Si EN ALGÚN SENTIDO SE PARECE MÁS A DURKHEIM, MARX O WEBER Y SI ESTÁ DE ACUERDO O NO CON LAS IDEAS DE BORDIEU porque no se entiende bien pero para los que estamos estudiando por primera vez Sociología queremos entender pero con palabras fáciles y no tan técnicas para que se nos haga mas fácil entenderlo por favor!!! 🙏🏼🙏🏼🙏🏼
@luceritoleo3352 ай бұрын
PORQUE NO HAY NI UN VIDEO EXPLICANDO SU TEXTO DE LAS NUEVAS SOCIOLOGÍAS ASÍ SE PUEDA ENTENDER EN ESPAÑOL!!!
@Bastianovenezia4 ай бұрын
Bravo pour votre travail et le partage de vos connaissances auprès des enfants
@BenedettaMLB7 ай бұрын
Incroyable, c’est ce qu’il me fallait pour remplacer le beurre 😊
@alexandreboisson28729 ай бұрын
bravo !
@_permem198411 ай бұрын
Admirable initiative couronnée de succès indéniables. Cependant, dans le contexte de l'adaptation au changement climatique et de l'augmentation du coût des énergies fossiles, ne faudrait-il pas tendre à l'avenir vers une aggradation des sols et un enrichissement de la vie et de la matière organique des sols via par exemple des techniques de maraîchage sol-vivant ? Malheureusement, le motoculteur ou la motobineuse sont les ennemis des vers de terre anéciques et du maintien en bon état de la structure des sols... kzbin.info/www/bejne/Y2OqfoeOa9SomNk
@_permem198411 ай бұрын
Le découragement est la maladie du siècle... kzbin.info/www/bejne/sJ61fZSPhdeKm7c
@Senses007-x8x Жыл бұрын
La lie de la société n'a pas besoin ... ni surtout envie d'être ré-insérée...... On en a la preuve tous lesjours!!!.. je l'ai fait dans 35 pays. Bonjour la France caca!!!!...
@malikakaci55 Жыл бұрын
bravo bravo
@heleneclavreul Жыл бұрын
Merci pour cette vidéo très claire sur l'émancipation
@bernardvigne3944 Жыл бұрын
Pas d'émancipation de mes vœux a simeon panda athlétisme papillon despotisme et a la salle d'athlétisme ....
@sunkiss4950 Жыл бұрын
Je la trouve bien dans le jugement pour une CIP.
@alainbougrier14362 жыл бұрын
Merci pour ce beau documentaire.C'est très inspirant et cela donne envie de rejoindre toutes ces belles initiatives.
@stephanieAntre22 жыл бұрын
bonjour, si c'est un teaser, cela veut dire que c'est un documentaire? qui va bientôt sortir ? où sera-t-il possible de le voir en entier?
@delphineb27692 жыл бұрын
Bravo Fabienne pour ce réseau mis en place et encore merci pour ce passage à l'Arozoaar qui a changé ma vie.
@emiliendygas22922 жыл бұрын
Bonsoir
@francoislegall76262 жыл бұрын
Enseignant en IEP, passé par au moins huit partis et organes de gauche et d’extrême gauche qu’il a tous quittés car « confusionnistes », Philippe Corcuff coche toutes les cases du libertaire radical démolisseur de l’ordre en place. Idéologue utopiste et néo-alchimiste qui s’ignore, Corcuff a fait un rêve, celui de trouver la pierre philosophale menant à « l’émancipation », sujet auquel il a déjà consacré plusieurs grimoires. Sans doute aveuglé par une trop longue étude de la Lumière, il nous expose ici ses vues sur l’Obscurité, comme si alerter sur la proximité du gouffre était un autre moyen d’approcher les hauteurs. Ainsi, cloîtré dans son laboratoire d’idéologie métaphysique, Corcuff en est sorti après trois années de réflexion avec la formule incantatoire qui décrit le mieux l’ennemi de notre temps : « l’identitarisme », courant qu’il situe surtout à « l’extrême droite », « tendance à fixer les individus et les collectivités humaines sur une identité principale, homogène et fermée », auquel il préfère les « identités hybrides, plurielles et ouvertes. » Problème, la définition est tellement restrictive que ces caractéristiques théoriques du parfait salaud ne correspondent à aucune réalité pratique (hormis les chariatistes, mais c’est visiblement pour lui un sujet tabou). Il est savoureux de noter au passage que le contempteur d’une supposée France moisie, repliée sur elle-même, ait pu concevoir une formulation aussi étriquée. Mais, et c’est à la fois le grand paradoxe et la prouesse de son réquisitoire, cela ne l’empêche pas de trouver une infinité de liens entre cette description improbable et la plupart de ses contemporains tout en apparaissant le seul à se tenir à bonne distance de la menace. Pour parvenir à un tel exploit, que seule sa science ésotérique pouvait permettre, il a su développer dans sa longue réclusion des capacités stupéfiantes : une vision extralucide, un flair de limier et une oreille bionique (autrement plus fine que celle de Super Jaimie) capables de détecter les « aimantations » suspectes, les rhétoriques « nauséabondes » et les chuchotements « complotistes » à des distances sidérales et que nul ne saurait percevoir s’il est non-initié. Voyons comment notre sociologue à chapeau pointu exerce ses nouveaux pouvoirs… Une des grandes fragilités de son propos est donc qu’il paraît construit sur une illusion paranoïde et mû par l’ostracisation d’un ennemi imaginaire d’autant plus facile à dénoncer qu’il le caricature et le diabolise. Car aujourd’hui le souci des soutiens de Zemmour et Le Pen est-il véritablement de fixer les individus « sur une identité principale, homogène et fermée » ? Les sociétés qui fonctionnent le mieux ont bien une identité principale, et aucune n’est totalement homogène et fermée ; tout est question de degré. Moins ouvert ne veut pas dire fermé, et plus homogène ne veut pas dire pas pur. Ceux qu’il juge infréquentables ne trouvent-ils pas simplement que l’hétérogénéité est devenue excessive, qu’elle est un facteur de division et de mal de vivre pour tous, et qu’en avoir moins serait un facteur d’harmonie et de paix sociale, et même d’une forme… d’émancipation ? Au Japon, très homogène, la confiance sociale et la sécurité sont au plus haut et les portes des domiciles restent ouvertes ; au Brésil, très hétérogène, la confiance sociale et la sécurité sont au plus bas et les portes sont grillagées. Mais, en observateur hémiplégique, Corcuff, qui voit tout, ne le voit pas et dira que le premier est un modèle de type « extrême droite » et le second de type « émancipateur ». Lui, si rétif à l’idée de fermeture et de frontière - semblant voir dans toute limite un carcan et jamais une protection -, s’émancipe-t-il de ses portes et fenêtres en les gardant toujours grandes ouvertes, pour mieux accueillir et jouir de l’altérité ? Or, s’il parle toujours des principes, qu’il décrit très finement jusqu’à la ratiocination, il ne parle jamais du nombre et c’est là une autre grosse faiblesse de son livre. Ainsi, indifférent au poids des forces, il ne voit pas pourquoi il faudrait encourager un islam des Lumières plutôt qu’un protestantisme des Lumières. Il est comme l’auteur d’un livre de cuisine qui parlerait des ingrédients mais jamais de leur quantité, et qui trouverait ainsi normal d’avoir autant de sel que de légume dans une soupe et traiterait de « postfascistes » ceux qui refuseraient d’y goûter. Dénonciateur du « confusionnisme », il fait aussi une confusion permanente entre le national et l’étranger au nom de la lutte des classes, comme si les moyens nationaux avaient une vocation universelle. Les moyens du foyer de Corcuff ont-ils vocation à être employés au profit de tout son pâté de maisons ? Autre curiosité, comment peut-il prôner des identités hybrides, plurielles et ouvertes et s’étonner de ne rencontrer que des gens - dont il dresse une liste de plus de cent noms - à qui il est arrivé d’aborder positivement la nation, la souveraineté, le localisme, la langue, la cuisine et le mode de vie français, l’enracinement, le terroir, les traditions…? A l’écouter, seuls seraient fréquentables ceux qui restent éloignés de ces thèmes - donc pratiquement personne -, et c’est à se demander si lui-même n’est pas enfermé dans une identité émancipationniste, voire si, inconsciemment, il n’est pas « aimanté » par une forme de maccarthysme, courant lui aussi amateur de liste noire. Pointe avancée d’une secte dont il a édicté les dogmes et allongé à l’infini la liste des délits d’excommunication, équipé d’une « boussole émancipatrice » indiquant un pôle qui n’existe que dans son imagination, Corcuff se retrouve finalement seul, incapable d’entraîner des adeptes. A écouter ses interventions sur les plateaux télé et radio, on le sent très inquiet de l'accueil de son livre, assoiffé de critiques favorables qui tardent à venir et très peu assuré de la solidité de ses arguments, allant jusqu’à confesser en être réduit à une « espérance mélancolique ». Notre alchimiste aurait-il passé la moitié de sa vie parmi ses alambics pour n’aboutir qu’à une formule foireuse ? Le Torquemada des hybridations plurielles aurait-il décimé ses propres troupes par trop d’anathèmes en croyant les ramener à la vraie foi ? Ainsi, après s’être cru abbé Sieyès, concepteur prolifique de constitutions géniales dont aucune n’a jamais fonctionné, puis soldat de l’An II, appelant à la levée en masse contre tous les oppresseurs, il finira sans doute comme Robespierre et son ramassis d’extrémistes, tombant sous la Grande Lame après en avoir tant usé… Pierre-André Taguieff le dit franchement : « l’émancipation totale du genre humain justifie les pires violences », « l’émancipationnisme est une nouvelle forme de barbarie », et met en garde contre l’émancipation érigée comme ressort et finalité du progrès sans fin qui aboutit à un totalitarisme de l’individu ex nihilo. Et en effet, à aucun moment il ne vient à l’idée de Corcuff que son « émancipation » peut être porteuse de confusion des repères, de trouble de l’identité, de mal de vivre, de délitement et de chaos. Car en fait, à quoi mènerait cette « émancipation » continuellement présentée comme souhaitable avec pour « horizon cosmopolite et libertaire une constellation fédérale mondiale de collectivités humaines » ? En idéologue dépourvu de pragmatisme, Corcuff a la naïveté de croire que la culture prime sur la nature et que l’idée doit s’imposer au réel. Pourtant, de même qu’un nuage de poussières ne peut s’émanciper des lois de la pesanteur, l’individu ne peut s’émanciper des lois de l’anthropologie et en particulier de la préférence à vivre avec ceux qui lui ressemblent. Ainsi, augmenter l’immigration conduira, non pas à un vivre ensemble harmonieux entre populations aux identités plurielles mais, à davantage de communautarisme et donc de frictions entre communautés, de sorte que le mirage émancipationniste débouchera sur une libanisation, voire une balkanisation, et fatalement sur une société plus violente. Ce pavé - qui aurait pu s’appeler ‘Guide du routard qui tournoie dans l’impasse avant de sombrer dans l’oubliette’ - parcouru de références philosophiques, tout en phrases longues alambiquées et dont la lecture est souvent pénible tant il est jargonnant - par ailleurs précis et très bien référencé - constitue toutefois un intéressant recueil des propos les plus saillants tenus dans le débat public sur le thème de l’identité depuis vingt ans. Il a le mérite de montrer les fragilités d’une gauche vermoulue, ses divisions, ses conflits et ses contradictions, son aveuglement obstiné à ce qui paraît pourtant évident à beaucoup, et d’indiquer les « passerelles discursives » existant sur l’ensemble du spectre idéologique, de sorte que cette « grande confusion » apparaît plutôt comme le reflet naturel de la complexité de la pensée au point qu’on s’étonne des étonnements de l’auteur et qu’on est même porté à se réjouir de beaucoup de ce qu’il déplore.
@Shion892 жыл бұрын
Bonjour. Merci pour ce Webinaire. D'après vous les porteurs de projets doivent-ils obligatoirement être du milieu agricole ? Je suis personnellement issu du monde du social et de l'IAE mais serait très intéressé à l'idée de monter un projet ACI maraichage. Merci
@yanncornic23173 жыл бұрын
Bonjour peut on avoir les fiches de Julie évoquée vers la 8eme minutes et du matos un peu concret pour se sentir aider à aller vers se processus? yann
@henrirenaud35683 жыл бұрын
Quand je vois les pourrissoirs dans les jardins de Cocagne j'ai comme un doute
@konanmischael8743 жыл бұрын
Bravooo
@konanmischael8743 жыл бұрын
Salut, Comment apprendre de votre model ? Je suis en Côte d'Ivoire et je suis intéressé d'appliquer une telle innovation chez nous. Merci de me répondre
@eliane-moeavatonohiti17833 жыл бұрын
Magnifique projet !
@christinelefevre16293 жыл бұрын
Bonjour, j’ai lu votre livre - que je recommande vivement - et partage la plupart de vos constats côtoyant de nombreuses structures de l’ESS (associations, coopératives, mutuelles et fondations). Ce gap entre le dire et le faire est effectivement central même si l’on peut toujours trouver des exemples et des contre exemples. Un gap qui provient aussi de la déconnexion des « élites » (=des dirigeants de certaines structures de l’ESS) avec les salariés, des remontées d’info qui ne leur remontent pas pour « protéger les maillons intermédiaires » du management et ne pas remettre en question une organisation. Exemple : un cadre manager est par exemple davantage associé aux informations [réunions de direction] qu’un cadre expert dans son domaine mais sans management. De ce fait, est considéré comme une évolution le fait de devenir manager - et donc une régression lorsqu’on ne l’est pas ou plus. D’où le fait que certaines personnes non adaptées à une fonction de management le reste mettant en péril la santé mentale de leurs collaborateurs. De plus, il y a un biais cognitif des dirigeants - comme de toute personne d’ailleurs face à une information. Ainsi une personne est naturellement plus encline à entendre une information qui va dans son sens plutôt qu’une information qui contredit sa pensée. À fortiori lorsque l’information corrobore une décision prise par le dirigeant. La remise en question n’est jamais chose aisée. Merci à vous pour contribuer au débat.
@Hairiuz3 жыл бұрын
Merci 👍
@grondingilaine4374 жыл бұрын
J'ai eu l'occasion de visiter le jardin Cocagne de la Montagne 97417 La Montagne, je le trouve très beau, j'aimerai connaître davantage cette structure de la Réunion - Merci
@renechaboy10234 жыл бұрын
La précarité en zone rurale se gérera en s'ouvrant ans à une réflexion élargie sur la convergence civilienne . Souveraineté-autonomie-résilience pour une convergence démocratique alimentaire à Caylus et en tous lieux avec les civiliens de la Planète Ouvrons des espaces de réflexions civiliennes pour créer des ponts entre les villes et les ruralités qui s'impliquent dans la vie quotidienne des habitants d’aujourd’hui et des générations futures en évitant le développement des querelles électorales sans solutions Caylus , 82 et civiliens de la Planète facebook.com/groups/caylusouvert/
@christinelefevre16294 жыл бұрын
Ça me donne faim ( bon, ceci dit, il est 11h30 😋)
@robertradus25554 жыл бұрын
c'est bien , félicitations
@hamdymesary8554 жыл бұрын
Bonjour
@SuperBoby395 жыл бұрын
First
@dominiquegreau4005 жыл бұрын
Ça me rappelle un autre projet qui existait dans le début des années 80 à Paris lorsque CHirac était maire de Paris. Un amérindien avait débarqué à Paris, car comme il le disait ses frères aux USA ne pensaient qu'a l'alcool et aux dollars. Il présenta un projet de prendre en charge les terrains vagues de la ville de Paris, Il y en avaient pas mal à cette époque, et cultiver légumes et fruits écologiquement. Chirac accepta et trouva l'idée intéressante et donc lui offrit la possibilité de mettre en oeuvre son projet. De plus ils avaient eu la possibilité dans le XIème arrondissement d'avoir un local pour vendre leurs produits. C'est à cette époque que j'avais eu l'occasion de les rencontrer durant un week-end.
@delphineb27695 жыл бұрын
Très bien résumé et beau projet auprès des salariés en insertion. Bravo à vous Mme la Directrice
@hervebrenguier45935 жыл бұрын
Pas faux
@laurentlegrand24835 жыл бұрын
Alain la serpillière du dimanche
@jardindecocagnelozere91739 жыл бұрын
Merci aux 2 journalistes de France 3 pour avoir montré notre travail au quotidien et l'objet de la structure!
@Mimipalitaf9 жыл бұрын
Magnifique..... quand le coeur devient la seule raison, bravo à toi Jean-Guy !!!!!!!!!!!!!!!!!
@celinepori93089 жыл бұрын
bravo pour cette belle entreprise et le travail plein d'utilité et de bon sens .