Toute ressemblance avec des personnes ou des faits existants ou ayant existé ne serait que fortuite.
@jean-lucb56510 ай бұрын
Très intéressant !
@ryandeschanel692510 ай бұрын
Les juges jansénistes ont tué la royauté. Vivement que leurs successeurs tout aussi indignes qu'eux en fassent de même pour la république.
@lapinblanc84910 ай бұрын
👍
@lulucasta507210 ай бұрын
Référencement
@titiavemaria231610 ай бұрын
⚜️⚜️⚜️
@marcobsomer557410 ай бұрын
honteux!
@NicoleRobart10 ай бұрын
Comment ? "Louis XIV ayant été rappelé au ciel en 1715 ! ?? "Vous n'auriez pas fait une erreur, ce ne serait pas plutôt 1789... ou 1792 ? Je ne sais plus ! 7️⃣7️⃣7️⃣❤️✝️👑🎺🪔🌹🌿🙏🏻🕊️🗝️☝️🍀🌺
@frenegondedefrance937510 ай бұрын
???? Aucun roi n'est mort en 1789 ni en 1792... Louis XIV est décédé en 1715 oui. Va falloir s'instruire, c'est urgent.
@carolinef242410 ай бұрын
@@frenegondedefrance9375Oui, et en s'instruisant on s'aperçoit que l'Eglise a beaucoup menti, que son pouvoir, notamment temporel, reposait sur des mensonges, au premier rang desquels figure la prétendue "Donation de Constantin", un faux avéré créé au Moyen Âge. Les fêtes religieuses polythéistes ont été remplacées par des fêtes chrétiennes, qui néanmoins en reprenaient en tout ou partie les rituels, en en modifiant plus ou moins la signification. Ainsi, la doctrine chrétienne a beaucoup puisé dans celle, antérieure de plusieurs siècles, du zoroastrisme. La naissance du Christ ne figure nulle part dans la Bible, absolument nulle part. Elle n'a été décidée et fixée qu'au 4ème siècle de notre ère, par l'Empereur Theodose 2. Si il a choisi cette date, c'est parce qu'elle correspondait à la fête païenne du solstice d'hiver (Sol Invictus chez les Romains, par exemple) qu'il s'agissait de faire oublier au profit de la religion nouvelle . C'est aussi valable pour le solstice d'été, par exemple, la fête de la Saint-Jean n'a pas été placée à cette date par hasard. Mais c'est également vrai pour des fêtes "chrétiennes" non solsticiales, dont les origines ne sont pas moins païennes. Par exemple il vient d'y avoir la Chandeleur. Cette fête est d'origine polythéiste, notamment romaine (festa candelarum). Les Romains (mais aussi les Celtes et les Germains, sous une autre forme) célébraient Lucernus, dieu de la fertilité. Ce n'est qu'en 472 (2 février 472) que le Pape Gélase 1er en a fait une fête chrétienne. Et ce n'est que bien plus tard encore, en l'an 1472, que l'Eglise l'a associée à la purification de la Vierge Marie. Autrement dit, en un mot comme en cent, il est faux de dire que l'origine de cette fête est chrétienne. Je pourrais aussi évoquer le culte des Saints, qui succède au culte des Dieux des anciens panthéons, et que RIEN ne justifie ni dans l'Ancien ni dans le Nouveau Testament. Enfin, les Chrétiens qui gémissent sur les massacres et le vandalisme révolutionnaires ne trouvent jamais rien à redire des persécutions, du vandalisme et des mises à mort commis par l'Empire Romain devenu chrétien, au moins depuis le règne de Théodose. Et ils justifient sans état d'âme la destruction de nombreux temples polythéistes. Les Catholiques n'aiment guère l'intolérance révolutionnaire, ils s'accordent en revanche fort bien de l'intolérance papale et romaine. Ils n'aiment pas la tyrannie jacobine, mais ne mentionnent jamais la volonté hégémonique y compris temporelle de la Papauté (ex : le Dictatus papae de 1075, et la réforme dite grégorienne). Alors que le Christ est tout de même censé avoir dit qu'il fallait rendre à César ce qui était à César, à Dieu ce qui était à Dieu. Le Dictatus Papae, et la simple existence des États pontificaux, et les innombrables interventions papales dans le pouvoir temporel (appel aux Croisades, partage du Nouveau Monde entre l'Espagne et le Portugal par le Traité de Tordessilas, ...) montrent ad nauseam que la Papauté, et par extension l'Eglise catholique apostolique romaine n'ont pas toujours - et c'est un euphémisme - été christiques. Je passe sur le commerce des cachets d'Indulgence, et les Papes-Banquiers de la Renaissance (Medicis, Borgia) qui n'avaient pas grand chose à envier à nos Rockefeller, JP Morgan et autres Rothschild, ni dans les méthodes ni en matière d'immoralité. Alors, et je crois bien que les catholiques devraient y penser à deux fois avant de donner des leçons de morale ; et ils ont toujours préféré parlé du meurtre de Blandine que de celui de Sapho ...
@carolinef242410 ай бұрын
Oui, et en s'instruisant on s'aperçoit que l'Eglise a beaucoup menti, que son pouvoir, notamment temporel, reposait sur des mensonges, au premier rang desquels figure la prétendue "Donation de Constantin", un faux avéré créé au Moyen Âge. Les fêtes religieuses polythéistes ont été remplacées par des fêtes chrétiennes, qui néanmoins en reprenaient en tout ou partie les rituels, en en modifiant plus ou moins la signification. Ainsi, la doctrine chrétienne a beaucoup puisé dans celle, antérieure de plusieurs siècles, du zoroastrisme. La naissance du Christ ne figure nulle part dans la Bible, absolument nulle part. Elle a été décidée au Moyen Âge, par le Pape Si il a choisi cette date, c'est parce qu'elle correspondait à la fête païenne du solstice d'hiver (Sol Invictus chez les Romains, par exemple). C'est aussi valable pour le solstice d'été, par exemple, la fête de la Saint-Jean n'a pas été placée à cette date par hasard. Mais c'est également vrai pour des fêtes "chrétiennes" non solsticiales, dont les origines ne sont pas moins païennes. Par exemple il vient d'y avoir la Chandeleur. Cette fête est d'origine polythéiste, notamment romaine (festa candelarum). Les Romains (mais aussi les Celtes et les Germains, sous une autre forme) célébraient Lucernus, dieu de la fertilité. Ce n'est qu'en 472 (2 février 472) que le Pape Gélase 1er en a fait une fête chrétienne. Et ce n'est que bien plus tard encore, en l'an 1472, que l'Eglise l'a associée à la purification de la Vierge Marie. Autrement dit, en un mot comme en cent, il est faux de dire que l'origine de cette fête est chrétienne. Je pourrais aussi évoquer le culte des Saints, qui succède au culte des Dieux des anciens panthéons, et que RIEN ne justifie ni dans l'Ancien ni dans le Nouveau Testament. Enfin, les Chrétiens qui gémissent sur les massacres et le vandalisme révolutionnaires ne trouvent jamais rien à redire des persécutions, du vandalisme et des mises à mort commis par l'Empire Romain devenu chrétien, au moins depuis le règne de Théodose. Et ils justifient sans état d'âme la destruction de nombreux temples polythéistes. Les Catholiques n'aiment guère l'intolérance révolutionnaire, ils s'accordent en revanche fort bien de l'intolérance papale et romaine. Ils n'aiment pas la tyrannie jacobine, mais ne mentionnent jamais la volonté hégémonique y compris temporelle de la Papauté (ex : le Dictatus papae de 1075, et la réforme dite grégorienne). Alors que le Christ est tout de même censé avoir dit qu'il fallait rendre à César ce qui était à César, à Dieu ce qui était à Dieu. Le Dictatus Papae, et la simple existence des États pontificaux, et les innombrables interventions papales dans le pouvoir temporel (appel aux Croisades, partage du Nouveau Monde entre l'Espagne et le Portugal par le Traité de Tordessilas, ...) montrent ad nauseam que la Papauté, et par extension l'Eglise catholique apostolique romaine n'ont pas toujours - et c'est un euphémisme - été christiques. Je passe sur le commerce des cachets d'Indulgence, et les Papes-Banquiers de la Renaissance (Medicis, Borgia) qui n'avaient pas grand chose à envier à nos Rockefeller, JP Morgan et autres Rothschild, ni dans les méthodes ni en matière d'immoralité. Alors, et je crois bien que les catholiques devraient y penser à deux fois avant de donner des leçons de morale ; et ils ont toujours préféré parlé du meurtre de Blandine que de celui de Hypathie ...
@norselhar701710 ай бұрын
@@frenegondedefrance9375 Oui, et en s'instruisant on s'aperçoit que l'Eglise a beaucoup menti, que son pouvoir, notamment temporel, reposait sur des mensonges, au premier rang desquels figure la prétendue "Donation de Constantin", un faux avéré créé au Moyen Âge. Les fêtes religieuses polythéistes ont été remplacées par des fêtes chrétiennes, qui néanmoins en reprenaient en tout ou partie les rituels, en en modifiant plus ou moins la signification. Ainsi, la doctrine chrétienne a beaucoup puisé dans celle, antérieure de plusieurs siècles, du zoroastrisme. La naissance du Christ ne figure nulle part dans la Bible, absolument nulle part. Elle a été décidée au Moyen Âge, par le Pape Si il a choisi cette date, c'est parce qu'elle correspondait à la fête païenne du solstice d'hiver (Sol Invictus chez les Romains, par exemple). C'est aussi valable pour le solstice d'été, par exemple, la fête de la Saint-Jean n'a pas été placée à cette date par hasard. Mais c'est également vrai pour des fêtes "chrétiennes" non solsticiales, dont les origines ne sont pas moins païennes. Par exemple il vient d'y avoir la Chandeleur. Cette fête est d'origine polythéiste, notamment romaine (festa candelarum). Les Romains (mais aussi les Celtes et les Germains, sous une autre forme) célébraient Lucernus, dieu de la fertilité. Ce n'est qu'en 472 (2 février 472) que le Pape Gélase 1er en a fait une fête chrétienne. Et ce n'est que bien plus tard encore, en l'an 1472, que l'Eglise l'a associée à la purification de la Vierge Marie. Autrement dit, en un mot comme en cent, il est faux de dire que l'origine de cette fête est chrétienne. Je pourrais aussi évoquer le culte des Saints, qui succède au culte des Dieux des anciens panthéons, et que RIEN ne justifie ni dans l'Ancien ni dans le Nouveau Testament. Enfin, les Chrétiens qui gémissent sur les massacres et le vandalisme révolutionnaires ne trouvent jamais rien à redire des persécutions, du vandalisme et des mises à mort commis par l'Empire Romain devenu chrétien, au moins depuis le règne de Théodose. Et ils justifient sans état d'âme la destruction de nombreux temples polythéistes. Les Catholiques n'aiment guère l'intolérance révolutionnaire, ils s'accordent en revanche fort bien de l'intolérance papale et romaine. Ils n'aiment pas la tyrannie jacobine, mais ne mentionnent jamais la volonté hégémonique y compris temporelle de la Papauté (ex : le Dictatus papae de 1075, et la réforme dite grégorienne). Alors que le Christ est tout de même censé avoir dit qu'il fallait rendre à César ce qui était à César, à Dieu ce qui était à Dieu. Le Dictatus Papae, et la simple existence des États pontificaux, et les innombrables interventions papales dans le pouvoir temporel (appel aux Croisades, partage du Nouveau Monde entre l'Espagne et le Portugal par le Traité de Tordessilas, ...) montrent ad nauseam que la Papauté, et par extension l'Eglise catholique apostolique romaine n'ont pas toujours - et c'est un euphémisme - été christiques. Je passe sur le commerce des cachets d'Indulgence, et les Papes-Banquiers de la Renaissance (Medicis, Borgia) qui n'avaient pas grand chose à envier à nos Rockefeller, JP Morgan et autres Rothschild, ni dans les méthodes ni en matière d'immoralité. Alors, et je crois bien que les catholiques devraient y penser à deux fois avant de donner des leçons de morale ; et ils ont toujours préféré parlé du meurtre de Blandine que de celui de Hypathie ...
@pierrefrancois330010 ай бұрын
@@frenegondedefrance9375Oui, et en s'instruisant on s'aperçoit que l'Eglise a beaucoup menti, que son pouvoir, notamment temporel, reposait sur des mensonges, au premier rang desquels figure la prétendue "Donation de Constantin", un faux avéré créé au Moyen Âge. Les fêtes religieuses polythéistes ont été remplacées par des fêtes chrétiennes, qui néanmoins en reprenaient en tout ou partie les rituels, en en modifiant plus ou moins la signification. Ainsi, la doctrine chrétienne a beaucoup puisé dans celle, antérieure de plusieurs siècles, du zoroastrisme. La naissance du Christ ne figure nulle part dans la Bible, absolument nulle part. Elle a été décidée au Moyen Âge, par le Pape Si il a choisi cette date, c'est parce qu'elle correspondait à la fête païenne du solstice d'hiver (Sol Invictus chez les Romains, par exemple). C'est aussi valable pour le solstice d'été, par exemple, la fête de la Saint-Jean n'a pas été placée à cette date par hasard. Mais c'est également vrai pour des fêtes "chrétiennes" non solsticiales, dont les origines ne sont pas moins païennes. Par exemple il vient d'y avoir la Chandeleur. Cette fête est d'origine polythéiste, notamment romaine (festa candelarum). Les Romains (mais aussi les Celtes et les Germains, sous une autre forme) célébraient Lucernus, dieu de la fertilité. Ce n'est qu'en 472 (2 février 472) que le Pape Gélase 1er en a fait une fête chrétienne. Et ce n'est que bien plus tard encore, en l'an 1472, que l'Eglise l'a associée à la purification de la Vierge Marie. Autrement dit, en un mot comme en cent, il est faux de dire que l'origine de cette fête est chrétienne. Je pourrais aussi évoquer le culte des Saints, qui succède au culte des Dieux des anciens panthéons, et que RIEN ne justifie ni dans l'Ancien ni dans le Nouveau Testament. Enfin, les Chrétiens qui gémissent sur les massacres et le vandalisme révolutionnaires ne trouvent jamais rien à redire des persécutions, du vandalisme et des mises à mort commis par l'Empire Romain devenu chrétien, au moins depuis le règne de Théodose. Et ils justifient sans état d'âme la destruction de nombreux temples polythéistes. Les Catholiques n'aiment guère l'intolérance révolutionnaire, ils s'accordent en revanche fort bien de l'intolérance papale et romaine. Ils n'aiment pas la tyrannie jacobine, mais ne mentionnent jamais la volonté hégémonique y compris temporelle de la Papauté (ex : le Dictatus papae de 1075, et la réforme dite grégorienne). Alors que le Christ est tout de même censé avoir dit qu'il fallait rendre à César ce qui était à César, à Dieu ce qui était à Dieu. Le Dictatus Papae, et la simple existence des États pontificaux, et les innombrables interventions papales dans le pouvoir temporel (appel aux Croisades, partage du Nouveau Monde entre l'Espagne et le Portugal par le Traité de Tordessilas, ...) montrent ad nauseam que la Papauté, et par extension l'Eglise catholique apostolique romaine n'ont pas toujours - et c'est un euphémisme - été christiques. Je passe sur le commerce des cachets d'Indulgence, et les Papes-Banquiers de la Renaissance (Medicis, Borgia) qui n'avaient pas grand chose à envier à nos Rockefeller, JP Morgan et autres Rothschild, ni dans les méthodes ni en matière d'immoralité. Alors, et je crois bien que les catholiques devraient y penser à deux fois avant de donner des leçons de morale ; et ils ont toujours préféré parlé du meurtre de Blandine que de celui de Hypathie ...