Каждый раз, когда я слушаю эту песню, прославляющую Бога, меня охватывает восторг мастерством Фрица Вундерлиха!

Er bringt die Energie der Operette gut rüber!

QUE INMENSO COMPOCITOR KORNGOLD

GRAN CANTANTE

Thank you for putting this on line.

Schiotz gave a master class at my college, having been invited by my voice teacher with whom he had worked in Aspen. His insight into Lieder was exceptional & we all profited from his insight & compassionate patience when we sang for him. While there he also presented a notable recital, as a baritone by then, & I will always cherish the memories of his interaction with us.

I find his voice well suited to Korngold

Vater, Mutter, Schwestern, Brüder hab' ich auf der Welt nicht mehr. Kehrt ich auch zur Heimat wieder, fänd' ich alles öd' und leer. Ja wenn nur noch Eins am Leben, das sollt' eine Freude geben das sollt' eine Freude geben. Oh, wie süss und oh, wie schön, wär' ein solches Wiederseh'n Oh, wie süss und oh, wie schön, wär' ein solches Wiederseh'n. In der Reichsstadt traf' ich neulich einen dicken Schenkwirt an. "Freundchen" sprach er "nicht so eilig, seit so gut und kommt heran, gelt ihr wisst wovon ich spreche, zahlt mir jetzt die schuld'ge Zeche, zahlt mir jetzt die schuld'ge Zeche." Das war mir, ich muss gesteh'n, gar kein freudig' Wiederseh'n Das war mir, ich muss gesteh'n gar kein freudig' Wiederseh'n. Hab' schon öfter sagen hören, dass man dort sich wiedersieht. Aber niemand kann's beschwören, keiner weiss was dort geschieht. Wenn es fest und sicher stände, dass man dort sich wiederfände, dass man dort sich wiederfände. Wär' in jenen lichten Höh'n, wohl das schönste Wiederseh'n. Ja dann wär' in lichten Höh'n, wohl das schönste Wiederseh'n.

Give us more Guntram!

Sin comentarios,es una obra maestra.

Espectacular canción final de korngold

¡EXCELENTE!

Danke

Maravillosos filados. Valiente en los agudos. Preciosa interpretacion. Bravo!!

There was only one Wunderlich - a marvel of nature.

A great Strauss fan, I’ve not heard this final scene in years, and I can’t stop weeping, it’s so beautiful.

Grosartiger Sanger Alter Schule

Oh boy, THANK YOU!

Great tenor

Brava! Wonderful!❤

Wow! Beautiful!!!❤

Eine der schönsten Opernszenen ,die ich kenne.Leider wenig bekannt.

My favorite soprano with his beautiful and awesome high³ notes.

😊

Mein Gott, wie wunderbar!

The final line of _Brand’s Heath_ by Arno Schmidt is “Weep not, Liu.” After listening to this, I can see why.

Für Immer Fritz Wunderlich❤ 🙏

Ich fühle mich gesegnet, Kurt Moll in dieser Rolle ein paar mal erlebt zu haben. Heute ist mir diese Aufnahme ein Anker in lauten Und herausfordernden Zeiten. Danke Kurt...ich hör Dich drüben wieder....

Her head voice clarity and length are unmatched. Fascinating

The very best of them. They don’t make them like that anymore….

Whoever is on the thumbnail, it’s not Wunderlich.

THANK YOU to RSO Berlin - Christof Perick and the superb voices who are bringing this completely unknown work -- to me -- in to my life. And thank you to @john smith for uploading this wonderful excerpt on bootube. I'll now try to find the entire opera.

Diese Arie aus Undine von Lortzing beeindruckt tief und Fritz Wunderlich bringt sie mit seiner wunderbaren stimme voll zum Ausdruck.....unvergleichlich!

This is a live house recording. She was near 60 by this point.

Very moving-almost to tears.

ES CAPAZ DE CANTAR TODOS LOS GÉNEROS MUSICALES CON UNA VOZ DIÁFANA , CRISTALINA Y POTENTE COMO MUY POCOS LO HACEN.

Funtastic❤❤❤

nice Asmahan - Ya touyour أسمهان‎

I'm glad that Korngold "stayed in his lane". He more than anybody, knew what he did best. A master of orchestra and harmonics rivaled only by Puccini, Wagner and Strauss. And on some days, he has no rival.

And what a finale

Lo mejor de lo mejor. Mi mamà sentía verdadera devoción. Un deleite en todos los sentidos. Gracias.

She was an incredible ARTIST. I just admire her true honest portrayals to the greatest art form in the world. 🇫🇷 🇩🇪 Greetings from France Arnaud Bourbon Amaral

Eine der schönsten Stimmen in seinen besten Zeiten !!!! Und 2023 wird der Welt ein Vogt serviert...o, Himmel....!

Seems to me that Kolo has the right sort of voice for the tenor role, despite the wear & tear on his voice from singing Wagner.

Vielen Dank für diese Übertragung. Er war, ist und bleibt mein Traumtenor. Was für eine sagenhafte Stimme! Besitze den CD. Schönes Wochenende und LG aus Montreal, Qc, Canada

Mit jedem neu gehörten Lied treten alle übrigen Tenöre ins zweite Glied. Fritz Wunderlich war der größte Sänger des 20. Jahrhunderts, und es wird wohl auch in diesem Jahrhundert kein adäquater Nachfolger in Erscheinung treten. Dessen bin ich mir ziemlich sicher.

Voces de primavera

Ce qu'il y a de frappant chez Korngold c'est qu'il parvient à "boucler la boucle" de la mélodie typiquement viennoise, qui s'étend à l'infini, nous laissant épatés. On peut le trouver semblable à Richard Strauß à cause de deux raisons : une orchestration superbe, et un certain ressemblant dans les mélodies. Néanmoins, il y a un abîme entre eux. Cet abîme est le sprachtgesang, dont Strauß fait constamment usage dans ses opéras. Clairsemées au beau milieu de la trame languissante du bavardage musical, de temps en temps, voilà une belle mélodie qui s'épanouit. Mais Strauss n'a pas été précisement un mélodiste. Ses opéras surabondent en mélodies entâmées mais jamais résolues. Korngold fût un véritable génie de la musique : il réussit là justement où Strauss hésite toujours, finissant sa carrière lyrique avec ce symbole de l'immoralité frivole qu'est Capriccio. Tous les opéras de Strauss nous mènent de la main dans le chemin qui aboutira à cette petite fable venimeuse montée sur la supposée prééminence du texte sur la musique, ou viceversa, joute qui avait été déjà envisagée et résolue par Gluck à la fin du XVIIIème. siècle. Or, Strauss écrivit tous ses opéras dans une recherche éperdue de la mélodie absolue. Il y réussit de façon fragmentaire. Korngold, par contre, réussit ce propos dès le début. Il ne recherche pas la mélodie absolue, il en fait usage de la façon la plus spontanée et naturelle du monde. Et comment donc procède--t-il? Sûr de lui même et de son cible, Korngold ouvre les fenêtres au printemps et permet que la mélodie surgisse. Il ne la recherche pas, il la trouve à son départ. Korngold n'employe jamais la cacophonie du sprachtgesang. Ses personnages s'expriment chacun à son tour, avec des tournures musicales bien poétiques, et le tout demeure clair et traslucide. Ecouter la musique de Korngold est quelque chose de réjouissant. On arrive à un sommet, d'où l'on aperçoit un beau paysage, et on respire à pleins poumons un magnifique bon air. Finis les personnages traqués, hantés, ambivalents, perfides de ces tragédies ou comédies lyriques d'Hoffmannsthal, disciple spirituel du marquis de Sade. Hélas, pour Capriccio Hoffmannsthal n'était plus là, mais Strauß c'est bien arrangé pour épancher, avec l'aide d'un ami chef d'orchestre, le livret, et puis la musique de cette petite muflerie à l'air aristocratique, mais qui en dit trop long sur les moeurs d'une certaine haute bourgeoisie. La formule de Strauß est toujours la même : le monologue du Soprano omniprésent clôt l'opéra, et la morale de la fable est sceptique. Korngold est, par contre, enivré de mélodie, qui est la sève de la vie, et son regard sur le monde est bien loin de la mégarde straussienne. Korngold soutient le chant avec une orchestration magnifique, mais quand même il ne la bourre pas de cuivres, comme le fait Strauß, par exemple, dans l'interlude d'Arabella. Et puis, Die tote Stadt, je la suis dès mon enfance. C'est un opéra compréhensible pour tout le monde, même pour les enfants. Que c'est bon, hormis une vague ressemblance dans le style mélodique, de passer outre l'amphigouri du musicien bavarois, imposé par le snobisme du goût musical, et le matérialisme inhérent à ces respectifs snobs, et s'élever spirituellement avec Die tote Stadt, un des plus beaux opéras du répertoire lyrique!!! Merci!!! Pedro Miguel, Mar del Plata, Argentine

Beste existierende Aufnahme dieser begnadeten Oper. Ausgegraben übrigens in den 80ern von John Dew, als Bielefeld seine goldenen Opernjahre der Renaissance hatte. Werde mich ewig daran erinnern dabei gewesen zu sein ;-)))))))))))

Выше всех похвал ввеликая певица с уникальным тембром