Il vaut mieux manger moins et mieux (bio), que nos enfants a la cantine mange plus de bio je suis pour!

HONTE A TOUS CEUX QUI JUGENT LES GENS QUI BOIVENT ...

On ne peut pas sortir si on à pas le soutien de a la famille

reportage sur rien en fait, moi qui pensait apprendre qqc sur Julien Gracq je me retrouve dans un univers un peu trop gaucho a mon gout, qui met en avant les potes a cheval sur la memoire de cet auteur. Creux tres creux

Qu'elle repose en paix je regardai souvent le dessin animé le matin avant d'aller a l'école ❤🕊

Les pêcheurs n'ont plus accès aux berges pas d'accord avec ça !

Je m'en souviens bien ! j'ai la coupure du Journal !

Mes hommages.

En France il n'y a pas de plus belles cathédrale ni de moins belle elles sont toutes magnifique Les une que les autres ❤

Bonjour 👋 peut-on utiliser du polyter pour le système racinaire du développement de la plante de CBD cannabis ? Merci ++

More cycling routes please!

Habite à basoche 😢

Bonjour je voit que vous ne connaisser pas une méthode beaucoup plus facile , moi je suis super contente car j'ai eu l'info du Protocole Coimbra un neurologue brésilien ils ont des résultats justement sur les maladies inflamatoire et auto-immune. Meilleurs voeux de guérison .

Magnifique documentaire , quel courage ! La passion anime le courage à condition d ' être en bon état physique ! Passionnant , j ' adore bravo !

Bravo à julien pour son CDI

Les jurés sont venus faire de la figuration.

Et bientôt une hipporoute réservée aux chevaux et au caleches

Par contre les chanteurs d'aujourd'hui faut arrêter de vouloir chanter comme Ben Mazué

Oui, c’est exactement ça, comme expliquer l’origine d’un proverbe en inventant une tradition paysanne a posteriori sans comprendre la différence entre une charrue et une charrette, la force de poussée et de traction.

Bravo tellement bien de partager.

ca c est bien faudrait le faire dans toute la France

Meme les casques, sont transportés en voiture !

Très amusant, très beau, bravo !!

On ne les trouve nul part,pas même un revendeur,alors ?

J'ai appelé mon banquier il est OK.🤡

Terrible, je crois que je vais la mettre à mon programem printannier !

Encore du goudron !!!

Bien que les dégâts de l'alcoolisme soient les mêmes pour les hommes que pour les femmes, évidemment, l'image de la femme alcoolique est, à tort, beaucoup plus dégradant que pour l'homme. Mais pourquoi la médecine n'a pas une vraie réponse contre cette addiction? Pourquoi est-ce si compliqué? On n'a pas trouvé un médicament? Un protocole efficace et normal à mettre en place?

Pas d'accord de goudronner les bords de canal comme à Donnery où mon grand-père aimait pêcher

super vidéo ! ultra complète, j'adore !!

Cyfac mon tandem de rêve 😊

C'est ça le protestantisme, le reste c'est ne pas du protestantisme, c'est même tout sauf chrétiens

Musique Barcelone

Tiens youtube a encore censuré mon comm ................................. LAMENTABLE !!!! Je disais donc que Pécresse était très bête et j' ai droit de le penser et le dire !!!

Trop bien!

Je n'arrive pas à avoir une netteté parfaite. J'ai utilisé le medium transfert de Cléopâtre. Dois je faire avec un autre produit ?

❤❤

Si vous pensez qu'on peut encore faire confiance aux services publics lisez la suite. Ceci étant dit, mettons-nous d'accord, je reste fermement convaincu qu'ils sont nécessaires et même indispensables. Mais il faudrait sans doute leur accorder de vrais moyens, et un personnel consciencieux et formé. Je suppose qu'il y en a une partie qui l'est, mais l'autre fait de l'ombre à la profession et donc au crédit qu'on peut lui accorder, ce qui en terme de justice est dramatique.

Le 06 janvier 2021, je circulais entre Argentan et le Haras du Pin en compagnie d’Abigaël, mon épouse, lorsque je fus flashé par un radar. J’avais certes bien vu deux panneaux de limitation à 50 km/h, mais ayant passé une intersection et n’ayant pas vu de panneau de rappel, apercevant même un panneau de limitation à 90 km/h plus loin, j’avais relancé mon véhicule. Je venais d’être victime d’une faute de la part des services publics qui allait bientôt se transformer en injustice. Une demi semaine plus tard je recevais à la maison le procès verbal que je contestais aussitôt sur le site internet ANTAI, m’acquittant de la somme de 135 euros correspondant à l’amende majorée de 50 % pour la contestation. A cette occasion j’expliquais qu’il y avait incontestablement erreur de la part de ceux qui avaient implanté le fameux radar, indiquant que d’après le Code de la Route la présence d’une intersection annule de fait les panneaux d’interdiction placés avant, à moins qu’ils ne soient rappelés après. Quelques temps plus tard, ma chère et tendre avait écrit un mail au Conseil Départemental de l’Orne demandant des explications à ce sujet, puisque nos recherches nous avaient amenés à découvrir qu’il en était responsable. Le chef du bureau d’exploitation à l’époque avait répondu sans vergogne ni excuse, qu’elle avait effectivement raison, et que la signalisation manquante était désormais implantée. Je tenais donc là la preuve de ma bonne foi et me disais qu’il me suffirait de la produire pour que cette affaire soit close, même si l’idée que l’incompétence des individus qui avaient implanté la signalisation autour du radar avait assurément généré des injustices et nuit à des personnes innocentes, continuait à m’irriter profondément. J’ai d’ailleurs proposé à plusieurs journaux d’écrire un article à ce sujet, mais aucun n’a daigné répondre. Plus d’un an s’écoula sans que j’aie la moindre nouvelle de l’affaire. Je décidai donc de joindre le Tribunal de Police de Nancy. Je m’entendis répondre qu’ils n’avaient aucun dossier à mon nom, comme si ma contestation s’était évaporée. Je me tournai alors vers les défenseurs des droits et leur demandai de m’aider. Peu de temps après, ils m’apprenaient que puisque j’avais déménagé à Chartres, mon dossier m’y avait suivi, et que l’Officier du Ministère Public de cette ville s’en était saisi. J’écrivis donc à ce dernier une lettre avec accusé de réception lui expliquant le motif de ma contestation et joignant dans le même temps l’échange de courriels entre ma femme et le Conseil Départemental de L’Orne prouvant ma bonne foi et profitant de l’occasion pour lui notifier mon déménagement dans l’Orne et ma nouvelle adresse. Plusieurs mois s’écoulèrent encore avant que la réponse ne tombe, j’étais renvoyé en procédure simplifiée d’ordonnance pénale. Moi qui pensais que les courriels du Conseil Départemental étaient des pièces probantes, j’en étais pour mes frais. Le jugement eut lieu le 5 juin 2023, bien sûr sans que je puisse me défendre puisque telle est la procédure. Plus de deux mois plus tard, le jugement fut envoyé chez mes beaux-parents où ma femme et moi avions habité lors de notre passage à Chartres, preuve que l’Officier du Ministère Public n’avait pas lu mon courrier. Je me trouvais condamné à payer en plus les 31 euros de la procédure sus-mentionnée. Mon exaspération était à son comble, aucune preuve ne pouvait permettre de se défendre ? La Justice pouvait-elle statuer de façon aussi inique, sans tenir aucun compte des pièces apportées par la défense ? Pouvait-on encore parler de droit et de justice ? Il n’eût pas fallu que le responsable de cette décision se trouvât face à moi en cet instant... Bien sûr, je contestais aussitôt cette décision par lettre avec accusé de réception, que ma méfiance croissante à l’égard de l’institution judiciaire m’incitait à conserver précieusement. Quelle ne fut pas ma surprise quand je reçus en décembre de la part du ministère des finances l’injonction de payer les 31 euros de la procédure, sous peine de recouvrement par un huissier. Me renseignant sur internet, je lus que le fait de payer équivalait à un renoncement à la contestation et à la clôture de l’affaire. Je me mis à penser avec colère que j’avais affaire à des personnes retorses, préférant recourir à des méthodes d’escrocs plutôt que de reconnaître leurs torts. J’appelai un agent du Ministère des Finances, qui lui-même ne comprit pas que je me trouve en recouvrement alors que ma contestation était encore en cours. Sympathiquement, il me dit qu’il allait repousser de plusieurs mois leur injonction. Il se passa encore presque 10 mois avant que je n’eusse des nouvelles, j’étais appelé à comparaître le 7 novembre 2024 devant le tribunal de police de Chartres. Quelques jours avant la date je récupérais ma convocation auprès d’un huissier de Flers, et mon dossier pénal par la poste. Quand je consultais celui-ci, je compris déjà certains des problèmes rencontrés. En effet les courriels échangés entre ma femme et le Conseil Départemental de L’Orne avait été tellement mal photocopiés qu’ils étaient amputés d’un tiers, et étaient par le fait illisibles et incompréhensibles. On avait tronqué des pièces essentielles de la défense, je n’irai pas jusqu’à dire que c’était volontaire, la qualité des copies des autres pièces étant elle aussi plus que douteuse. Je pris le départ bien avant l’aube, car j’étais convoqué à 9H15 et j’avais près de 3 heures de route. Mon beau-père m’ayant fait part de son envie d’assister à l’audience, je passai le chercher à son domicile. Nous prîmes le café avec ma belle-mère avant de nous rendre à pied au tribunal. La cour composée de Madame la Juge, Madame l’Officier du Ministère Public et de la Greffière apparut. Il fut convenu que les prévenus qui avaient un avocat passeraient en premier, ce qui est la coutume. Après quoi, ils disparurent pendant 3 quarts d’heure appelant tour à tour une partie des avocats présents. Ils revinrent et les audiences commencèrent. Infractions routières habituelles, téléphone en main, dépassement de vitesse, mais aussi quelques infractions relevant de la correctionnelle. Notamment une qui me revient en particulier, où un dame toute frêle se trouvait accusée d’avoir giflé un monsieur par ailleurs absent, mais apparemment connu pour être violent et d’assez forte stature. L’avocat fit remarquer que le seul témoin était la compagne actuelle du plaignant, que les gendarmes n’avaient même pas demandé, alors que la présence d’une caméra avait été évoquée pendant les auditions, à obtenir le film. De plus, le fils de la prévenue était en couple avec l’ex du plaignant. L’avocat conclut que cette affaire n’aurait jamais dû arriver jusqu’au tribunal. Quand Madame la Juge en vint à demander ce que requérait Madame l’Officier du Ministère Public, celle-ci répondit « Je demande qu’elle soit déclarée coupable mais avec une relaxe ». L’avocat fit remarquer d’un ton mi-moqueur mi blasé que la culpabilité et la relaxe était incompatibles en Droit. Je commençais à comprendre pourquoi je me retrouvais au tribunal. Si elle avait étudié mon dossier comme elle avait étudié le Droit, tout devenait limpide.

Mon tour vint après plus de deux heures d’attente. Je me dirigeais alors vers Madame la Greffière afin de lui remettre les documents que j’avais déjà fait parvenir au tribunal par mail une semaine auparavant. Madame la Juge lut alors l’acte d’accusation que je connaissais déjà par cœur, cela me rappela à toutes les frustrations accumulées depuis le début de cette sombre histoire, et sans doute ai-je manifesté quelque impatience à ce moment-là, je ne me souviens plus vraiment. Toujours est-il qu’elle m’appela devant elle pour me montrer les photographies des deux panneaux de limitation implantés avant l’intersection précédant le radar. Je voulus lui faire remarquer que cela constituait une ineptie en droit routier, étant donné comme expliqué précédemment, qu’à défaut de panneau de rappel de limitation l’intersection annule les panneaux de prescription antérieurs, dont les panneaux de limitation. Là-dessus, elle me coupa la parole et répliqua sèchement que j’aurai l’occasion de me défendre ultérieurement. Je suppose que mon expression avait dû trahir l’exaspération qui était la mienne. Après quoi, elle m’invita à retourner à la barre, ce que je fis. Elle se tourna vers Madame l’Officier du Ministère Public, pour laquelle, comme on l’a vu plus tôt, le Droit compte pour peu, pour ne pas dire rien, et dont le métier semble consister à demander la condamnation de la plupart des prévenus. Enfin, on me demanda de présenter ma défense. Je ne sais plus si c’est à cette occasion que j’exprimai mon orgueil de ne compter aucune contravention routière en 30 ans, mais Madame la Juge en profita de suite pour signaler que sur mon casier figurait la condamnation à 300 euros d’amende pour exercice de l’enseignement de la conduite sans autorisation d’enseigner. Ce à quoi je répondis que j’avais juste oublié de faire la visite médicale de renouvellement, qui n’a d’ailleurs de visite médicale que le nom, tant rien n’y est contrôlé, et que d’autre part à l’époque j’avais des visites médicales du travail très régulièrement, mais elle me coupa à nouveau la parole, comme si mes explications l’indisposaient, et que seuls comptaient les points qui pouvaient nuire à ma cause. J’en vins à parler du fond de l’affaire, invoquant le décret N°2000-80 du 24 janvier 2000 portant publication des amendements à la convention routière du 8 novembre 1968, adoptés à Genève le 5 février 1993, démontrant que le droit me donnait raison quant au fait que l’intersection annulait les limitations la précédant. J’ajoutais le courriel du Conseil Départemental de l’Orne reconnaissant le défaut de signalisation. J’eus le tort d’ajouter en parlant de ceux qui avaient décidé du lieu de l’implantation de ce radar qu’ils étaient soit des escrocs soit des incapables, sans doute aurais-je dû dire « incompétents ». Après cela, Madame la Juge visiblement courroucée par cette assertion, me rappela à l’ordre en me disant que les insultes ne me servirait de rien au tribunal, sur quoi je présentai mes excuses, en précisant que ces presque 4 années d’injustice pouvaient permettre de comprendre mon dérapage verbal. Sa réponse m’a semblé signifier qu’elle se moquait de mes excuses. Enfin, elle m’a proposé d’exposer ma demande auprès du tribunal, et quand je signifiai mon souhait d’être remboursé des 135 euros, ainsi que d’obtenir dommages et intérêts, elle me répondit que nous n’étions pas là pour ça, alors je conclus en demandant la relaxe. Cela fait maintenant 3 jours que cet événement est passé, et avec le recul, j’en viens à penser que cette aventure n’est pas finie et que Madame la Juge ne dira pas le droit, mais voudra sans doute punir ce qui a pu apparaître comme de l’arrogance et qui au fond de moi n’est qu’agacement et colère. Je ne supporte pas l’injustice, qu’elle soit à mon encontre ou à celle de mes semblables. Quand je repense au fait qu’elle m’a signalé que j’avais insulté les responsables de l’illégalité du radar, je me demande encore pourquoi je me suis excusé. D’autant plus qu’au regard des faits, si l’implantation de la signalisation était volontairement illégale, on avait bien affaire là à une escroquerie, et si elle ne l’était pas, à une incompétence justifiant un licenciement pour faute lourde. Madame la Juge pense-t-elle aux personnes qui en ont été victimes ? Si elle désire tant le respect pour les représentants de l’État, ne faudrait-il pas d’abord qu’ils le méritent ? Tout au long de ces 4 ans j’ai eu l’impression d’être confronté à une sorte d’organisation maffieuse, faisant fi de tous les éléments prouvant ma bonne foi. Quoiqu’il advienne, je me battrai jusqu’au bout, quitte à aller jusqu’à la Cour Européenne des Droits de l’Homme pour faire valoir le Droit, et autant que possible mettre les personnes qui ont fait perdurer cette injustice face à leurs responsabilités, leur apprendre qu’on ne peut nuire à ses semblables impunément, que leur place de juristes les oblige à chercher le droit et la justice, et ne les place en aucune façon au-dessus des personnes qu’ils jugent. Je suis généralement quelqu’un de pacifique, mais j’exècre la tendance qu’ont certains individus à vouloir dominer leurs semblables, cela a pour effet de faire monter en moi des vagues de violence qu’heureusement je sais transcender, et qui me donnent l’impérieuse volonté de confronter ces personnes et de mettre à mal leur prétendue domination. J’invite tous ceux qui souffrent d’injustice à se battre aussi, si faible que soit le préjudice, on ne doit pas laisser ceux qui ont le pouvoir l’exercer sans avoir à en rendre compte. Au final cela me coûte, et je me demande quelle procédure pourra me permettre de demander des dommages et intérêts pour les dysfonctionnements dont je suis la victime.

A diffuser dans la France entière ! 😉👍

Depuis que je suis enfant je n'ai jamais aimé le cirque. Voir des animaux faire des tours me dégoute, les clowns ne me font pas rire et les numéros d'acrobates m'ennuient. Je n'aime pas cette ambiance. Ce n'est pas Jumbo qui y changera quelque chose mais c'est une très belle invention.

La porte ouverte aux femme guidé par l'avidité certaines sont correctes mais beaucoup sont des intéressés de l'argent et ont aucun scrupule a écarté les pères pour favoriser cette indemnité scandaleuse car quand ont calcul réellement et surtout en étant honnête entre aides sociales allocations etc... Certaines mère s'en tire bien mais bon encore une fois seul l'honnêteté confirmerai cela

La porte ouverte aux femme guidé par l'avidité certaines sont correctes mais beaucoup sont des intéressés de l'argent et ont aucun scrupule a écarté les pères pour favoriser cette indemnité scandaleuse car quand ont calcul réellement et surtout en étant honnête entre aides sociales allocations etc... Certaines mère s'en tire bien mais bon encore une fois seul l'honnêteté confirmerai cela

On lui souhaite le meilleur tu va réussir

10 ans après. l'État a clairement fait le choix d'utiliser les camions au lieux des trains. Par rapport a ce que dit le Monsieur dans la vidéo. l'État a donc fait le choix d'utiliser un peu plus de 1900 camions pour remplir un bateau au lieu de 40 trains.... Sachant que les bateau ont grossi entre temps.... Très écolo tous ça....

Et pour les habitants aussi !!!!!

Vive le cirque avec animaux

Excelente 🤗

il ne se vend pas car il est trop cher, par rapport aux coûts des travaux à réaliser, c'est tout!