C'est dommage de lui porter ce jugement car il dit a plusieurs reprises qu'il n'est ni technophobe ni technophile. Je le trouve extrêmement bienveillant dans son analyse des personnes qui font et utilisent la tech de demain. Au fond tout dépend des usages. Le soucis c'est que nous sommes finalement peu libre sur nos objets tech. À l'exception de certaines initiative comme Fairphone ou les laptop Framework, la plupart des smartphones et des ordinateurs portables deviennent de plus en plus complexe à "hacker" (c-à-d à bidouiller pour en faire un usage particulier, s'approprier l'objet) En cela je le rejoins complétement.

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