Rencontre avec Victoria, doctorante UTT
5:27
Rencontre avec Simon, doctorant UTT
4:14
19 сағат бұрын
Rencontre avec Sephora, doctorante à l'UTT
4:31
UTT Meilleurs voeux 2024
0:46
9 ай бұрын
UTT Innovation Crunch Time !
2:20
Пікірлер
@WaytoomuchRussianTrolls
@WaytoomuchRussianTrolls 5 күн бұрын
😮 Bon je fais pas de commentaire parce que je vais me faire censurer
@leuwatdarelle5687
@leuwatdarelle5687 7 күн бұрын
🎉🎉🎉❤
@stephanetatsa7319
@stephanetatsa7319 7 күн бұрын
Yes 👍
@stephanetatsa7319
@stephanetatsa7319 7 күн бұрын
Le Docteur Sephora!!! C'est Dieu qui est fort💪💪💪
@ChristelleSonkwa
@ChristelleSonkwa 8 күн бұрын
Notre docta 🥰 mes félicitations et beaucoup de courage pour la suite mabelle 🥰
@ngoboumprisca6284
@ngoboumprisca6284 8 күн бұрын
🎉🎉🎉🎉
@ngoboumprisca6284
@ngoboumprisca6284 8 күн бұрын
🎉🎉🎉🎉 courage copine
@pascalpierre8783
@pascalpierre8783 12 күн бұрын
C'est bien, expliquer, mais la nappe musicale en fond, gêne l écoute
@Amino52
@Amino52 19 күн бұрын
Bonjour, c’est quand les prochaines portes ouvertes svp ?
@laurentdenise9441
@laurentdenise9441 19 күн бұрын
il ne faut PLUS mélanger énergie climat et pollution ! les accords de Paris n'ont dangereusement pas pris en compte le principal Gaz à Effet de Serre qui est la vapeur d'eau (60% des effets source GIEC, contre 26% pour le CO2). L'eau de l’atmosphère régule les températures des continents depuis des millions d'années mais cette hypothèse a été écartée dès le début en pensant que les activités humaines n'avaient pas d'impact sur l'eau , or il est maintenant prouvé que la disparition de la couverture végétale des continents (déforestation) coupe le cycle de l'eau et provoque les phénomènes climatiques actuels : inondations, sécheresses, canicules et feux ! Depuis plus de 30 ans les climatologues disent bien, qu’avec le dérèglement climatique, il n’y aura pas moins d’eau mais une dégradation de la répartition annuelle des pluies : inondations l’hiver et sécheresse l’été, exactement le scénario qui s’installe durablement en France et partout dans le monde. Une pluie même forte n’est pas un raz de marée mais elle le devient automatiquement quand on ne régule pas les ruissellements en amont des bassins versants. Le bon sens aurait voulu qu’on anticipe en construisant des retenues en amont des villes pour maintenir un débit acceptable et plus régulier en aval tout au long de l’année, mais depuis quelques années l’administration ordonne la destruction des ouvrages sur les rivières au nom de la continuité écologique, ce qui a amplifié massivement un phénomène parfaitement prévisible : quand l’eau s’écoule plus vite elle s’écoule moins longtemps ! La France et l'Europe font systématiquement et méthodiquement l'inverse de ce qu'il faut faire, à commencer par détruire les barrages quand on manque d'eau et d'énergie ...
@romainmichaud4872
@romainmichaud4872 Ай бұрын
Merci.
@GuyrogerWokam
@GuyrogerWokam Ай бұрын
La spécialisation en filière GM se fait en 3e année ou en 4e année ?
@Sunshinepati
@Sunshinepati Ай бұрын
✨🔆✨👌🏻 Les besoins : - boire / manger - dodo - pipi/popo - oinc-oinc (avé les capotes) -sécurité - connaissances - esprit critique - compétences sociales - …?
@mathphysiquechimiesupetast2367
@mathphysiquechimiesupetast2367 Ай бұрын
Très instructif 😊
@maigaoumar-g5d
@maigaoumar-g5d Ай бұрын
plus de vidéo pour nous frère please
@frankebembo5512
@frankebembo5512 Ай бұрын
C'est beau vraiment🙏
@laurentsaez660
@laurentsaez660 2 ай бұрын
Comme les deux photons sont intriqués dès le départ de leur source, ce que dit Alain Aspect, alors pour moi, ils le seront à l’arrivée et c’est bien normal. Je ne comprend pas l’émerveillement que tout le monde a devant cette expérience?
@patpat5135
@patpat5135 19 күн бұрын
Exactement .une fois intriquees les 2 particules ne forment plus qu un seul système. A partir de l information que l on a sur une particule on peut en deduire simultanément celle de l autre .
@ioanciocian7353
@ioanciocian7353 2 ай бұрын
Frumos nepoate draga ,ai un cadou de la mine pentru acest video clip.Felucitari.
@abrambadal8997
@abrambadal8997 2 ай бұрын
J'ai l'impression , que j'espère fausse , qu'on essay de connaitre l' Univers Infiniment grand , par des tout petites échantillions de nos savoir très insuffisante , et qu'on fait des hypothèses non--vérifiés pour nous donner un air de scientifique ou de réalités qu'on a de forte doute qu'ils soit vraie , et en attente de temps pour que sa se sache mieux ou que sa se vérifie fausse ! ? ?
@RayyaneElJadid
@RayyaneElJadid 3 ай бұрын
En tant que futur étudiant de l'UTT, j'espère bien qu'on pourra intégrer la branche A2I dans le programme EUT+ ou dans le statut apprenti au cours des 2 prochaines années
@BrunoMoggia
@BrunoMoggia 3 ай бұрын
Toujours aussi brillant
@geoffreyallemand4916
@geoffreyallemand4916 3 ай бұрын
super intéressant merci beaucoup
@ProBusiness-j1z
@ProBusiness-j1z 4 ай бұрын
Moi je suis en Afrique comment faire pour venir étudier là-bas ?
@malikalahlou7917
@malikalahlou7917 4 ай бұрын
Internat?
@shaddouida3447
@shaddouida3447 4 ай бұрын
Des villes autosuffisantes Certaines villes vont plus loin que la végétalisation, et construisent des “fermes verticales” ; destinées à capter le CO2, mais aussi à alimenter les citadins, tout en réduisant le coût énergétique du transport des denrées. “Aujourd’hui, la capacité des villes à nourrir leurs habitants est faible. Pourtant, c’est dans les centres urbains que les consommations sont les plus importantes. Mais il est parfaitement possible de nourrir tous les habitants de New-York ou de Paris en cultivant à l’intérieur de la ville, dans un rayon de 150 km”, indique Mitchell Joachim, éco-architecte américain. Selon lui, l’agriculture urbaine à étages permettra demain aux mégapoles de réduire le gaspillage alimentaire et de nourrir des dizaines de millions d’habitants. Jusqu’à l’auto-suffisance. Pour le microbiologiste Dickson Despommier, les fermes verticales sont la solution au manque de place dans les villes. Depuis 10 ans, l’agriculture urbaine se développe dans les friches industrielles et les jardins partagés, mais selon lui, la superficie totale de ces parcelles ne sera jamais suffisante pour couvrir les besoins alimentaires des citadins de 2050. Pour le théoricien de l’agriculture urbaine verticale, la production d’aliments “hors sol” permettrait de réduire la consommation d’énergies fossiles et leurs émissions de CO2, tout en diminuant de 70 % l’eau utilisée. Notamment via la culture en hydroponie, qui consiste à immerger les racines dans une solution à base d’eau et de nutriments. Selon lui, un bâtiment de 30 étages peut produire l’équivalent de 970 hectares et alimenter 50 000 personnes. Des centaines de fermes verticales ont vu le jour depuis 2012, partout dans le monde. Les exemples les plus aboutis se trouvent en Asie. C’est à Singapour que les toutes premières “tours maraîchères” sont apparues. Et pour cause : dans ce pays insulaire, le plus densément peuplé au monde, les terres agricoles sont inexistantes. L’agriculture verticale est ainsi apparue comme la solution à sa dépendance aux importations. En 2020, la cité-état compte 300 fermes verticales. Les centaines de tours construites par la société Sky Greens produisent 1 tonne de légumes verts par jour. De son côté, Wong Mun Summ mène un projet de fermes verticales destiné à faire de Singapour une ville auto-suffisante : “elles produiront de la nourriture, mais aussi de l’énergie grâce à des panneaux solaires”. L’objectif des concepteurs de fermes verticales est le même : permettre aux habitants de cultiver et consommer local, avec une empreinte carbone réduite. Ainsi, les tours ne se composent pas que de serres : les habitants peuvent cultiver leurs propres légumes, dans des potagers partagés hors sol. On retrouve ce genre de fermes verticales privées/publiques à Singapour, mais aussi à Tokyo, Paris, Montréal, Chicago, ou encore Atlanta… où le maire perçoit l’agriculture urbaine comme un “futur marché” porteur. Car si elles ne sont pas encore très rentables pour l’instant, de nombreuses fermes verticales sont appelées à faire partie des “smart cities” en développement, avec l’idée d’optimiser la production agricole, et donc de gagner de l’argent. Dans la banlieue de New-York, à New Ark, AeroFarms a créé en 2016 une ferme verticale “aéroponique” de 6 500 m2, dont l’objectif est de produire 1 000 tonnes de choux et de salade par an. Elle utilise pour cela des milliers de capteurs et des algorithmes pour savoir en temps réel si une plante a besoin ou non d’être alimentée en nutriments. Même l’éclairage est réglé pour apporter la longueur d’ondes optimale pour la croissance des légumes. Ces projets d’agriculture urbaine, verticaux ou non, permettent de “réhabiliter des quartiers, de revitaliser des zones défavorisées ou laissées à l’abandon, de mettre à profit des surfaces inutilisées”, observe le cabinet PwC. Mais le concept des fermes urbaines a aussi pour objectif de créer, dans les prochaines décennies, des “villes résilientes ». Capables demain de résister à une grande diversité de menaces, des catastrophes climatiques aux pandémies, selon la FAO. À noter que les projets de villes “auto-suffisantes” concernent aussi l’énergie. Ainsi, les fermes verticales contribueront également, pour la plupart, à en produire grâce à des panneaux solaires. Mais des villes comme Chicago et New-York vont plus loin et développent en parallèle des réseaux d’électricité “intelligents”, alimentés par les habitants eux-mêmes, grâce à la blockchain. Barcelone, de son côté, a créé sa propre compagnie d’électricité. Mais à terme, les projets visant à parvenir à l’auto-suffisance, en tout cas alimentaire, risquent selon certains de se retrouver face à un mur. “L’agriculture urbaine ne pourra jamais entièrement nourrir les villes. L’hydroponie est intéressante, mais elle est surtout utile là où la terre fait défaut, comme à Singapour. En Europe, l’auto-suffisance n’est pas un sujet : la ville n’a jamais été conçue comme un isolat, sans lien avec l’extérieur. Elle est, par nature, étroitement liée aux campagnes. Pour produire beaucoup, mieux vaut le faire dans le sol, donc pas dans les villes. Les fermes verticales peuvent avoir des fonctions productives, mais penser que l’on sera autonomes grâce à cela, c’est une utopie”, tranche Sylvain Grisot. Directeur intervention et politiques publiques au Laboratoire sur l’agriculture urbaine de Dunham, au Québec, Jean-Philippe Vermette souligne les limites de l’agriculture urbaine : “les fermes verticales produisent essentiellement des légumes verts, et ne représentent que 1 % de l’alimentation des citadins, qui consomment surtout des céréales, de la viande et des féculents… On serait loin de l’autosuffisance avec la seule agriculture verticale. Du moins tant que les gens ne mangeront pas autrement.” Si l’agriculture urbaine “répond aux attentes des consommateurs plus soucieux de la provenance et de la manière dont est produite leur alimentation, certains défis freinent encore son développement. Cette agriculture alternative a besoin d’être mieux soutenue, et cela passe par un plus grand investissement de nos gouvernements pour réduire l’écart des prix entre les produits issus d’une agriculture industrielle et ceux d’une agriculture raisonnée, qui restent encore chers”, ajoute-t-il. Pour Christine Aubry, ingénieure à l’Inra, les fermes verticales devront, demain, être utilisées pour répondre à des besoins précis, selon les pays. “À Singapour, c’est le gain de place. Mais en France, où l’on n’est pas en situation de pénurie, elles auront d’autres fonctions : créer du lien social, favoriser la biodiversité, stocker du carbone”.🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️🏙🏞🏠🏡🏢🏣🏤🏥🏯🏬🏫🏪🏩🏨🏦🏭💒⛲️🕋🗼⛰️🏔🌐🌍🌏🌎
@shaddouida3447
@shaddouida3447 4 ай бұрын
En Europe, Copenhague est à la pointe des projets de “ville verte intelligente”. Ambitionnant de devenir la première ville au monde neutre en carbone d’ici à 2025, elle ne se contente pas de multiplier les éoliennes et les pistes cyclables. Elle dissémine aussi des milliers de capteurs dans son mobilier urbain. Des “poubelles connectées” permettant de mieux gérer les déchets, jusqu’aux feux rouges mesurant la qualité de l’air, afin de mieux adapter la circulation (notamment lors de pics de pollution). Mais ce qui ressemble le plus à la ville du futur “intelligente et verte” se trouve en Asie, à Singapour. Cette petite île où se massent 6 millions d’habitants a installé des centaines d’arbres artificiels, hauts de 18 à 50 mètres. Ils sont équipés de modérateurs de température, éclairent les rues grâce à l’énergie solaire, et collectent l’eau de pluie pour alimenter les fontaines et des “fermes urbaines”. Des villes végétales Mais les nouvelles technologies ne seront jamais aussi fortes que la nature pour rendre une ville réellement verte. La concentration exponentielle d’individus dans les “mégapoles” du futur amènera celles-ci à remodeler leurs paysages urbains, en laissant davantage de place à la nature. “Aujourd’hui, à Paris, plus de 50 % de l’espace public est dédié aux voitures, à la circulation, aux parkings ; ce qui veut dire que l’on dispose d’un potentiel phénoménal de végétalisation. Pas du végétal décoratif, mais du végétal massif. Des arbres et de la végétation, des corridors verts, des espaces naturels dans la ville qui auraient un impact positif sur la biodiversité, la qualité de l’air et la régulation des températures”, observe Sylvain Grisot. Les villes occidentales, de Lyon à Copenhague, commencent peu à peu à se “végétaliser”, afin d’éviter à ceux qui y vivront (d’ici à 2050) d’y suffoquer. Mais en raison d’un manque de foncier disponible, la création de grands parcs urbains n’est bien souvent pas à l’ordre du jour. Ainsi, les villes transforment-elles surtout les emplacements disponibles, notamment les friches industrielles, en jardins partagés et en “coulées vertes”. Face au réchauffement climatique, la végétation fournit aussi de l’ombre, absorbe le CO2 et refroidit l’air. C’est pourquoi, en Amérique du nord, les villes d’Austin, Seattle et Montréal tentent de planter des centaines de milliers d’arbres d’ici 2030. En France, Paris prévoit d’en faire sortir de terre 170 000 d’ici 2027, à la place des parkings et des voies sur berge. En Italie, Milan va plus loin, avec un programme de plantation de 3 millions d’arbres d’ici 2030. Mais plusieurs experts ne cachent pas leur scepticisme face aux “forêts urbaines”. “Sur une étude à la Défense, on avait calculé que les 70 premières années de vie des arbres serviraient à absorber le CO2 émis par le renforcement des infrastructures. Avec ces projets, on est plutôt dans un symbolisme de l’écologie. Au niveau du climat, ça ne fonctionne pas réellement”, explique Philippe Rahm, architecte suisse, dans Le Monde. Caroline Mollie, architecte paysagiste, rappelle qu’un arbre, “pour qu’il donne son maximum d’effet, doit avoir au moins une trentaine d’années. Voilà pourquoi mieux vaut planter moins, mais mieux, au bon endroit”. A Melbourne, par exemple, une programme de reforestation ne prévoit “que” 3 000 pieds pour 4,5 millions d’habitants. Des forêts verticales Planter ainsi des arbres en ville reste complexe, en raison d’une forte pression du foncier et d’un manque de place. C’est pourquoi des architectes et des urbanistes conçoivent aussi des forêts “verticales”. À Milan, les deux tours résidentielles du projet “Bosco Verticale” regroupent depuis 2017 plus de 20 000 plantes et arbres, soit l’équivalent de 2 hectares de forêt répartis en façade. Ce projet de reforestation verticale a pour objectif “d’augmenter la biodiversité, de réduire l’expansion urbaine et de contribuer à la régulation du microclimat.” À Singapour, où l’espace est très limité, les plantations d’arbres sur les toits et les terrasses se multiplient depuis 5 ans. Une “architecture verte” à l’origine du surnom de la cité : la “ville-jardin”. Les hôtels Parkroyal et Oasia, notamment, disposent d’une surface végétale 5 à 10 fois plus importante que leur surface au sol. “Ce qui veut dire que dans la ville de demain, la nature pourrait être 10 fois plus présente que si la ville n’existait pas”, estime l’architecte Wong Mun Summ. Reste le risque de voir naître une nouvelle forme d’inégalités, liées au cadre de vie plus agréable procuré par les tours végétalisées. À Milan, les gratte-ciel boisés de Bosco verticale sont surtout peuplés de personnes fortunées. Le complexe compte 131 appartements, dont le prix varie de 10 000 à 18 000 euros le mètre carré. En Corée du Sud, Songdo n’attire aussi que des familles aisées. Car cette “smart city verte” suit une logique immobilière, qui repose sur des partenariats public-privé, et donc le besoin d’attirer des populations CSP + pour être rentables. C’est sans doute pour éviter cela que les urbanistes de Singapour privilégient de plus en plus des projets d’immeubles végétalisés destinés à toutes les catégories sociales, avec un part importante de HLM.🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️🏙🏙🏙🏙🏙🏙🏞🏞🏞🏞🏞🏠🏡🏢🏣🏤🏥🏯🏭🏬🏫🏪🏩🏨🏦
@shaddouida3447
@shaddouida3447 4 ай бұрын
Derrière l’utopie, la ville verte du futur est-elle possible ? En 2050, nous serons 6 milliards à vivre dans les villes. Comment pourront-elles tous nous nourrir, et éviter que la pollution ne rende l’air irrespirable ? Urbanistes et architectes planchent sur des projets destinés à créer demain des villes durables, voire autosuffisantes. Et leurs projets ne sont pas forcément utopiques. Beaucoup d’œuvres de science-fiction oublient une donnée quand elles imaginent le futur des villes : la nature. Mais depuis une quinzaine d’années, urbanistes, architectes et experts en environnement urbain dessinent les contours d’un tout autre type de cités. Des métropoles “végétales”, durables, et même autosuffisantes. Certains architectes, notamment en France et à Singapour, esquissent des concepts futuristes et un brin utopiques. Vincent Callebaut, architecte belge installé à Paris, imagine des villes où les immeubles seraient couverts d’arbres, de potagers, de panneaux solaires et d’éoliennes, formant des “villages verticaux”. Consulté par la Mairie de Paris pour imaginer le Paris de 2050, il a réalisé des prototypes de gratte-ciel “verts” et à “énergie positive”. Dans son scénario, la capitale se transformerait en une véritable cité végétale. Parmi les idées de son projet, baptisé “Paris Smart City 2050” : des tours maraîchères aux balcons potagers, des ponts habités enjambant la Seine, un corridor écologique de 23 kilomètres ponctué d’immenses immeubles photo-catalytiques “dépolluants” en forme de tubes ou d’alcôves, et de gigantesques fermes verticales. Une vision que l’on pourrait facilement estampiller comme de la science-fiction. Et pourtant, ce genre de projets, comme l’assure d’ailleurs l’architecte, ont tous été imaginés à partir de technologies déjà existantes, ou en cours d’étude dans les laboratoires. En outre, des projets urbanistiques de ce type ont réellement été lancés, avec des réalisations concrètes, qui permettent de toucher du doigt un futur possible pour les villes. Des villes de plus en plus denses Pour comprendre d’où viennent de telles idées que l’on pourrait considérer de prime abord comme fantaisistes mais qui semblent pourtant en passe d’être appliquées à grande échelle, il faut d’abord expliquer les enjeux vitaux qui se poseront bientôt à nos villes. Une hausse des températures et des catastrophes naturelles appelées à être de plus en plus fréquentes à cause du dérèglement climatique. Une pollution problématique de l’air et de l’eau, causée par les émissions de CO2 (produites à 80 % par les villes). Et une explosion démographique qui risque de tout aggraver. Selon l’ONU, la population mondiale devrait atteindre les 9,7 milliards d’habitants en 2050. Parmi eux, 75 % vivront dans les villes. Certes, l’urbanisation galopante devrait surtout se concentrer dans des pays en développement, comme l’Inde, la Chine et le Nigéria. Mais les villes occidentales, elles non plus, n’échapperont pas à la surpopulation. En France, selon l’Ined et l’Insee, nous serons entre 68 et 74 millions en 2050. Une augmentation de la population relativement contrôlée. Avec de plus en plus de citadins choisissant d’habiter à la campagne, prédit l’Inrae. Mais la part de la population urbaine en France devrait malgré tout continuer d’augmenter et passer de 80 à 90 %. Comme l’explique Mathieu Favriau, urbaniste et environnementaliste au cabinet Urban Hymns, les pouvoirs publics ont pour objectif de lutter contre l’artificialisation des sols et l’étalement urbain. “La solution : exploiter toutes les ressources foncières des villes. Donc tendre vers une densification urbaine importante”, indique-t-il. Des villes sans voitures La densification devrait d’abord les pousser à trouver des solutions pour contenir, puis baisser leur empreinte environnementale. Pour cela, de nombreuses métropoles, de Paris à Montréal, en passant par Oslo, Dubaï, Séoul et Madrid, tentent déjà de réduire le nombre de voitures, voire de les faire disparaître totalement des rues. Les rues se piétonnisent, les pistes cyclables se multiplient. Des villes sorties de terre, comme Chengdu en Chine et Masdar aux Émirats Arabes Unis, ont même été conçues dès le départ pour être entièrement dépourvue de voitures. Leurs plans directeurs prévoient que toutes les rues puissent être praticables à pied ou à vélo. Selon Chris Drew, du cabinet d’architectes SmithGill, les voitures seront, à terme, inutiles dans les “villes nouvelles” du futur : “les enfants pourront aller à l’école à pied et la population se trouvera à proximité de son lieu de travail.” Face à l’épuisement de leurs ressources naturelles, les villes tenteront aussi de se passer des énergies fossiles, en privilégiant les énergies renouvelables. Plusieurs, comme Strasbourg, se sont déjà engagées à devenir “carboneutres” d’ici 2030. Sylvain Grisot, urbaniste et président de l’agence d’innovation urbaine Dixit.net, est l’auteur d’un “Manifeste pour un urbanisme circulaire”. À la recherche “d’alternatives à l’étalement des villes”, il défend l’idée selon laquelle celles-ci n’auront d’autre choix que de se “recycler”. En “optimisant” ce qui a déjà été bâti et en réinvestissant les espaces libres, notamment ceux libérés par la disparition des voitures. Des “villes vertes intelligentes” Au pire, si l’on se base sur ce que prévoient les nombreux projets de “villes intelligentes” en cours de par le monde, les voitures qui continueront à circuler seront autonomes et électriques. D’ici 2050, les chercheurs prédisent la transformation de nombreuses villes en “smart cities”, où tout serait connecté, avec des systèmes d’IA et des réseaux de capteurs permettant une adaptation en temps réel des éclairages publics, des flottes de taxis autonomes et des feux de signalisation.🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️🏙🏙🏙🏙🏞🏞🏞🏞🏠🏡🏢🏣🏤🏥🏯🏭🏬🏫🏪🏩🏨🏦
@cmuss792
@cmuss792 4 ай бұрын
merci
@andrevonk5884
@andrevonk5884 4 ай бұрын
Bonjour et merci tres interesante😊
@DANIELFAWI-d4s
@DANIELFAWI-d4s 4 ай бұрын
Bonjour monsieur, s'il vous plaît, pouvez vous me renseigner sur le coût scolaire et le fonctionnement en génie électrique à L'ENSI ? 🙏
@jeanvincent4764
@jeanvincent4764 5 ай бұрын
On peut vraiment tout électrifier. Les émissions de CO2 par habitant à l'échelle mondiale sont en baisse. La transition est exponentielle au rythme très rapide de 20% de croissance par an de l'énergie solaire. Elle sera achevée pour l'essentiel en 2044. Elle ne nécessite aucun métal critique.
@Ragnarok91-mv6nq
@Ragnarok91-mv6nq 4 ай бұрын
Aucun metaux critique pour la construction de panneaux solaires !!??source!?? On construit quelques batteries en backup pour les nuits d'hiver !??Aucun metaux critique toujours !?? Avez-vous fait quelques calculs des volumes mondiales permettant votre "transition" !!!?
@uiteoi
@uiteoi 4 ай бұрын
​@@Ragnarok91-mv6nqvous avez une source pour un seul matériau critique pour les panneaux solaires ? Pour les batteries, le seul matériau qui pourrait devenir critique est le lithium mais on en manque pas vraiment tant qu'on recycle les batteries, et c'est obligatoire. Et les batteries ne sont pas la façon la plus courante de stocker de l'énergie. Un cumulus stocke de la chaleur, qui est de l'énergie thermique, à un coût beaucoup plus faible qu'une batterie. Au final on a besoin de très peu de batteries pour une maison, moins que pour une voiture électrique.
@6Man-xs7ph
@6Man-xs7ph 5 ай бұрын
Trop mignonne 😍
@pierrickthev2714
@pierrickthev2714 5 ай бұрын
Rèférencement.
@gunthar96
@gunthar96 5 ай бұрын
Encore une conférence très intéressante, merci d'avoir pris le temps de la filmer et de la mettre en ligne.
@dorotheethuillier7794
@dorotheethuillier7794 5 ай бұрын
"Rien ne se perd tout se transforme" Voila la réponse à vos mensonges et propagandes monsieur Keller .Le pétrole comme toutes les matières ne disparaissent pas elles se transforment et nous pouvons tout recycler de façon perpétuelle comme la nature le fait .Nous faisons partie de la nature et votre vision qui se dit systémique mais qui ne l est pas la oublié.Vous sélectionnez les éléments qui vous arrangent pour faire peur et servir la doxa et propagande .Nous sommes une espèce parmis tant d autres et nous représentons rien à l échelle de la biomasse et vous voulez tous nous faire croire que nous influencons le climat et notre environnement.Nous vivons depuis le moyen age dans une époque de sortie d ère glacière.Nous sommes 6 degrés inférieur à la moyenne sur toute la durée de la vie sur terre .Il existe un risque car notre espèce vit une excroissance démographique et nous allons nous autoreguler mais ca n a strictement rien a voir avec le vivant .Il faut arrêter de prendre des délires et illusions pour la réalité .L homme ne peut percevoir la réalité qu' à travers ses croyances et ses interprétations .Ce que nous pensons est faux et n est qu' une diversion que notre cerveau utilise pour nous faire survivre à notre époque .les mecanismes de la pensée sont les outils que notre corps utilise pour nous adapter .Parler de systémique en s excluant de la nature est juste d une débilité profonde ....
@Ragnarok91-mv6nq
@Ragnarok91-mv6nq 5 ай бұрын
Tu partages tes références scientifiques qui attestent ton argumentaire. Donne moi le lien de ta conférence de 3 heures .... Il n'y a pas de conférence, ni d'arguments, bien à vous dans votre monde.
@anthonymonjournal161
@anthonymonjournal161 5 ай бұрын
Pour susciter la peur, il est essentiel d'exposer de manière concrète ce qui va arriver à l'humanité. À savoir, crise économique qui découle sur une crise sociale, ce qui mène à des guerres, des guerres qui mènent à des famines, des famine qui mènent aux pandémies, etc. En somme, la réduction drastique de l'humanité telle qu'on la connaît actuellement sur terre... Est-ce de manière inégale et inégalée dans l'histoire de l'homme.
@anthonymonjournal161
@anthonymonjournal161 5 ай бұрын
L'homme moderne est le cancer de cette planète. On évolue à notre guise, sans nous soucier de notre hôte, malgré le fait que nous ne pouvons pas vivre et nous développer sans lui. Mieux, nous pensons être la solution alors que nous en sommes la cause. Notre démographie et nos habitudes de vie sont devenues notre fléau.
@noteddy
@noteddy 5 ай бұрын
@chaineUTT, pensez à démonétiser la vidéo pour enlever les pubs s’il vous plaît, car des publicités toutes les 10mn pour 3h de vidéo, (qui plus est sur ce sujet) c’est très dérangeant, et tout le monde n’aura pas la patience de regarder jusqu’au bout celle-ci.
@manixburn6403
@manixburn6403 5 ай бұрын
Faites du sol, protégez les sols, le compostage de surface nous sauvera. C'est le geste le plus naturel et puissant. La place des grands mammifères dans leurs milieux. Perturbateur, excréteur, stimulateur. Capturer le carbone dans les sols pour la vie, pour résoudre tout les problèmes d'un coup. La santé de votre milieux est votre santé.
@manixburn6403
@manixburn6403 5 ай бұрын
Merci tellement beaucoup. C'est fou ce que j'ai appris.
@sonialives
@sonialives 5 ай бұрын
Les peurs du réchauffement, du trou d'ozone, du covid s'essoufflent aussi faut en créer d'autres, ici le phosphore entre autres !!!! Ne pas oublier que ces 'chers cheurs' ne survivent que des subventions d'état, si les résultats de leurs recherches s'écartent des doxa, ils sont blacklistés, fin de leur confortable profession. A méditer....
@Ragnarok91-mv6nq
@Ragnarok91-mv6nq 4 ай бұрын
Je me perd dans votre argumentation implacable. Ça n'existe pas pour vous résumer. Ok
@AbdourahmaneBoye-cu7oe
@AbdourahmaneBoye-cu7oe 5 ай бұрын
Comment retrouver les sujets
@pascalhenryBILLY
@pascalhenryBILLY 5 ай бұрын
Mais alors , on va tous mourir ; même moi !!!
@paulsauvy
@paulsauvy 6 ай бұрын
notre capacité a vivre sur terre est en train de s'effondrer, pour vos enfants , petits enfants et vous vous meme si vous êtes jeunes.
@pascalhenryBILLY
@pascalhenryBILLY 5 ай бұрын
Je me meurs ...
@clotildebarre9116
@clotildebarre9116 6 ай бұрын
Service utilite publique un jour par semaine ou pour repondre à demane agricole saisonniere et rurale , 30 jours par an pouvant etre aussi cumulés à plusieurs mois d'affilee tous les x ans max. Genre 6 ans .
@clotildebarre9116
@clotildebarre9116 6 ай бұрын
Tout numériser...tout perdre ...
@ConseilsmarketingFr
@ConseilsmarketingFr 6 ай бұрын
Le fameux passage TV sur France 24 : kzbin.info/www/bejne/npzEXmecoad-bdU
@aenc4333
@aenc4333 6 ай бұрын
Mon Dieu , je suis partagée entre 😢 et 😂 ! Si la démarche scientifique française se limite désormais à des poncifs vagues sur la Chine, ces gens là bas en parlant de l'Afrique, je crains le pire pour ma deuxième partie de ❤
@aubrynicolas2874
@aubrynicolas2874 6 ай бұрын
Tous les mecs qui se plaignent des pubs installez le navigateur Opéra , au lieu de crier au scandale bande de Ouin ouîn 😂
@AubryLesaicherre
@AubryLesaicherre 6 ай бұрын
Une pub toutes les 5 minutes dommage
@aubrynicolas2874
@aubrynicolas2874 6 ай бұрын
Bah installes le navigateur Opéra ça fait sauter les pubs …