Bonjour, je pense que vous faites erreur car cette vidéo ne traite pas de vélocipède.

Merci, n'hésitez pas à consulter d'autres vidéos de notre chaine.

Bonjour Florian, en effet dans le cas du Metal Binder Jetting les couches de poudre sont suffisamment résistantes pour imprimer sans support. Cela est dû au fait qu’il n’y a pas de fusion du matériau dans cette étape, ce qui évite les déformations et contraintes résiduelles tout en permettant de produire des pièces en suspension sans aucun renfort.

Bonjour Mr Outan, pour toute question, n'hésitez pas à contacter notre Service Question Réponse au 0970821680 ou par mail au [email protected] , nous ferons au mieux pour y répondre

Bonjour Mr Cailler, concernant votre demande, vous pouvez l'adresser à notre Service Question Réponse par mail au [email protected], ou par téléphone au 0970821680

Thank you for your comment. For all your questions, do not hesitate to contact the service Questions Answers on +33970821680 or by e-mail : [email protected]

N'hésitez pas à contacter le Service Question Réponse pour toute question : 0970821680 ou par mail au [email protected]

Tout d’abord merci pour l’intérêt porté à la technologie de l’usinage cryogénique. Concernant l’intérêt technique de la cryogénie, pour faire simple et efficace, vous n’êtes pas sans savoir que, peut importe le procédé d’usinage, le contact outil/matière fait se générer des températures très importantes dans la zone de coupe. Ce faisant, pour certaines configurations d’usinage, comme par exemple pour la mise en forme des matériaux réfractaires (titane, inox, autres), l’élévation en température est un facteur très limitant du point de vue de la qualité, de la productivité et de la durée de vie de l’outil. Et pour cause, lorsque la température de coupe s’élève de trop et que l’outil coupant accumule trop de chaleur, alors une réaction chimique opère et provoque, par exemple pour le cas des outils en WC-Co, une migration du Co vers la pièce usinée, donc une usure prématurée ou accélérée… L’idée N°1 avec la cryogénie n’est donc pas d’annuler l’élévation en température dans la zone de coupe mais de la limiter afin d’accéder à un meilleur équilibre thermique et donc de facto à un meilleur rendement technico-économique de l’opération d’usinage. L’idée N°2 avec la cryogénie, au regard du fait qu’il s’agit d’une technologie se classant dans la catégorie des usinages à sec, est de recourir à un système qui ne pollue pas la pièce usinée et qui de facto, ne nécessite pas d’opération de nettoyage en post usinage. Pratique dans l’alimentaire ou dans le médical par exemple… Quant à ‘’l’usinage céramique’’, le Cetim vous laisse maître de vos propos car ce qu’il est possible d’observer dans le cadre de l’usinage à l’outil céramique c’est que, dans certains cas de figure, cela peut permettre d’accéder à des volumes copeaux intéressants, cela avec un haut niveau de productivité. Ce à quoi, dans pareille situation, les outils de coupe conventionnels ne permettent pas d’accéder. Vous conviendrez donc qu’il ne s’agit pas uniquement d’un effet visuel.

Merci, n'hésitez pas à nous contacter au Service Question Réponse pour toute question au 0970821680 ou par mail au [email protected]

Bonjour, nous sommes un centre technique de recherche et de développement dans la mécanique. Pour toute question, vous pouvez nous contacter au [email protected] ou par téléphone au 0970821680

Merci pour votre retour. Si vous avez une question ou besoin de précision, n'hésitez pas à contacter le Service Question Réponse au [email protected] ou par téléphone au 0970821680.

Merci beaucoup Evan, n’hésitez pas à regarder nos autres vidéos sur la fabrication additive.

@@CetimFrance je ferais ça 😉

Bonjour, merci pour cette précision.

Bonjour, je vous conseille de vous tourner vers la société Mil's pour vous aider à résoudre le problème de vos machines.

Bonjour, Il s'agit d'un casque ventilé autonome de type Versaflo M équipé d’une unité filtrante Jupiter de chez 3M. N'hésitez pas à nous contacter pour toute autre question.

Nous travaillons justement à l’intégration de ces nouvelles technologies en collaborant avec l’INRS, la médecine du travail et d'autres organismes officiels pour la prise en compte au plus tôt des risques liés à ces nouveaux procédés.

effectivement : risques non seulement très fréquents mais sous-estimés !

Le formage en question fait partie des opérations d’emboutissage qui sont le domaine par excellence traité par l’équipe Métaux en feuilles du Cetim. Pour une étude plus précise du problème il sera nécessaire de prendre contact avec Monsieur André MAILLARD, expert référent en mise en forme, via l’email suivant : [email protected] ou par téléphone au 0970821680.

Ce qui est montré dans la vidéo est surtout axé sur la machine instrumentée de tournage qui sera utilisée pour collecter de la donnée process dans le cadre de ce projet IOTWINs. Cette collecte permettra dans un 1er temps d’affiner les modèles de simulation, et là ce sera lors de la phase R&D de ce projet. Lors de la phase de validation en fin de projet, cette même machine instrumentée, jouera le rôle de machine de production instrumentée, et permettra alors de valider les logiciels développés dans le cadre de ce projet, que ce soit, lorsqu’ils seront utilisés dans la phase de préparation Méthodes, lors de la mise au point ou encore en production. Cette partie n’a pas été montrée lors d’Intercut 2020 car elle est en cours d’étude. Enfin, pour ce qui est du Big data, l’idée dans ce projet est d’utiliser le retour de données de production pour affiner les modèles de simulation et de prédiction. Et on ne cherchera donc pas à piloter un process en dehors de ce cadre. Si vous avez d'autres questions, n'hésitez pas à contacter le SQR au 0970821680 ou par mail [email protected]

Vos réserves sont légitimes. Le Cetim par ses travaux et ses communications sur le sujet essaie justement de lever ce type de réserves. Pour vous répondre, dans l’ordre des sujets abordés. Concernant la précision, il n’y a hélas pas de réponse générique à formuler puisque chaque cas d’usinage est un cas particulier en soi. L’usinage cryogénique n’échappe pas à cette règle. Cela étant dit, il est possible de préciser que toutes les expérimentations ayant été réalisées au Cetim ainsi que celles relatées dans les articles techniques et scientifiques dans la littérature, ne laissent pas apparaitre d’influence négative concernant les précisions d’usinage. Pour ce qui est de l’exposition aux basses températures, donc au phénomène éventuel de rétractation pièce, sujet qui rejoint par ailleurs un peu le précèdent, ce qu’il faut savoir c’est que la durée d’exposition au fluide cryogénique est relativement faible. Pour le dire autrement, la durée d’exposition est suffisamment importante pour influencer favorablement le processus de coupe et suffisamment faible pour limiter l’impact thermique sur un volume important de la pièce. S’agissant du cout, encore une fois, impossible de comparer frontalement une technologie cryogénique avec une technologie conventionnelle comme l’émulsion par exemple. En effet, il faut évaluer au cas par cas les gains technico-économiques auxquels la cryogénie peut permettre d’accéder afin d’observer si oui ou non le cas de figure représente un potentiel, et si oui, à quel niveau de rentabilité économique il permet d’accéder. Le Cetim se porte à votre disposition pour une faisabilité ou tout autre travail sur le sujet de l’usinage cryogénique.