La seule chose qui m'embête avec les tropes c'est quand ça spoile
@ItsLaytonesqueАй бұрын
avant tout vos sujets sont super intéressants ! je suis libraire et j'adore vous écouter :) pour moi le dark academia relève davantage d'une esthétique/d'un style plus que d'un trope ou d'un genre puisqu'on parle aussi de dark academia pour décrire des vêtements comment quand on dit cottage core on parle pas d'un genre plus d'une vibe par plusieurs éléments qui créent une esthétique the secret history est incroyable même si j'ai encore + aimé le chardonneret 🥰 vous m'avez donné envie de lire l'amie prodigieuse moi qui voyais ça comme quelque chose de grand public un peu nul je vais l'avouer j'ai trop aimé donc merci encore !
@oddbunny4482Ай бұрын
Perso je ne trouve pas que la tropification soit mauvaise en elle-même. Par contre, là où ça devient dommage c'est lorsque les auteurs essayent de caser le plus de tropes populaires possibles dans leurs histoires sans essayer de faire quelque chose de cohérent parce que de toute façon ça va se vendre grâce à l'estampillage "ennemies to lover, only one bed, and they were roommates", ou lorsque les maisons d'éditions publient des bouquins qui sont tous les même parce que sous la bannières d'un trope qui vend bien.
@noragucci7434Ай бұрын
J'ai l'impression de prendre des cours d'anglais à chaque épisode 😂 Mais sinon je ne savais même pas que c'était un "problème" les tropes, et parfois ça évite des déceptions aussi. Je vois ça comme un genre ou sous genre. Même s'il y a une différence perso je n'en vois vraiment pas..
@safia-hg5zxАй бұрын
43:43 Le terme existe déjà, c'est chidhood friends to lovers ;)
@user-ot3ps4tw3jАй бұрын
pour ce qui est de la question de “tropifier” la littérature queer, je comprends que dans une approche fétichiste ce n’est pas le bienvenue, mais personnellement c’est quelque chose qui me sert pcq la littérature queer (culture queer pour pousser + loin) est celle où me je retrouve le plus, que j’aime le + découvrir et lire (sûrement par part d’identification en tant que femme queer), et d’une certaine manière c’est un moyen de célébrer et de la mettre en avant dans un milieu où justement il y a un grand manque de représentation