merci des encouragements, n'hésitez pas a consulter la playlist pour avoir tous les épisodes du solfège de l'objet sonore (et autres pastilles comme celle sur la synthèse soustractive).

c'est vrai. Courage et puissance. A noter aussi que cela a donné lieu a de vraie remises en question chez quelques psychanalystes et ça c'est fort.

Merci pour le commentaire, contente que ça vous ait plu.

merci pour vos commentaires! ça aide beaucoup dans ce travail finalement assez solitaire et dont on ne sait jamais s'il trouvera son public!

merci pour l'encouragement! La suite arrive très vite.

😂

La vidéo est d'assez mauvaise qualité et on entend surtout les commentaires et les réactions de celui qui filme _qui lui est très admiratif de la prise de parole. Il faut se remettre dans le contexte et en effet c'était très risqué cette confrontation entre deux façons de percevoir le monde. Mais comme je le dis dans mon texte et dans mes réact', l'ambiance était plutôt hostile, pour preuve les nombreux textes qui ont fleuris dans les jours et semaines qui ont suivi. Beaucoup de psychanalystes se sont sentis injustement visés, d'autres se sont remis en question et se sont penchés de façon plus ouverte sur les questions de genre. Les hués sont discrètes dans la vidéo (des hués de psy) mais l'ambiance devait vraiment être au désaccord.

Faudrait surtout pas prendre le risque de déranger !

Pendant longtemps, la viole avait 5 ou 6 cordes, on peut donc déjà accéder à énormément de répertoire. Je trouve cette note : "En 1683, le luthier parisien Michel Collichon (1641 - 1694) ajoute une septième corde (la grave) à la basse de viole (instrument visible au musée de la musique de la philharmonie de Paris), probablement à l'initiative de Sainte-Colombe." Donc assez tardivement.Voir aussi sur l'histoire de la viole ici :www.musique-ancienne.fr/in-nomine/histoire_de_la_viole.htm Il est plus facile de commencer avec 6 cordes car la septième corde (le La grave) oblige a bouger l'instrument vers l'avant et elle n'est pas facile a atteindre au début. C'est déjà bien assez de cordes (moi même je n'en ai que 6 pour l'instant). Je n'ai pas un étui rigide, j'ai une housse qui est fournie avec la viole que je loue. Ma housse de violoncelle que j'ai acquise il y a peu est à peine plus grande mais ce n'est jamais bon un instrument qui "flotte" dans sa housse (les frettes se déplacent etc.) il vaut mieux un étui ajusté. Les coques et étuis rigides sont biens aussi mais un peu plus lourds. Alors basse de viole ou tenor de viole c'est à votre goût suivant le répertoire que vous aimez mais je pense que la basse vous ouvrira un grand répertoire, il est aussi peut être plus facile de trouver l'instrument à louer...quitte a essayer le tenor ensuite (attention pas toujours facile de passer de l'un à l'autre (sol, do, fa, la, ré, sol) pour le tenor au lieu de (ré, sol, do, mi, la, ré) pour la viole de gambe, mais le dessus de viole _ la plus petite_est accordé comme la basse à une octave près donc les même cordes). Si vous ne pouvez pas commencer tout de suite (c'était mon cas car j'ai commencé pendant le confinement avec la méthode), je vous conseille de faire des "cordes à vide" c'est à dire de vous entrainer à faire vibrer les cordes et de passer d'une corde à l'autre et cela devant un miroir pour vérifier votre posture. Essayer en pizz (sans l'archet) de faire une gamme simple en mettant les doigts un à un sur les frettes. Regardez des joueurs de viole et observez leur posture, ça aide beaucoup et ici des bases par Jeanne Dorche qui m'ont permis de débuter seule : kzbin.info/www/bejne/i3jTZqh-j7Sbj5o

Merci pour le commentaire. Tout à fait d'accord, l'endroit où l'on est, les disponibilités sont à prendre en compte et ces pratiques d'abonnement c'est abusé! Je n'étais pas au courant. Pour le transport, c'est une vraie galère en effet, sans parler de la casse possible (archet etc.), la place supplémentaire à réserver dans le train (une harpe peut passer dans le filet à bagage), il faut parfois investir dans un étui solide. Pour nuancer mon propos, je ne peux parler que de mon expérience de location, d'achat d'instruments. Pour ma part le frein était purement psychologique car je n'avais pas eu accès à la musique et je pensais la chose impossible, d'où mon insistance sur l’accessibilité. J'ai donc commencé à 30 ans et à l'époque je vivais du RMI (535 euros en gros). La location d'une harpe (20 euros à l'époque chez Camac), un cours particulier par semaine, c'était très peu cher (et une assurance chez Generali). Mes cours de solfège à l'école Martenot de Rennes étaient très accessibles, il y avait une prise en compte des revenus. Les petites structures comme les MJC et maisons de quartier font souvent des facilités suivant le quotient familial et parfois même les instruments sont prêtés. A cette époque je budgétais très précisément ma pratique et c'était certes, un investissement au vu de mon petit revenu mais le fait d'être dans une petite ville et d'avoir des aides au logement etc. m'a évidemment permis tout ça, c'est certain. Quand j'ai voulu faire du violoncelle j'ai découvert que les écoles de musique étaient très chères et fonctionnaient dans un politique de proximité (plus on est loin plus c'est cher), ça m'aurait coûté 900 euros à l'année, énorme! J'ai donc opté pour un professeur particulier mais encore étudiant (annonce posée au conservatoire, bouche à oreille), j'étais sa première élève et je payais 20 euros puis plus tard 25 euros pour 1h, il se déplaçait chez moi au début puis plus tard je me suis déplacée chez lui ou on prenait des cours à plusieurs (moins cher et très instructif) et bien sûr des stages (ce que je conseille toujours, une méthode peu chère et très formatrice sur un temps réduit avec en plus le bénéfice des rencontres et des bons plans échangés). Le violoncelle je l'ai acheté avec sa housse et tout l'équipement pour 200 euros et je l'ai toujours après toutes ses années, presque 20 ans (je l'évoque dans une prochaine vidéo). Pour la viole le côté élitiste vient surtout du manque de professeurs, je dois donc compter évidemment mes déplacements car je vis à présent à la campagne, (je ne suis pas trop pour les cours de musique en visio), j'essaye de prendre, en gros un cours par mois ou 9, 10 par an mais je ne me le permet que parce que je suis déjà musicienne et que je peux travailler en partie seule (de plus je participe à des ateliers de musique ancienne avec d'autres musiciens à l'année une fois par mois aussi_environ 50 euros suivant les budgets), et de petits ensembles qui se forment au gré des rencontre (plaisir maxi et investissement moindre). Un cours à 35 euros, la viole à 40 euros (louée à Nantes, il y avait moins cher mais c'était le confinement, je ne pouvais pas trop me déplacer), l'assurance est comprise donc ça me revient à un peu plus de 75 euros en comptant le déplacement (en gros car je n'y vais pas vraiment tous les mois). Je me rend compte que c'est un investissement mais je ne dirais pas réservé à une élite non plus. Bien sûr le vrai luxe c'est le temps pour faire tout ça, comme tu le dis et je croise surtout des retraités. Mais oui, la guitare c'est très bien, la flûte et surtout l'accordéon pas cher et facile d'accès.

merci!

Je ne connais pas le film en question (merci pour la référence) mais je trouve l'idée excellente du chef accompagnateur. l"importance du geste en musique est primordiale. Quant à l'idée de la reproduction d'une société par l'orchestre, elle est de fait car il y a véritablement des hiérarchies dès la création de l'orchestre et d'ailleurs elle se modifie à travers les époque (ça pourrait faire l'objet d'un live d'ailleurs). L'orchestre est évolutif en catégories, nombre d'instruments et en disposition de ceux-ci. En effet les classes sociales sont représentée dans l'orchestre suivant une certaine place à la fois sur scène et au niveau symbolique au travers d'une importance accordée au différents instruments et aussi à l'intérieur d'un groupe d'instruments (le premier violon par exemple). Il y a la noblesse de certains instruments et cela est visible (et audible) directement et varie avec les époques. D'où l'aspect politique lorsqu'un compositeur met tel ou tel instrument en avant (voir à ce propos les compositeurs qui ont mis en avant le violoncelle contre la viole de gambe durant une "guerre" entre ces deux instruments, un conflit qui a divisé l’Europe et dans lequel les compositeurs on pris parti). Un des exemple les plus intéressant du déplacement de la valeur instrumentale est la série des "Sequencia" de Bério. La valeur symbolique des instruments au service d'une vision fantasmatique est un sujet passionnant à la fois témoin du rôle de la musique dans une société et de la société elle-même.Il ne faut pas négliger aussi l'instrumentalisation de l’orchestre à des fins politiques, comme rallonger le manche des violons (révolution française) pour faire "sonner" de façon impressive (épater le public tout en enterrant l'orchestre dans une fosse) : on change la façon de parler au public et on ne s'adresse plus au même public de fait. Augmenter l'impression sonore et la spectacularisation en montant progressivement la hauteur du LA. Bref les exemples sont nombreux et oui la musique est un instrument politique et de gouvernance.

merci beaucoup!

Merci pour votre commentaire. Vous avez raison, ça ne s'oublie pas l'apprentissage de la musique. Et ce qui est formidable c'est cette capacité à commencer à tout âge. Comme je le mentionne, j'ai découvert ce monde tardivement et de même que pour l'expérience des langues, plus on pratique d'instruments et plus cela devient facile. Vendredi prochain il y aura l'épisode 2 pour cette série mais en attendant, n'hésitez pas à regarder les vidéos que j'ai faites sur cet instrument, en live sur Twitch (lien dans la description).

oui, ce sont bien des derviches. Vive le random !

grands mercis!

vous pouvez retrouver les vidéos de Myriam Crampes sur vimeo.

Ah, ah le film est de 2011. Le mariage a mieux tenu que mes bonnes résolutions de travail!

@@insomnies Les bonnes résolutions de travail, c'est coton !

@@SuzeKarak c'est si vrai, mais il ne faut pas désespérer pour les 20 ans je ferais un grand film avec du coton, du cuir, du froment, de la cire, du bois, de la laine, des coquelicots etc. si, si il faut y croire, je trouverais un scénario formidable avec tout ça. Un joyeux bordel!

Grand merci!

Je parle du côté esthétique et tout

Ah, ah , oui à 3:20:04 Laurent se bat contre une antique mais brave bande magnétique!

@@insomnies Oui, c'est le passage le plus brouillon du live.

Oui, le 17 novembre 2019 Paul B. Préciado a été invité au journées internationales de la cause freudienne et a pris la parole devant 3500 Psychanalystes. Cette intervention a donné lieu a beaucoup d'articles en réponse et a permis une certaine remise en question chez les psychanalystes lacaniens ( plusieurs articles dans le Lacan quotidien par exemple). Cette reflexion a été prolongée par le livre "Je suis un monstre qui vous parle". Je vais bientôt faire une émission où je lirais un texte sur le sujet sur la chaîne : www.twitch.tv/lentortillee