J'adore totemus

Nous avons découvert trois mois et nous sommes déjà à notre sixième chasse

Bien ça. Beaucoup plus agréables pour les promenades dans les Fagnes

Chouette initiative. C'est à quel endroit ?

Balade vélo historico-naturelle

super merci

Respect.

Je viens d en entamer un . Et j en viens à me dire que ce serait bien de vendre des fromages fabriqués avant la traite des vaches ( ironie).... parce qu ici on peut acheter n importe quel fromage de herve n importe où. Il faut attendre 3 mois pour arriver a avoir un produit à peine affiné. Le Herve de mon enfance était un véritable produit fini . Aujourd'hui c est un bloc de fromage dur comme une brique incipide et inodore. Est ce normal ????. Où alors c est pour cibler un segment de consommateurs qui n aiment que le fromage qui ne sent pas , qui ne goute pas.... les amateurs et passionnés n ont qu à attendre 3 mois pour espérer avoir un futile souvenir d une saveur passée. Qu'est devenu le fromage qui faisait de la Belgique un pays qui mettez une douilles au culs des français...

Honneur a ce monsieur courageux, comment mon papa perdu a 9 ans. Salut de Marcinelle

Excellente initiative.

Cela a l'air vraiment trop comme expérience à vivre !

L année passé ma classe et moi avons été guidés par michel et c était une bonne visite .

Bonjour comment faites vous pour l herbe il n'y en a pas

Chouette vidéo !

À la fin il laisse la porte ouverte il ne faut pas laisser la porte ouverte c'est ce que le guide de blennie mine nous a dit 😯

C'est là où j'ai été aujourd'hui 😀 je suis fasciné 😱😊 pauvre hommes 😞

Bravo pour les organisateurs (et leurs soutiens) de cette exposition !!

Help and action for orphanages, hospitals and people in difficulty with projects.

Ah! Qui rêver de mieux comme guide que Guy Lemaire! Je note dans ma to do liste pour une visite en été de cette année! Espérons que les touristes seront au rendez-vous!

C'est un territoire que je connais peu! Mais il a l'air intéressant malgré tout!

dommage que cela fasse la promotion d'endroits comme "le monde sauvage".... ce n'est pas ces prisons animalières qui font notre région.

Le plus grand de tous les temps.

Très beau site à visiter! J'y ai visité voici deux, trois ans, une très belle expo sur la 1ère Guerre Mondiale.

Parmi les Musées situés sur le territoire de la Province de Liège, c'est un de mes musts pour découvrir l'expo permanente sur l'histoire de la vie et les traditions wallonnes, en plein coeur de Liège. Ce musée est situé dans un très beau bâtiment...Je suis déjà allé le visiter à plusieurs reprises, mais j'ai aussi apprécié les expos temporaires (sur la Première Guerre Mondiale, sur Da Vinci, sur les Crimes et le Sang (?)).

Super! Je me réjouis d'aller la visiter! Qui plus est dans un très beau site d'expo (Gare des Guillemins de Liège). Cette thématique m'intéresse depuis très longtemps. L'Histoire avec un grand H en général, et en particulier, dans le cas présent, les épopées napoléoniennes. J'ai hâte d'en découvrir encore davantage sur "Napoléon, au-delà du mythe"...

Excellente initiative de la part de la Province de Liège/Tourisme!!

Je me souviens y être descendu quand j'étais encore écolier. C'était très impressionnant. Puis, j'y suis retourné en tant qu'étudiant ou travailleur dans le secteur du tourisme. C'est une très belle expérience à vivre. Descendez au fonds de la mine à Blegny, allez-y, vous ne serez pas déçu!

Encore un très beau projet porté par la Province de Liège. L'accessibilité: je trouve que le tourisme accessible via l'inclusion pour tous est la clé pour demain...Le tourisme de demain devra être accessible non au plus grand nombre, mais bien à tous, à l'ensemble des publics!

Très beau projet que "la transmission de la mémoire" surtout quand il se fait par le biais "des plus jeunes générations", qui "seront les adultes de demain". Le devoir de mémoire est, selon moi, ultra-important, pour que les erreurs du passé ne soient plus commises dans le futur! Selon moi également, comprendre le passé aide à traverser le présent et à préparer au mieux l'avenir! Continuez sur cette lancée!

C'est une chouette expo, qui mérite la peine d'être visitée!

Geschiedenis! Herdenking! Om de gestorven soldaten nooit te vergeten! Om nooit te vergeten hoe hard ze vochten tegen de Duitse veroverers!

ça a l'air vraiment pas mal! Pour un team-building? Ou une après-midi en famille ou entre amis?

Ah! Ah! C'est vraiment bien comme émission, franchement...Avec Tchantchès!

Quand il n’en manque pas

Superbe vidéo faisant la part belle à ce très beau projet!

Découvrir et redécouvrir la Destination Wallonie, un must pour cette saison touristique estivale. Décidément, 2020, une année pas comme les autres!

"Wallonia Land of Water 2019" - I suggest you to try the Shuttle Boat on the River Meuse ; I already tested it once in Liege (from City-Center to Guillemins) & once in Visé (from Robinson Island)! Both were great!

Hello everybody! Je trouve cette vidéo très intéressante, elle donne vraiment envie de tester l'offre de la Province de Liège pour l'année thématique 2018... Et de découvrir également l'ensemble de l'offre touristique, gastronomique et culturelle de même qu'événementielle!! Congratulations! Go on that way!!

Vendredi 16 mai 2014 Le contenu de cet article est protégé par copyright et droits d'auteur.Toute utilisation du texte ou des photos doit s'accompagner de la mentiontiré du site www.leptitecrivain.fr ou Photo réalisée par Le P'tit Ecrivain avec un lien direct vers le site.La meilleure façon de respecter et de préserver le travail de notre équipe. Interview de Nicole Nonin-Grau, Mon grand-père : ce héros 16 mai 2014 Je ne sais pas si j’ai véritablement décidé d’écrire l’histoire de mon grand-père ou bien si c’est l’inverse. La vie d’Eugène s’est imposée à moi et il est devenu évident de la relater tant le sujet devenait obsédant et me taraudait l’esprit. Chaque mot me faisait trembler d’émotion et l’insomnie a été le berceau du récit. Entretien avec Nicole Nonin-Grau, auteure de Mon grand-père : ce héros, essai sur la guerre de 14-18, et hommage à son grand-père : Eugène Nonin. LPE : Nicole, pour écrire "Mon grand-père : ce héros", vous avez récolté des témoignages au sein de votre famille en premier lieu. Les victimes de la Guerre de 14-18, vous le dites dans votre ouvrage, restent dans le silence, mais le témoin est passé, de génération en génération, aux enfants qui parleront de ce qui a été. Comment vos proches ont-ils accueilli votre démarche, votre travail de mémoire ? NNG : Oui, j’ai beaucoup fait appel à mes souvenirs et aux choses racontées. J’avais en 1990 fait une étude généalogique qui m’a été précieuse. J’ai plus tard effectué une recherche documentaire. Puis, je me suis rapprochée de « Mémoires des hommes » et des associations ayant compétence. L’un de mes frères m’a communiqué quelques pièces supplémentaires. J’ai lié tous ces éléments puis l’histoire a démarré naturellement. Il me restait à garder, tout au long de l’écriture, les yeux grand ouverts sur l’horreur. L’après-conflit a généré un silence d’une profondeur inouïe ? Il fallait tout oublier et faire comme si rien ne s’était passé ? Néanmoins l’ampleur et l’atrocité de cette grande guerre ont eu un impact abyssal provoquant des ondes de choc qui ont traversé continûment les générations successives. Dans ce passage de témoins, des souvenirs ont resurgi offrant aux générations futures une image plus claire de cette grande guerre. Mes proches m’ont beaucoup soutenue et mes amis ont été formidables : un encouragement sans faille. La Mairie de Nohant-Vic et les associations locales : « Ca se passe à Nohant-Vic » ont fait partie du lot. Mes petits enfants étaient parmi les plus transportés : ils se sentent aujourd’hui concernés. Ils font vivre la mémoire d’Eugène et à travers eux mon grand-père demeure vivant. LPE : À quel moment avez-vous décidé d'écrire l'histoire de votre grand-père et de votre famille ? NNG : Je ne sais pas si j’ai véritablement décidé d’écrire l’histoire de mon grand-père ou bien si c’est l’inverse. La vie d’Eugène s’est imposée à moi et il est devenu évident de la relater tant le sujet devenait obsédant et me taraudait l’esprit. Chaque mot me faisait trembler d’émotion et l’insomnie a été le berceau du récit. LPE : Dans "Mon grand-père : ce héros", vous portez tout d'abord notre regard non pas vers l'Histoire, mais au sein de la société, et nous montrez comment le conflit s'est insidieusement installé, annoncé progressivement par les médias, la nouvelle s'insinuant dans le cœur des gens, dans les foyers. La vie ne s'attendait pas à cette guerre. Tous les hommes ont été réquisitionnés laissant femmes et enfants dans les villes et les campagnes. Les civils sont-ils les oubliés de la guerre ? NNG : C’est bien là tout le paradoxe de ce conflit, car il était, à mon sens, prévisible bien qu’il ait surpris tout le monde. Il a pris naissance au sortir de la guerre de 1870 dont les conséquences désastreuses ont nourri la revanche et la haine. Au cœur même de la société, ces sentiments n’ont pas cessé de croître et se sont ancrés au fil du temps dans les structures mentales de l’époque. Le mal s’enracinait donc et la société tout entière devenait une poudrière. Plus tard, une seule étincelle aura suffi pour embraser le monde. Lorsqu’on veut la guerre tous les prétextes sont bons pour la faire !L’annonce de la mobilisation générale a fait l’effet d’une bombe. Villes et villages seront désertés et resteront silencieux après le départ des hommes. Les femmes prendront tout naturellement la relève ce qui modifiera en profondeur notre Société. Les civils ont été dépossédés de l’essence même de leur vie et aucune proposition ne leur a été faite pour les aider à la reconstruire. Il fallait, à ce stade, se taire pour ne pas assombrir la joie d’une paix retrouvée. Cette chape de silence a étouffé pour toujours des fragments de vérité qui nous font tellement défaut en cet instant pour délivrer un message universel. LPE : Et vient une seconde guerre, tout aussi imprévisible. Le présent finalement apprend-il véritablement du passé ? NNG : 1870, 1914 et 39-40 : ces 3 trois guerres avaient un dénominateur commun ou plus exactement un ennemi commun et chaque fois la guerre d’après avait des relents de la guerre d’avant. Alors c’est dans ce climat ancestral que le devoir patriotique absolu suppléait l’humain en chacun d’entre eux. « Tiré profit du passé » : est la grande question récurrente qui amène une autre grande réponse : « Comment » et surtout pourquoi ?Faut-il entrer en confrontation jusqu’à épuisement des ressources pour que le ressentiment cesse de conduire notre action ? Celui-ci peut-il être contrebalancé par un devoir de mémoire publique ? Une certitude demeure : chaque acteur doit à cette cause sa parole et son écrit pour servir le témoignage national en hommage aux « sacrifiés » de toutes ces guerres. Ne rien occulter pour libérer ce passé et garder vivante la mémoire des hommes. LPE : Pourriez-vous nous parler d'Eugène, votre grand-père à qui vous rendez hommage dans votre livre ?NNG : Je n’ai pas connu mon grand-père. Je l’ai beaucoup découvert par l’écriture comme le lecteur l’a fait par la lecture. Il m’a fallu planter le décor avant de brosser le personnage. Eugène est né à Nohant-Vic (le pays de George Sand) où il connaît la vie rude de l’époque. Lorsque l’école devient obligatoire : il va s’employer à se surpasser. Son application sera récompensée par un certificat d’études avec mention. Après son service militaire, il sera de ceux qui partiront pour Paris faire carrière. C’est là qu’il rencontrera la belle Suzanne. Ils se marieront et auront 2 enfants. Eugène était de taille moyenne (1m68) et avait les yeux étonnamment verts. Un léger sourire éclairait en permanence son visage. L’évocation d’Eugène a toujours été synonyme de bienveillance ou de gentillesse, mais cette simple apparence dégageait, en seconde analyse, une personnalité affirmée. Il cherchait en permanence à se construire et à construire autour de lui. Par cela, il a fait preuve d’intelligence dans sa vie d’homme et de soldat. À ce titre « sa courageuse énergie » a été reconnue par la Nation, il a été cité à l’ordre du régiment le 2 juin 1916 et a reçu, à titre posthume, la Médaille Militaire. Le sergent-major Eugène Nonin est blessé en 1916 sur le front de la Marne où son épouse le rejoint dans l’instant. Il a la colonne vertébrale brisée en 3 endroits. Il décédera après 16 jours d’agonie : son épouse est à ses côtés. Mon grand-père était un homme simple qui a su s’adapter aux évolutions de son temps avec ses premières fois : école, média, chemin de fer, voiture, avion…Il ne connaîtra jamais ses petits enfants. LPE : Les blessés graves devenaient des inconnus dans la masse, considérés inutiles puisque plus aptes au combat. Les honneurs rendus peuvent-ils effacer cette perte d'identité subie par les victimes durant le conflit ? NNG : On n’a jamais pu mesurer ni quantifier précisément la portée des blessures physiques et des traumatismes psychologiques. On peut les imaginer au vu des quelques témoignages qui ont subsisté et dont la réalité saisissante nous plonge, encore aujourd’hui, dans un questionnement incessant. Ce qui est valable en guerre est à l’opposé de ce qui l’est en temps de paix. Ici, il fallait justifier la « boucherie » et gagner à tout prix. Avec la paix, la pesante comptabilité macabre a vu le jour avec son cortège funèbre de conséquences graves tant civiles ou militaires. Les honneurs rendus ne peuvent rien effacer sauf à rendre ce devoir de reconnaissance à tous les sacrifiés et oubliés. C’est pour eux un dû de plein droit. Il faut travailler à faire émerger l’entière réalité pour élargir cette reconnaissance à tous ceux qui la méritent encore et j’évoque là « La révolte de Craonne ». LPE : Quelle sont vos projets ? NNG : Écrire toujours écrire : je viens de terminer un « Ballon dans le ciel » et j’entame un recueil de récits poétiques, titré : « Aucune importance ». Dans mes projets plus lointains, j’envisage un ouvrage sur George Sand : amie du peuple. « Mon grand-père : ce héros » a initialisé cette route de l’écriture et c’est très bien ainsi ! Retrouvez "Mon grand-père : ce héros" sur www.editions-pantheon.frNous avons lu "Mon grand-père : ce héros" !Notre commentaire : Avec « Mon grand-père : ce héros », Nicole Nonin-Grau nous invite à traverser la Première Guerre mondiale sous l'oeil de sa famille, sous l'oeil de son grand-père, Eugène Nonin, soldat envoyé au combat et tué sous les tirs ennemis. Tout semblait paisible. La guerre ? On ne veut pas la croire possible. Les faits historiques se superposent aux émotions, aux peurs des civils, aux prières des familles continuellement dans l'attente. Parce que derrière les soldats inconnus, les annonces violentes, la terreur des tranchées, les stratégies militaires... il y a des visages, des femmes, des enfants, le temps suspendu, les angoisses, l'appréhension ou l'attente d'une lettre, l'espoir, les questions : L'avenir est-il encore à notre portée ? Mes enfants reverront-ils leur père ? Mon fils me reviendra-t-il ? etc. Et l'instant mortel où l'on frappe à votre porte... C'est sur l'humain, sur des vies torpillées par l'Histoire, que Nicole Nonin-Grau a écrit avant tout. Pour ces familles, le conflit ne s'est jamais arrêté. Pour ces familles, le passé est présent. Et le silence témoigne. « Mon grand-père : ce héros » est un essai sur l'Histoire certes, mais sur l'Histoire de vies oubliees que nous nous devons d'honorer par cette faculté que l'on a et que l'on appelle : Mémoire !

La FTPL présente le 1er clip de la série « Le Liège de Marka », un regard décalé sur la Province de Liège et ses atouts touristiques. L’épisode n° 1 : Liège-Bastogne-Liège 2011, le sacre de Philippe Gilbert.