A relativiser avec le fait que c'est elle qui a répondu à la question de rapidité et qui doit dire "le dernier mot"

@francisland1628 😆 oui cette 1ère question induit donc une prédisposition mais ça n'a pas l'air de changer leurs habitudes, y'a juste à observer leurs interactions pour savoir qui porte la culotte en dehors du plateau... 😅 😂

l'histoire géographie c'est pas son truc oui

Y a un ecran en haut qui permet de lire les questions. On le voit à la toute fin du générique de début

C'est simple : ils ne voient rien et répondent à coté.

😂😂😂

@@francisland1628 Merci de la réponse

De rien c'est un vrai plaisir 😉😁

Pareil j'avais l'étiquette facilement Et on était en 2002 le niveau des profs s'est pas arrangé

Passionnant. Laissez moi me remettre de vos impressions...

@chanjmenklimatix3783 Questce que tu fais dans lespace commentaires alors ???

De rien ! 😁

J'attendais impatiemment ce commentaire 😍😍😍 Surtout avec un candidat n'ayant plus de joker dès la 6e question 😂 L'autre est pas plus brillante

forum.hardware.fr/hfr/Discussions/TV-Radio/unique-emissions-qualitay-sujet_10773_4707.htm Si j'en crois ce forum il a pris le public sur cette question : La plupart du temps, que porte Arsène Lupin sur la tete ? Un bonnet de bain Un beret Une sombrero Un haut de forme

Ce commentaire présente plusieurs procédés rhétoriques et stylistiques qui méritent une analyse détaillée : 1. Un ton faussement modéré pour mieux souligner l'ironie L’auteur commence par une phrase d’introduction qui se veut grandiloquente et faussement neutre : « Je ne pouvais évidemment pas laisser passer une occasion pareille de sortir ma plus belle plume afin de pouvoir exprimer une fois de plus une opinion objective et modérée. » L’usage de l’ironie est évident : la référence à une « opinion objective et modérée » contraste avec la virulence du propos qui suit. Cette phrase pose donc une posture d’exagération qui sera poursuivie tout au long du commentaire. 2. L’indignation et l’exagération Le cœur du message exprime une indignation outrée face à l’ignorance supposée des candidats : « Non mais franchement, comment peut-on ignorer que l’abeille est venimeuse ! » L’interjection « Non mais franchement » marque une exaspération théâtrale. L’exclamation finale renforce le ton péremptoire. L’auteur poursuit en utilisant une métaphore méprisante : « Ces candidats sont-ils fournis avec un cerveau ou un pois chiche ? » La comparaison entre le cerveau et un pois chiche repose sur l’exagération et l’humour moqueur. Elle sert à décrédibiliser totalement les candidats en les assimilant à des êtres dépourvus d’intelligence. L’amie du public est, elle aussi, ridiculisée : « L’air le plus niais du multivers ! » L’hyperbole « du multivers » donne une ampleur cosmique à la stupidité supposée de cette personne, renforçant encore le registre de la moquerie. 3. L’accumulation pour amplifier la critique L’auteur enchaîne ensuite avec une critique du candidat qui utilise tous ses jokers prématurément : « Quant à l’énergumène qui utilise ces quatre jokers avant la question 6, je préfère ne pas en parler ! » Ici, la formulation « je préfère ne pas en parler » est une technique rhétorique qui suggère que le sujet est tellement consternant qu’il ne mérite même pas d’être évoqué, tout en attirant paradoxalement encore plus l’attention sur lui. 4. Un basculement vers une critique plus grave : la question du droit de vote La dernière phrase donne une tournure plus sérieuse au propos : « J’aimerais que nous prenions un instant pour mesurer que des gens pareils ont le droit de vote ! Cela fait vraiment peur ! » Ce passage introduit un changement de registre : on passe de la moquerie légère à une inquiétude plus profonde sur les implications sociétales de l’ignorance. La phrase suggère que l’auteur ne se contente pas de se moquer des candidats, mais qu’il remet en cause leur capacité à participer aux décisions démocratiques, ce qui peut être perçu comme une exagération ou une réflexion plus large sur le niveau de connaissance générale de la population. Conclusion Ce commentaire repose sur une rhétorique de l’exagération et de la moquerie pour exprimer un mépris virulent envers les candidats. Il utilise l’ironie, l’hyperbole et l’accumulation pour amplifier la critique. Cependant, en élargissant le propos à une question politique, l’auteur dépasse la simple moquerie pour toucher à un débat plus profond sur la compétence des citoyens dans la vie démocratique. Ce type de commentaire, courant sur les réseaux sociaux, illustre bien la tendance à dramatiser et à transformer des situations anodines en sujets d’indignation, souvent pour le plaisir du bon mot et de l’exagération comique.

100% d'accord... des générations entières d'animateurs sont sacrifiées pour que ces Dinosaures restent en poste jusqu'à leur dernier souffle....

Dans quelle emission est il encore présent?