Merci pour votre réponse pouvez vous me mentionner le traitement svp?

Elle a pris sa retraite au moment du COVID, il ne restait plus que le docteur Barthélémy de Bourbonne-les-Bains dernier disciple du docteur Henry Picard pour prescrire ce traitement mais hélas il a lui aussi pris sa retraite il y a 2 ans.

vous ne croyez pas si bien dire en parlant de la salsa : jusqu'à lui c'était plutôt une musique assez élitiste et dont c'étaient plutôt des initiés qui allaient l'écouter dans des clubs comme le New Morning à Paris. Mais elle fut jouée en marge de son enterrement (il y a même eu en 1980 un film, Aïnama : 'Salsa pour Pierre Goldman') et c'est ainsi que les milieux militants ont pu se l'approprier

"Insoutenable" "hideux spectacle", je plussoie, voilà pourquoi, j'ai repris cet hommage à Pierre Goldman, qui fusait de toutes parts, venu d'Azuquita

@@nunportkwa en plus de ça ce n'est... pas d'hier, que ce Prazan se livre à de l'intoxe.... C'est il y a maintenant bientôt vingt ans qu'il est venu faire son intéressant autour du fait qu'un (peu fiable) ami antillais de Pierre nommé Lautric avait changé d'avis à propos de la présence de Pierre chez celui-ci à l'heure du double crime dont il fut accusé. Mais il est mal tombé avec moi, Prazan : ma connaissance du dossier n'a rien à envier à la sienne et je ne le laisserai plus, impunément, écouler son vomi. Il suffit ici de rappeler que lorsque le 8 avril 1970 Pierre fut arrêté et alors qu'il ne se cachait nullement il savait toutefois que quatre jours plus tôt, le 4 avril, un petit truand qu'il désigne sous le nom de X2 dans les 'Souvenirs obscurs' avait été entendu par les flics. A priori Pierre n'avait rien à craindre dans cette affaire du double crime mais il savait que l'intéressé le soupçonnait d'en avoir été l'auteur (à la fois, au vu d'indications parues dans la presse, et du fait que Pierre lui en imposait... pour avoir été au Venezuela). Aussi, Pierre fit ce que n'importe lequel d'entre nous aurait fait à sa place : il demanda à Lautric, "si on t'interroge, t'auras qu'à dire que j'étais chez toi à l'heure du crime". Et bastaközy avec ce Prazan et tous les mous-du-genou, parmi lesquels les juifs ne sont pas moins bien représentés que les non-juifs et qui le laissent écouler son vomi alors que la moindre virgule-de-travers, quand elle concerne le dernier des fascistes, suscite une levée de boucs liés...