J’sors du béton armé, là où les rêves crèvent sous la pression, Chaque pas est un crime, chaque souffle une confession, Les nerfs tendus comme des cordes prêtes à claquer, J’découpe des rimes tranchantes, chaque phrase est un coup d’acier. La rage dans les veines, les poings serrés sur la vérité, J’règne dans l’ombre, là où la lumière vient jamais te visiter, Les rues saignent des cris, des vies s’effacent en silence, On parle en violence parce que personne n’écoute nos souffrances. Le chaos dans mes rimes, j’rappe comme un carnage, Chaque mot est une balle, chaque ligne fait des ravages, Le bitume témoigne, mes pas gravent la terre, Violent comme un orage, j’suis la tempête qui éclaire. Couplet 2 J’marche avec des démons, mais c’est moi qui tiens la laisse, Les ombres m’accompagnent, la nuit devient ma forteresse, Les prières sont mortes, les dieux sont des illusions, J’crache ma haine au mic, mes couplets sont des pulsions. Les murs transpirent la peur, les pavés portent nos guerres, Chaque coin de rue est un champ de bataille où l’enfer prospère, J’fais la guerre avec des mots, chaque syllabe une rafale, J’déconstruis l’ordre pour reconstruire sur des bases brutales. Le chaos dans mes rimes, j’rappe comme un carnage, Chaque mot est une balle, chaque ligne fait des ravages, Le bitume témoigne, mes pas gravent la terre, Violent comme un orage, j’suis la tempête qui éclaire. Le bruit des sirènes, c’est la berceuse de nos nuits, Les cris résonnent encore, mais personne leur répond ici, J’ai vu des anges se perdre dans des flammes infernales, Alors j’écris des vers qui s’embrasent et pulvérisent les vestales. Couplet 3 J’ai des armes dans ma tête, des bombes prêtes à péter, J’écris des lignes toxiques, chaque bar te fait trembler, J’ai vu la trahison, j’ai dansé avec les couteaux, Les cicatrices parlent pour moi, elles brillent dans les caveaux. La vie, c’est une guerre, j’suis là pour gagner ou mourir, J’déverse ma colère comme une lame qui déchire, Rien à perdre, rien à prouver, juste à brûler ce monde, Car l’humanité meurt dans le silence des secondes. Le chaos dans mes rimes, j’rappe comme un carnage, Chaque mot est une balle, chaque ligne fait des ravages, Le bitume témoigne, mes pas gravent la terre, Violent comme un orage, j’suis la tempête qui éclaire. Outro J’laisse des cendres derrière moi, mon feu consume tout, Chaque mot est une arme, chaque rime un coup, La violence est ma langue, j’parle pour ceux qu’on enterre, Reste sur tes gardes, car mon rap est une guerre.