n’était pas un rôle dans lequel j’aurais pu l’imaginer! Quel talent! Bluffant! Pas encore vu MAXXINE

Hello! Ta critique de Montecristo m'a donné envie de le voir, pas de suite mais je le regarderais. Concernant MAXXXINE, je suis comme toi trés partagé, entre le kif revival eightie, que j'ai bien connu et l'enorme foutrak final qui m'a décroché du film, dommage. J'avais beaucoup aimé X et pas du tout Pearl mais Tie West reste malgré tout un réalisateur intéressant à défaut d'être excellent. On verra avec son prochain film... À plus!😉

Le film ressemble à un conte pour enfants. Les meilleures histoires de vengeance sont d'origine païenne, car elles ne défendent pas l'altruisme, l'altruisme, le pouvoir de l'amour, le pardon surmontant la haine, la rédemption. Il n'y a que de l'envie, de la trahison, de la haine et de la vengeance. La fiction de la vengeance sous influence chrétienne s’est adoucie et est devenue plus superficielle. Il suffit de lire la saga Völsunga et les histoires de vengeance d'influence chrétienne et la cruauté de la saga Völsunga qui est d'origine païenne. Je m'attendais à ce que le Comte tue Albert et extermine toute la famille de ses ennemis avec l'aide de Haydee pour satisfaire son désir de vengeance. L'homme du Nord qui est d'influence païenne est beaucoup plus cruel et brutal.

Hâte, j'apprécie ton avis et ton bon goût 😊

Hello Stef. Perso, en ce qui concerne "Kinds of Kindness", mon segment préféré était le 2ème. Je trouvais qu'il y avait une montée en tension assez soutenue et un côté horrifique mi Lynch mi Cronenberg qui m'a bien plu. Puis pour le côté de plus en plus parano du flic joué par Jesse Plemons, je l'ai vu un peu comme une critique des tares de la société américaine, avec toutes les affaires d'agressions raciales, sexistes ou tout simplement trop zélées commises par la police ces dernières années aux Etats-Unis, avec en arrière-fond une sorte d'avertissement déguisé du type "ce sera pire encore si Donald Trump redevient président". Je vais sans doute un peu loin en disant ça mais c'est un peu l'impression que j'ai eu quant à cette scène d'arrestation du saoulard et de sa compagne. Pour le côté exercice de style, c'est indéniable et comme tu dis, le problème des films à sketch, c'est que certains segments sont excellents, d'autres inégaux. Perso, c'est la 3ème histoire sur la secte qui m'a le moins marqué, là pour le coup je l'ai trouvé moins rythmé et moins passionnante à suivre, en dépit de la prestation d'Emma Stone, très juste en femme victime de la toxicité des hommes. En somme, j'ai plutôt adoré "Kinds of Kindness" où Lanthimos revient à un style plusproche de ses 1ers films, moins accessible et fortement porté sur l'humour noir et la cruauté, là où "La Favorite" et Pauvre Créatures", tout en restant fidèle à ses obsessions d'auteurs, étaient de facture plus grand public, voir même commercial. Concernant Jesse Plemons, je l'ai découvert il y a 10 ans dans la dernière saison de "Breaking Bad" où je le trouvais déjà impressionnant dans un rôle glaçant de tueur d'enfant, puis progressivement dans "The Irishman" et "Killers of the Flower Moon" de Scorsese, "Power of the Dog", "Civil War" avec à chaque fois des rôles assez complexes que pas beaucoup de stars accepteraient de jouer, faut bien le dire. Tu le rapproches de Philip Seymour Hoffman, perso en terme de ressemblance physique et même de mimiques, je le rapproche plus de Matt Damon^^. En tout, cas, je lui souhaite d'avoir une très grande carrière, il le mérite. Quant à Willem Dafoe, rien à redire, et Emma Stone, mis à part qu'elle n'a plus rien à prouver, tu connais tout le bien que je pense d'elle :D. En tout cas, bonnes vacances à toi et au plaisir de te suivre dès la rentrée :).

Bonjour, j'arrive bien longtemps après la publication de ta video mais je commente quand-même ! En ce qui concerne La nuit du 12, je suis assez surprise que tu survoles ce qui est le sujet, à savoir le féminicide et plus précisément le fait d'être tuée par un homme, parce qu'on est une femme et dans l'indifférence masculine. Ce duo, que j'aime tant, se bat justement pour la reconnaissance de cet acte en tant que tel et essaie, en vain, d'éduquer les hommes de l'entourage de la défunte J'avais besoin d'apporter cet éclairage alors merci si tu as pris le temps de me lire 😊 Merci egalement pour cette vidéo qui rassemble mes 2 coups de coeur cinématographiques dune même année.

Merci pour votre vidéo, j'ai juste une petite remarque pour amélioration ; je pense que vous devriez structurer votre critique en fonction du déroulé du film (scène culture). Parler de la fin et ensuite enchaîner sur la grand-mére, je trouve cela brouillon. Dommage !! Vous avez bcp de réf de culture G en plus donc top ;)

Pour être allée à Auschwitz I & II en novembre dernier, je peux vous assurer que ça doit rester ouvert au public. Je n’ai pas vécu ça comme une attraction Disneyland !! Je suis partie avec la fondation Auschwitz Belgique, dans un but de mémoire. Nous avons d’ailleurs déposé des fleurs … en mémoire des personnes mortes là-bas et nous avons visité les lieux avec beaucoup de respect. Cela permet de rendre concret l’histoire, de rendre hommage et de ne jamais oublier que ça a existé. « ceux qui ne peuvent se rappeler le passé sont amenés à le revivre ».

je viens de découvrir ta chaîne, j'adore, c'est tellement de niche, c'est tellement le cinéma que j'aime!

Salut Stef. Pour ma part je trouve aussi que c'est un bon Dupieux. J'aime beaucoup sa manière de questionner l'évolution du cinéma (l'impact de l'intelligence artificielle, le rapport actuel entre le public et les films, le star system) avec la fois vraie questionnement et impertinence, tout en jouant sur l'image des acteurs de son propre film (le tacle meta envers le personnage de Léa Seydoux sur le fait qu'elle joue nue dans des films d'auteur pour ensuite toucher son cachet et le dépenser en bijoux de luxe^^). Des films sur le cinéma qui taclent à la fois gentiment et férocement le cinéma, j'ai toujours adoré ça (je pense également au film "Les acteurs " de Bertrand Blier, l'une des idoles de Dupieux d'ailleurs).

un film bouleversant ! oh combien les dérives totalitaires dans nos contrées occidentales font froid dans le dos depuis ces dernières années....nous avons vécu dans l'absurdité aussi et ce film touche le plus insoutenable bien entendu !

Bien vu

Bien vu

Force à toi

Alex Garland est meilleur scénariste que réal, pas vu civil war mais je le regarderai, par contre en tant que réalisateur, j'aime beaucoup son ANNIHILATION, comme quoi, les goûts et les couleurs...😅 À bientôt amigo!😉

Hello Stef ! Très heureuse de ton retour 🙏🏼♥️ J'espère que ta santé va mieux. À bientôt pour de nouvelles analyses filmiques 🎬

Une jolie photographie mais il tient plus du documentaire fiction que du cinéma !

Je débarque un peu tardivement mais une fois de plus, je suis d'accord avec toi : le fait que Garland choisisse de nous plonger dès les 1ères minutes dans cette guerre civile sans trop d'explication permet une immersion très rapide du spectateur. De plus, je trouve qu'on arrive à facilement s'identifier aux différents états d'âme dès personnages d'autant plus qu'on "decouvre " tout en même temps qu'eux. Concernant le rapport avec l'actualité politique américaine, Garland a expliqué que ce n'était pas son intention de départ, qu'il a écrit le scénario en 2020 quand on était encore en plein ère covid et que celui de "Men m" a été écrit après, il voulait surtout réalisé un film dystopique. En route cas, c'est vraiment un bon film, qui fait froid dans le dos servit par une mise en scène inventive et une interprétation de qualité, mention spéciale à Kirsten Dunst et Cailee Spaeny.

Alex Garland et souvent inprévisible dans c'est film tu pense que ses sa alort qu'il la fais tous le contraire, voir méme qui ne tien pas du tous le spectacteur par la main il pousse le grand publique a réflechir.

Une fois de plus, je partage la même réception que toi pour ce film 😁 Il a fonctionné sur moi via l’ambiance mise en scène, le jeu des acteurs, le travail sur l’image et le son. Tout comme toi, après visionnage du film, j’ai lu quelques retours négatifs qui pointaient le décalage entre ce qui était « vendu » en amont et le film + des reproches de manque de contexte politique précis, ou un manque de point de vue du cinéaste mais pour ma part, je n’ai pas du tout été déçue. J’ai été impressionnée par des scènes violentes (mais non gratuites), tristement réalistes. En tant que spectatrice, j’ai été prise parfois par surprise (et c’est que j’aime aussi au cinéma). La séquence dans la boutique est effectivement très intéressante, elle permet de montrer d’autres choses des 2 personnages féminins, plus personnels. C’est à la fois une parenthèse bienvenue mais qui s’intègre bien au film et contraste avec la situation ambiante (même si à la sortie du magasin, on découvre que même cet endroit est « sous contrôle »). Bref, plein de choses à en dire. Je trouve ton analyse perspicace et je la partage. Et merci pour ton partage d’infos sur le cinéaste (son travail et sa bio) qui apportent un éclairage sur certains de ses choix thématiques et scénaristiques !

Très curieuse de découvrir en salle le film CIVIL WAR également! 😉

Merci pour le partage de cette anecdote très intéressante et surprenante : que ça soit d’abord une composition musicale qui ait inspiré des images du film

De mon côté aussi, je ne m’attendais tellement pas à cette fin que j’étais déroutée et mitigée mais plus j’y pensais, plus je la trouvais intéressante car effectivement elle ouvre à diverses interprétations et réflexions

Je viens de voir le film en salle 🤩 Comme souvent, je te rejoins sur ton retour 😁 Bien vu le parallèle entre la prise de vue des branches des arbres et les vaisseaux rétiniens !

nouvelle interprétation très intéressante ! Alors pour moi c'est son meilleur je le range aux côtés d'autres films énigmatiques comme Mullholand Drive et Persona pour ne citer qu'eux, par contre pas du tout d'accord pour dire que c'est une bonne porte d'entrée non non trop déstabilisant pour qui ne connaîtrait pas hamaguchi. Moi ce film me hante depuis mercredi j'ai hâte de le revoir c'est mon réalisateur japonais préféré. Et chacun doit se faire son interprétation y a pas de sens unique c'est la pire erreur à faire sur ce genre de film. Top 2 de l'année pour moi

Hello Stef. J'y suis allé cet après-midi, je continue toujours à le digérer^^. Comme je pense l'avoir déjà dit sur le groupe Cinéphiles, Hamaguchi est l'une de mes plus belles découvertes de ces 5 dernières années. J'ai eu la chance de découvrir"Drive my Car", "Contes du hasard..." et "Asako I & II " que mon cinéma de quartier avait diffusé coup sur coup suite au triomphe de "Drive my Car". Résultat : claque sur claque, avec quand même une grosse oréférence pour "Drive my Car" qui m'a touché en plein coeur. Depuis, je me suis d'ailleurs acheté y a un an et demi un coffret Hamaguchi comprenant également "Senses" et "Passions" que je n'ai pas encore vu, faute de temps hélas. Pour en revenir au "Mal n'existe pas", même si ça fait seulement quelques heures que je l'ai vu et que j'attendrai 2-3 jours avant d'en parler sur ma chaîne, j'ai adoré. En tout cas, je me rends compte que, à l'instar de ses films précédents, il me marque bien l'esprit avec cette fameuse fin très particulière qui t'a toi aussi visiblement bien retourné le cerveau. Moi non plus, je ne m'y attendais pas à cette fin surprenante et surtout radicale. En matière de fin abrupte (c'est purement personnel ici), ça m'a fait penser à "No Country for Old Men" des frères Coen, le genre de fin un peu sèche et abrupte qui arrive sans prévenir et qui, quand tu réfléchit un peu, fait sens quand tu penses aux comportements des personnages principaux. Je trouve aussi que c'est clairement le moins accessible des films d'Hamaguchi et certainement pas celui que je conseillerai de découvrir en 1er à une personne qui souhaiterai se pencher sur la filmo du Monsieur. Visuellement, rien à redire, la photographie est superbe et la réalisation, comme toujours chez lui, est très inspirée en terme d'idées et d'une précision chirurgicale (cette séquence d'intro <3). Et ça tombe bien que tu parles bien de "Civil War", je viens justement de réserver ma place pour une avant-première le 22 avril prochain :).

Je ne serais pas si sûre du fait que Glazer ait voulu nous parler de la "banalisation" de la violence pendant le troisième Reich, bien que cela lui ait merveilleusement servi de prétexte pour nous montrer, à vrai dire, la véritable horreur de la culture allemande, capable de s'extasier devant son merveilleux petit jardin construit, éventuellement. à coté d'un camp de concentration. Je dirais qu'il s'agit d'un film éminemment symbolique, et que son régisseur, lui même, s'est donné le mal de nous dire à la réception du prix à Hollywood, que ce qui l'intéressait de montrer, au delà de la cruauté du passé, c'était celle du présent, bien entendu à Gaza, mais enfin, on n'a pas besoin de traverser la Méditerranée pour la voir dans la vie de tous les jours, à côté de notre petit coin de paradis à nous.

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