Merci beaucoup pour tes vidéos autour de la thématique "devenir prof de philosophie". Elles sont intéressantes, font du bien à entendre et viennent répondre à pas mal de questions/angoisses que je peux rencontrer vis à vis de la rentrée.
@eremeecoumene4 ай бұрын
@@jhnbnsty1803 Je suis content que ça puisse aider !
@sohan98774 ай бұрын
Les vidéos de cette série - mais aussi de cette chaîne ! - sont une vraie mine d'or ! Un immense merci pour ce partage, réalisé de manière si pédagogue et limpide ; je suis étudiant en philo, je n'en suis pas encore au stade de passer les concours, mais ton contenu est très inspirant et agréable à écouter ! Merci
@eremeecoumene4 ай бұрын
@@sohan9877 wow ton commentaire est extrêmement gentil et me touche beaucoup !
@jawaajiwa98804 ай бұрын
C'est clair ! Je compte pas du tout passer de concours, ni donner de cours, mais je les écoute quand même, haha. En fait, c'est assez inspirant de manière générale !
@eremeecoumene4 ай бұрын
@@jawaajiwa9880 Trop gentil ! Hésite pas à tenter les concours !
@BeaupréAntoine4 ай бұрын
Merci beaucoup pour cette série de vidéos, c'est précieux! J'attends la prochaine avec impatience.
@eremeecoumene4 ай бұрын
Merci pour ton mot gentil :)
@charlottem.27474 ай бұрын
Quelle chaîne de grande qualité, je suis heureuse de vous voir déployer ces formats. il est rare de voir des KZbinurs masculins dans le milieu philo / intellectuel qui ne transpirent pas l’élitisme et le snobisme envers le fait de se questionner sur la vulnérabilité et l’humilité. si j’avais été prof j’aurais adoré tomber sur vos conseils et j’espère de tout cœur qu’un jour si j’ai des enfants ils tomberont sur quelqu’un comme vous. Hâte de voir la suite ! !
@eremeecoumene4 ай бұрын
Merci pour ce mot si généreux et gentil ! ❤
@malone35164 ай бұрын
Merci beaucoup pour tes vidéos !
@eremeecoumene4 ай бұрын
Merci ! :)
@charlottem.27474 ай бұрын
❤
@lkd42093 ай бұрын
Sur la question de l'autorité (qui est certes un terme inadapté, Hannah pardonne nous...), ce qui a été pour moi, personnellement, le déclic, et qui rejoins, d'une certaine manière, ce que tu décris, c'est lorsque je me suis rendu compte que mon refus d'afficher une autorité pouvait être considéré comme une injustice par des étudiants qui avaient du mal à suivre mais qui se tenaient correctement et s'intéressaient véritablement au cours... Et, en refusant d'être une voix de médiation, j'exerçais sur ceux-là, disons, une injustice... (et toute la partie logistique est capitale, c'est une honte que ce ne soit pas quelque chose qui soit formalisé et automatiquement délivré au niveau de l'administration) Une façon que j'ai eu de traiter cet impératif d'un exercice de l'autorité, ça a été d'une part de toujours l'exercer de la façon la plus froide possible (jamais élever la voix, au contraire la radoucir au maximum lorsque j'en viens à menacer ou prononcer une sanction), de toujours l'expliquer (en public ou en privé à l'étudiant mis en cause, c'est-à-dire à ne jamais invoquer "l'ensemble de son oeuvre") et à toujours la justifier (en renvoyant au cadre scolaire/universitaire et jamais à "moi" en tant que tel, jamais "ça m'a posé un problème" mais plutôt "ça a tel effet sur le cours, la classe, etc." ou le toujours efficace "je n'arrive pas à entendre X alors qu'il est à 3 m de moi !")). Du coup, je suis un peu circonspect quant au fait de revenir sur quelque chose à la fin du cours sans que cela ait été explicité/publicisé avant. Ce n'est pas une pratique que j'ai, généralement. Ou plutôt, si, mais c'est parce que je leur ai intimé, durant le cours, de rester dans la salle à sa fin. Il faudrait peut-être que je teste.
@eremeecoumeneАй бұрын
Je suis complètement d'accord avec ce que tu dis. Et je pense que revenir sur quelque chose à la fin du cours sans l'avoir explicité pendant le cours cela fonctionne quand ce qu'on note n'est pas, en soi, si grave, mais juste suffisamment notable pour être l'indice de quelque chose qui pourrait "pourrir" au fur et à mesure. Du coup, ça rentre dans le cadre d'une discussion plus informelle avec les élèves et ça facilite, il me semble, le passage à un discours "moins doux" si ça continue. Mais, cette stratégie que je propose vise plus à éviter la "peur d'agir" qu'on peut avoir en début de carrière, en ayant le sentiment que l'intervention que l'on pourrait faire serait soudain trop formelle par rapport à la réalité du problème. Donc, je pense que dans l'absolue, la stratégie que tu proposes est la meilleure si on se sent à l'aise de le faire ! Merci pour ton commentaire (que j'avais loupé) et que je trouve super pertinent !
@lkd4209Ай бұрын
@@eremeecoumene C'est gentil. Mais je dis ça et puis, lundi dernier, j'ai apostrophé, à voix basse, une étudiante à la sortie du cours, en lui signifiant "par contre, le téléphone pendant tout le cours, c'était pénible !". Donc bon, je présume que l'important c'est d'avoir une panoplie de solution et d'être en mesure de sélectionner la plus pertinente au bon moment...
@francisscainlebref96094 ай бұрын
Je pense avoir une vision complètement biaisé du lycée. Durant ma scolarité j’étais dans un lycée privé de campagne plutôt cool, pas un truc d’aristo avec des messes. Néanmoins dans les classes où j’ai été, je ne crois pas avoir jamais entendu parlé d’une exclusion et colle. En 1ère et Terminale nous étions seulement 13 donc les cours étaient assez calmes. En philo il y avait plus d’apathie que de bavardage
@eremeecoumeneАй бұрын
Oui, un cours avec 13 élèves n'a vraiment rien à voir avec les classes de 35 élèves que j'ai depuis le début de ma carrière ! J'ai fait cours avec 13 élèves en demi-groupe et cela n'a rien à voir en terme de gestion de classe (sauf cas exceptionnel et classe très difficile, il n'y a pas de gestion de classe à faire en fait).
@francisscainlebref96094 ай бұрын
Faut un peu faire comme les videurs en boîte et repérer les trouble-fêtes
@eremeecoumeneАй бұрын
Haha c'est une idée !
@chloehumbert34104 ай бұрын
Salut Ereme, je rentre à la rentrée en master 2 de philosophie et souhaite l’année prochaine passer le capes de philo pour devenir professeure de philosophie. Je me demandais, est-ce que depuis les réformes du bac tu as remarqué un manque d’intérêt notable des élèves envers les cours de philosophie ? Pense-tu que le métier de professeur de philosophie est en danger ? Je te remercie pour tes vidéos, il existe très peu de contenu qui traite du métier de prof de philo !
@eremeecoumene4 ай бұрын
Bonjour Chloé, Je n'ai pas noté de différence majeure depuis la réforme du bac. Je me méfie beaucoup, de toute façon, de mes impressions (c'est un classique de prof d'avoir le sentiment que les choses vont de mal en pis et de regretter un temps fantasmé où les élèves étaient plus attentifs, etc.). Je ne sais pas si le métier de professeur de philosophie est spécialement en danger (je veux dire, plus que les autres métiers d'enseignement). Le fait est que les conditions de travail au lycée ne sont pas idéales et que beaucoup de collègues trouvent, à la fin, que la mécanique de l'éducation nationale, la manière dont cela fonctionne, ne va pas du tout dans le bon sens et il est parfois difficile de faire son boulot dans un contexte "violent" (au sens où le système scolaire et la logique de performance qui préside à ce système sont violents). Malgré tout, j'ai le sentiment qu'entre toutes les disciplines, la philosophie reste privilégiée au sens où nous sommes relativement libres de notre manière d'aborder le programme thématique et que la philosophie jouit malgré tout chez un certain nombre d'élève d'un intérêt particulier (déjà l'attrait de la nouveauté au début de l'année). Il est possible, je crois, de faire émerger pendant les cours de philosophie de véritables moments d'interrogations collectives et d'ouverture au monde et je ne sais pas si c'est quelque chose de si facile à faire dans d'autres disciplines (en tout cas, peut-être pas aussi "librement").