menfin sur la question de la propriété, il y a les pratiques associées aux bibliothèques...

Eh très bonne vidéo ça fait 4 pige mais bon j'ai rien vu

Dechronologue en cours de lecture. La pangée me botte bien. On a tous grandi avec la chasse au tresor non?

J’aime beaucoup ce que tu fait

En effet Dick a inspiré un peu beaucoup Matrix, qui est juste un vulgaire copycat (du moins de Loterie Solaire et du Dieu Venu du Centaure.) Il y aurait tant à dire sur cet écrivain et les différentes modes qu'il a inspirées.

J'ai lu le livre pour aboutir à la même conclusion que vous. Merci.

Je me retape la GILP et waou toujours aussi génial ! Merci les gars ! Ca n'a pas vieilli dun chouia.

J ai lu Fondation etant gamin. Fan du cycle, je viens de me le refaire en libre audio. Tjs aussi prenant et profond.

“Never let your sense of morals prevent you from doing what is right.”

Un mauvais écrivain avec des fantasmés tordus. Désolé la littérature n à pas tous les droits. La morale passe avant l écriture.

Achille quand même, en matière de faille, ça se posait là !

Le déchronologue, rarement évoqué ici bas, merci pour votre chronique même si elle date 😉

vidéo qui date , la difficulté de l'humain est de pas accepter, qu'il soit inférieur a quelque chose qui le dépasse, et qu'il est incapable d'imaginer, de ce personnage on ne parle la plupart du temps de ses que de ses œuvres , sa paranoïa et ses déséquilibres, mais pas de ce qu'il a dit en 1977 en France ou si on écoute bien , il est l'un des premiers en avance sur son temps a dire que nous sommes certainement dans une simulation, le plus déroutant est que ce code existe depuis la nuit des temps

le film le demontre tres bien :)

y'aurai pas une référence à l'Antre de la Folie ?

Son point de blocage vient plutôt du fait qu'il ne sait pas comment amener certains personnages là où il le veut, la fin se dessine plutôt bien de mon avis de lecteur

Quelle originalité et Intéressant de surcroît ! Beau jeu d’acteur et chouette mise en scène. Je ne connaissais pas ces applis, je vais jeter un coup d’œil ! Juste merci ! 👍🏻 Euh, suite à la question : j’utilise plus les livres mais j’adore sur liseuse ou je peux surligner des passages et les garder en notes et je peux chercher de suite le sens de mots inconnus. Salut !

Exceptionnelle. La plume et la voix. Bravo.

Team "A rebrousse-temps" !

Je viens de lire cet excellent roman... sans chapitre. Je l'ai terminé il y a exactement 13 jours. Et contrairement à la formulation de "la Brigade du Livre", on ne peut pas parler de chapitres pour ce livre. C'est plus une succession continue de récits d'expériences, qui suit exactement l'histoire vécue par le groupe. J'ai lu le livre surtout dans les transports en commun et il traînait en journée dans un coin de mon bureau. Un collègue qui l'a vu m'a dit qu'il n'avait pas accroché à l'univers décrit, alors que je n'en étais encore qu'au quart du livre, à peu près. Je ne l'admettais encore que partiellement, mais je ne pouvais déjà plus renoncer à le lire toujours plus avant (lui n'avait sans doute jamais dépassé les 50 premières pages). Pourtant rien dans la description même du livre en quatrième de couverture ne m'incitait à le lire : un groupe de gens qui marchent vers l'origine du vent que subit leur monde ? C'est tellement limité comme idée que ça ne m'a donné aucune envie de le lire pendant des années (18 ans après sa parution...). Sauf qu'à force d'en entendre parler comme un livre exceptionnel, de le voir toujours en évidence à la Fnac (18 ans en évidence dans un temple de consumérisme de modes, c'est déjà un signe) et après avoir feuilleté la BD qui en est tirée et que je n'est pas bien comprise (mais c'est un autre signe quand un roman devient iconique au point que des dessinateurs de BD ou des réalisateurs de films se sentent obligés de l'adapter), je me suis dit que je le lirai, juste pour voir pourquoi une histoire aussi simpliste suscite tant d'intérêt. Et à lire le roman, j'ai compris la raison de cette passion. Pour l'histoire, on devine très vite qu'il n'y a que 3 fins possibles... si elle se passe dans un monde à peu près réaliste. Des gens remontant à pied depuis les vents terribles d'un monde où l'humanité est réduite à vivre sur une bande vivable relativement étroite entre 2 immenses calottes glaciaires doivent fatalement finir soit par mourir avant d'arriver au terme de leur quête, soit par butter sur un océan infranchissable, soit par revenir à leur point de départ après avoir bouclé le tour de la planète. Le premier problème c'est déjà de savoir si le monde décrit est réaliste (que sont les chrones ?). Mais rien de tout ça n'est l'objet du roman, juste sa trame (comme dans tout bon roman fantastique ou SF, ce n'est pas l'univers décrit qui compte, mais comment les personnages s'y déploient). Ce dont il est vraiment question dans le roman, c'est que la différence entre l'humanité et la bestialité, c'est que l'humain est spirituel et n'abandonne pas l'humain, contrairement à la bête qui n'existe que par la loi du plus fort et du plus adapté. Et l'humanité, c'est finalement tout ce qui fait la Horde du Contrevent. Même Golgoth, bourrin des bourrins, quoiqu'il se persuade lui-même, fait parfois passer l'humanité avant la force brute. Sans rien divulgacher, si vous regardez la liste des personnages (Wikipédia p.ex.), vous verrez que l'auteur les a tous décrits par leurs utilités pour le groupe, sauf un : le prince Pietro. Être prince, on le comprend très vite, ne sert pas à rien dans cette horde. Mais Alain Dalmasio a très facétieusement fait en sorte que ce soit la lecture du roman qui amène petit à petit à constater que ce personnage a une qualité qui est révélée plus tard explicitement comme son utilité essentielle pour la horde (un modeste "racleur" avec la même qualité aussi développée aurait tout aussi pu faire l'affaire de la Horde). D'une certaine façon, j'ai indiqué ici cette qualité, mais rien ne vaudra la lecture du roman pour la saisir. 😉

J'ai lu le cycle, et je l'ai relu 10 ans plus tard avec plus de plaisir encore :)

Aaaah le capitaine a tendu la perche pour que tu nous fasses une nouvelle vidéo ! Tu n'as plus le choix maintenant. Mais si tu veux je t'aide 😉

Très bonne vidéo, surtout pour l'ami K. DIck et sa philosophie qui a marqué très profondément la SF

Merci Michael pour cette vidéo chouette sur Asimov... Serait-il possible d'avoir une vidéo sur Robert Silverberg, Clifford D. Simak, Jack Vance et AE van Vogt?... merci par avance!...

J’aimerais savoir pourquoi il n’y a plus de vidéos 🥲

Coucou Je termine actuellement la lecture de l’histoire du futur d’asimov et je suis surpris par cet argument de lire dans l’ordre de parution et non pas dans l’ordre chronologique ! Mais pourquoi ??? Pourquoi !!! J’ai personnellement choisi l’ordre chronologique et je me régale. J’imagine que vous vous êtes également régalé bien sûr mais pourquoi cet ordre ? Je ne comprends pas pourquoi s’infliger ce que les lecteurs qui n’avaient pas la chance d’avoir tous les volumes ont subis ? Pourquoi ne pas respecter la recommandation du bon docteur (préface de prélude à fondation). Merci de m’éclairer sur ce qui est pour moi un mystère.

Je ne l’ai pas encore lu mais je l’ai acheté. J’ai d’autres livres à terminer avant d’entamer ce parcours contre les vents. Cette vidéo m’aura donné envie de faire remonter cette quête dans ma liste d’attente (liste très conséquente).

Je découvre tout juste ta chaîne ! Damnation on dirait que ça me plaît ! Je continue donc ma découverte en regardant la jauge m’incitant à m’abonner se remplir. J’ai été tout de suite frappé par une des premières accroches car je suis actuellement très mono auteur, en plein fanatisme de l’histoire du futur vu par les yeux du bon docteur, Isaac Asimov. Je dévore ses livres les uns après les autres et je n’ai jamais, jusqu’à présent, ressenti autant d’attrait pour une œuvre. Quel bonheur de trouver un auteur qui nous plait, quel bonheur de parcourir les dernières pages d’un livre qui nous tient, quel malheur de le terminer malgré l’enthousiasme provoqué par une chute surprenante. Je ne sais pas encore quelle sera ma prochaine phase de lecteur mais j’ai découvert l’amour du livre et je pense qu’il ne m’abandonnera plus.

Intéressant de voir cette vidéo parler de Notre-Dame de Paris et du roman de Victor Hugo quand on sait qu'elle est sortie quelques mois avant le grand incendie. Autre fait notable, il est beaucoup question également du "Nom de la rose" d'Umberto Eco, adapté au cinéma par Jean-Jacques Annaud, le même dont le dernier film est un documentaire sur l'incendie de la cathédrale et l'héroïsme des pompiers de Paris qui l'ont sauvé, "Notre-Dame brûle" qui sortira en 2022. Quelques mois après cette vidéo, sortait également en 2019, une nouvelle adaptation du "Nom de la rose" en série cette fois, une série italo-allemande réalisée par Giacomo Battiato. Je ne l'ai pas vu.

Matrix a beaucoup de William Gibson avec sa trilogie Neuromantique. Un fond de Dick et une forme Gibson je dirais.

Associer Lire et Application ne serait une oxymore ?

"Raising Dion" ou "Comment élever un super-héros" adapté en série Netflix en 2019.

En découvrant cette vidéo en 2022 et sachant plus ou moins le succès (ou pas) qu'on eu ces différentes adaptations, c'est intéressant de voir l'ordre dans lequel ces attentes étaient placées.

⭐

Livre audio : Amis pour la vie 👉 kzbin.info/www/bejne/qH7OmGZ8e6Zgl8U

Oui il a du style...arreter de critiquer pour rien..quand je lis un livre je me concentre sur l histoire.

Franchement je vous envie tous d'avoir ressenti toutes ces belles choses en lisant Damasio. Cool pour vous :) J'avais vraiment envie de l'aimer, moi aussi, quand j'ai commencé la Horde du contrevent. Mais le seul mot qui me venait en tête après avoir refermé le livre après avoir à peine dépassé la page 50 est: Illisible ^^' Question de sensibilité, j'imagine.

j'aime bien fondation mais chez Isaac j'aime plus la caverne d'acier , l'homme bicentenaire ou le défilé de robots.

Mort de rire du début à la fin. Super concept.

Tu nous manque Kilk!!!

L’aimait bien le lsd, le père k dick, ceci explique cela,

Comme si Dieu existait!!!!

Un grand merci pour cette lecture, et respect. Damasio, par son niveau, ses expérimentations sémantiques place la barre haut. Mais pour un admirateur de Umberto Eco, c'est peanuts ;)

La Zone du dehors est une excellente œuvre dystopique qui questionne à sa manière nos "démocraties modernes". Le bouquin fait partie des grandes dystopies à lire et peut se ranger sans rougir aux cotés de classiques du genre tel le meilleur des mondes, 1984, la vérité avant-dernière et autres ouvrages de Phillip K Dick, Tous à Zanzibar et le Troupeau aveugle, Jack Barron et l'éternité, les monades urbaines, ou un bonheur insoutenable. Mais, il reste moins fort que la Horde du Contrevent. Un must read tout de même. A noter qu'il a également sorti un excellent recueil de nouvelles nommé Aucun souvenir assez solide. Une partie des nouvelles sont à lire sous le sceau de la dystopie critiquant avec virulence une forme de mondialisation et un capitalisme que Damasio semble tenir en sainte horreur (dans mes bras mon gros loup) , une autre partie tiens plus de la fantasy poétique tirant parfois ses influences du surréalisme. Toutes les nouvelles ayant en commun une écriture de haute volée, une reconstruction de la langue, un jeu permanent avec celle-ci. Le recueil est composé de 10 nouvelles. Je vais essayer de vous résumer ce que je considère comme les pépites de ce recueil, même si l'ensemble est très cohérent et qu'aucune de ces nouvelles n'est véritablement en dessous. Les hauts parleurs: Où les mots, le vocabulaire, a été privatisé, et où on vous demande des royalties si vous employez des mots propriétaires plutôt que le corpus commun forcément si pauvre qu'il vous interdit de développer la moindre idée. Dans ce monde, des espèces de poètes appelés les hauts parleurs réinventent le langage afin de passer au delà des limites du vocabulaire gratuit imposé par le système. Peut être l'une des deux meilleures nouvelles de ce recueil. Damasio s'en donne à cœur joie dans la construction/déconstruction du langage, mais en profite également pour porter les coups les plus lourds possible à l'idée du copyright en poussant l'idée dans une hyperbole absurde (pas moins néanmoins que de breveter le vivant si vous voulez mon avis). C@ptch@: Les enfants participent à un jeu mortel, sorte de parcours d'obstacle dans une ville tentaculaire dont l'issue est la désintégration du corps et l'intégration des données de l'individu au sein du monde virtuel. Un groupe d'enfants se révolte face à cet ersatz de vie qu'on leur propose, et ils vont essayer de quitter la ville pour ne jamais devenir des "vatars". So phare away: où la dernière ville des hommes est régulièrement submergée par des vagues de béton liquide finissant par se durcir, et ou l'information est diffusée sous forme de code lumineux lancé par une nappe incalculable de phares, métaphore évidente de notre monde croulant sous la pollution, et surchargé par tant d'informations qu'elles finissent par ne plus être signifiantes. El Levir et le livre: Un homme se met en quête d'écrire le livre, dont chaque mot doit être écrit de plus en plus grand, sur une surface de plus en plus gigantesque. Peut-être est-ce aussi un peu Damasio regardant sa propre mégalomanie littéraire. Il n'empêche qu'on se laisse emporter. Sam va mieux: Le récit le plus touchant de ce recueil. Une histoire du dernier survivant et de son enfant. Un homme qui cherche pour combler son manque de contact humain à faire parler le vent et la pluie, à les faire articuler des mots. Une belle nouvelle sur la solitude, et la folie qu'elle peut engendrer.

Marrant de revoir cette vidéo en 2021. Elle date de 2015 et imaginait une apocalypse d'anticipation en... 2020.

stp reviens y en a marre de revoir toutes les vidéo sans suites je suis prêt à tout pour un nouveau brigade du livre

1:00 Contre-exemple Eren Jaeger(Personnage principal) et Livaï Ackerman(personnage secondaire). Enfin après avoir vu la fin de SNK (scan 139) je me suis demandé si la fin était plus ou moins ratée en partie due à la nature même du personnage principal à savoir Eren. J'ai d'ailleurs tenté de faire une fin alternative pour ceux qui veulent à partir du scan 139. www.wattpad.com/story/264913725?wp_page=reading&wp_uname=Onemomo2&wp_originator=Q0uLVcYigp2ZDZdlowHkSiK0JXRxF4PXl6lnbV6lhjyI5XKxR6pBsj1s1uMjS%2BbJvo%2BR14lrLCHxaXlUON4z8Uq1T9SyDyb6JX8cbpgaqoyrI0b%2BUgdpSTalm9YGMz8Y

Très pertinent. Ça résume à la fois pourquoi j'ai lu Werber pendant 10 ans, et pourquoi j'ai arrêté de lire Werber. :]

2:40 environ "proto-histoire" au lieu de "psycho-histoire". Super vidéo !