6# Revivre après un deuil

J’accompagne des personnes qui vivent tellement intensément la douleur du deuil que j’ai choisi de vous donner des éléments pour mieux vous comprendre si vous êtes en deuil. Comprendre, s’entendre, s’observer est capital pour se relever revivre. Mais comment revivre quand on se sent abattu par un décès ?
Des exercices très accessibles vous aideront pour que votre amour pour le défunt reste intact et que votre deuil prenne la poussière.
Ce qui vous attend dans cet épisode :
- Comprendre le phénomène du deuil dans sa réalité privée et sociale
- Qu’est-ce qui fait que le deuil peut « plomber » votre vie
- Sortir du mécanisme qui nourrir le deuil
- Choisir de survivre à revivre

[@marie-francoisemarie3768]

Merci...3 semaines que mon amour est parti. Votre façon de parler du deuil..correspond.a ce que nous vivions ensemble. Merci piur cette écoute...MERCI

[@jacquelineseror3330]

je pense que pour moi la solitude et le manque sont plus difficiles à surmonter. C est également se réinventer et ne compter que sur soi.

[@heureuxaupresentpascalquio1282]

Bonjour Jacqueline, Je vous remercie pour votre commentaire. Et, à vous lire, je me demande si vous parlez d’une expérience personnelle ou s’il s’agit d’un partage d’idée. En réalité, il n’existe pas d’échelle de la difficulté qui permette d’évaluer ce qui serait plus difficile à vivre par rapport à une autre réalité. Vivez-vous un deuil qui explique que vois souffrez encore de solitude lié au manque ?

[@lilykane9566]

J'ai perdu mon conjoint il ya plus de 3 mois et ma souffrance absolue c'est de regarder mes enfants qui n'ont que 3 et 4 ans et me dire ça y'est ils ne pourront plus voir leur papa comme les autres enfants, plus de calins ni de bisous de sa part , ils sont orphelins de papa et que c'est injuste de perdre un parent si jeune....

[@benedictewirth8822]

En vous écoutant je me dis que vous n'avez jamais perdu un enfant.....!!! C'est facile pour vous d'analyser de faire des tyrades endiloquentes mais franchement sauf votre respect gardez vos bons conseils à la limite de l'indécence !!! Que dieu vous en garde car là vous oublierai toutes vos certitudes.

[@heureuxaupresentpascalquio1282]

Bonjour, Lors de la fausse couche de mon second enfant, je suis passé par des phases difficilement descriptible. J’étais persuadé que tout roulerait comme pour son aînée avant que la situation tourne soudainement. Je suis bien ennuyé de voir que vous avez le sentiment d’entendre un beau discours. Après plus de 30 ans d’accompagnements de couples et de personnes individuelles, je ne fonde pas mes bases thérapeutiques sur de belles idées, vous l’imaginez. Je perçois une profonde souffrance dans vos propos et je comprends tout à fait que ce sujet vous fasse bondir. C’est pourquoi il n’est à considérer comme le résumer d’un chemin plus ou moins long selon les parcours de vie, mais tout autant accessible à toute personne qui choisit de continuer à vivre en cessant de nourrir sa propre souffrance (inconsciemment ou non). Constant votre colère, je l’accueille comme un besoin d’être accompagné. En ce sens, faites le choix d’un thérapeute qui pourra vous aider à vivre avec votre souffrance, mais en vivant mieux. Je vous assure qu’il est possible de regarder votre présent et votre avenir avec un regard nouveau tout en vous souvenant de la douleur atroce de votre expérience devenu ensuite exempte de ressentis émotionnels pénibles. Je vous souhaite une bonne route dans cette direction. Bien à vous

[@claudineredon9026]

Bonsoir Bénédicte. Moi je suis dans le même cas que vous, j'ai perdu mon fils,après 2 cancers et toutes les souffrances qui s'en sont suivies, ça va faire un an ,à l'âge de 47ans au lendemain de son Anniversaire. C'est le drame de la vie d'une mère ,c'est la colère ,c'est l'insupportable ,c'est l'inacceptable la perte de son enfant. C'est un combat de chaque jour pour se lever, pour tenir debout . Pour le moment moi je survie et je pense que je ne suis pas prête de.. "revivrais" ... après ce drame. Bon courage à vous et bonne soirée. Claudine

[@MarieCatherineDigbeu]

​@@claudineredon9026😣😣😣

[@MarieCatherineDigbeu]

MON ENFANT UNIQUE RST MORT MON EPOUX EST MORT INVIVABLE JE SURVIS EXPÉRIENCE A NE PAS VIVRE

[@wendjanehrachel]

A la suite du décès d'une amie très proche Merci pour vos mots. Je pense qu'ils vont m'aider à ressentir et voir les choses différemment... Je désire Revivre. Gratitude

[@heureuxaupresentpascalquio1282]

Je m’en réjouis

[@FIONA-lm3kl]

Sauf votre respect, je ne suis absolument pas d'accord avec votre discours !!!! La perte d'une personne, le manque, l'absence, la douleur,etc..... Ne regarde que nous !! Si l'on est en "PAUSE", après un tel cataclysme de vie, où l'on n'a plus de REPÈRES....., c'est comme ça, POINT !!!! L'histoire du cahier, je l'ai fait,ce n'est pas pour autant que l'on devient plus gai!!!! Pour moi, mon mari est décédé depuis bientôt 3 ans,bien sûr je suis "là", physiquement et c'est tout !!!!!!!!!

[@heureuxaupresentpascalquio1282]

Fiona, je suis désolé que vous ayez eu à vivre le décès de votre mari. Il y a de quoi être bouleversé. Seulement, votre démarche présente d'écoute de cette émission est peut-être le signe d'un besoin de continuer à travailler à ce décès, ou plutôt, à votre manière de vivre depuis, n'est-ce pas ? J'entends que vous êtes là physiquement, et dites-moi, vous donnez-vous le droit d'être heureuse ? La question n'est pas d'être gai, mais bien d'être heureuse. Certaines étapes de reconstruction le permettent, c'est indéniable. S'autoriser à vivre (et à non à survivre) après le deuil se voit quand le bonheur reprend ses droits, continue à se développer, à se partager. Est-ce ce que vous vivez actuellement trois ans après ? Ma démarche se veut aidante, vous l'avez compris. Et les personnes que j'ai accompagnée en ce ont généralement découvert une sorte de plafond de verre installé sur leur aptitude à vivre heureuse. Il est difficile de s'en rendre compte sans un regard extérieur. Vous pourriez commencer par interroger vos enfants et ami(e)s sur l'impression qu'ils ont de votre niveau de bonheur avant et depuis le décès de votre époux. Bien cordialement et au plaisir de vous lire. Pascal

[@jeannegueidan7743]

je suis comme vous, il manque un morceau de moi, tout simplement, un pan de ma vie, des partages, tout...il me reste à survivre.

[@heureuxaupresentpascalquio1282]

Jeanne, la survie est une stratégie naturellement installée en nous en attendant. Il n’est pas prévu que la survie s’instaure en style de vie. Survivre est donc à considérer pour un temps, le temps de rassembler les ressources et de créer les conditions nécessaires à la vue. Vous percevez que « survivre » est construit à partir du radical « vivre ». Le préfixe « sur » signifiant « au-dessus de » fait bien entendre qu’en mode survie, la consommation d’énergie et des ressources disponibles et supérieure à celles qui sont utilisée en mode vie. Et sans doute êtes vous bien placée pour confirmer mes dires. Vous avancez difficilement parce que vous vivez votre présent en « tirant » le poids de votre passé pesant. Vous vous userez bien plus vite sachant que vos ressources ne sont pas inépuisables. Je vous recommande de poursuivre en répondant à votre besoin de survie en conscientisant que vous vivez une convalescence. Pendant cette dernière, vous avez toute possibilité de rassembler le nécessaire pour construire une vie qui vous satisfasse. Cela n’inclut en rien l’oublie de l’aimé défunt, surtout pas. La construction de votre « nouvelle vie » (à entendre comme, votre vie avec le souvenir de la beauté de l’être aimé disparu sans sa présence tangible) donnera une place définie qui n’empêchera pas sa construction, la place pour vos joies et votre bonheur avec un grand B. Il est tout à fait entendable que vous ayez besoin d’être accompagné sur certaines étapes de votre construction. Imaginez que vous habitez dans une énorme maison dans laquelle la poutre de faîtage s’est affaissée. Vous avez dû quitter la maison parce qu’elle menaçait vos vies respectives. Vous aurez donc, à reconstruire votre maison en faisant sans la poutre de faîtage historique. Elle sera peut-être remplacée par une nouvelle poutre qui, en définitive, ne remplacera jamais la poutre ancienne. En effet, la poutre qui a lâché avait une histoire, un passé, une place considérable et elle a été fabriquée à partir d’un arbre unique. Rien, ni personne ne pourra la remplacer. Cela dit, acceptant que la nouvelle poutre ne remplacera pas la précédente, pouvez choisir de faire les travaux pour réhabiliter la maison en toute sécurité. Il vous restera à continuer à vous souvenir de la beauté, de la force, de la place unique, de l’histoire de cette poutre, sans jamais pouvoir la remplacer. Bien sûr, cette image a toutes ses limites, mais elle reflète le travail qui s’ouvre devant vous, un travail de construction pour que votre vie retrouve sa sérénité (sans l’insécurité que vous vivez aujourd’hui relative à l’instabilité liée à la forte présence quotidienne du décès). Je vous propose un exercice : Prenez de quoi écrire et, dans un premier temps, notez tout ce que vous voulez, conserver de beau de la personne que vous aimez et qui n’est plus. Veuillez être précis dans vos détails. Faites-le de manière à vous assurer que rien de ce que vous allez écrire ne s’efface jamais de votre mémoire. Prenez le temps d’ajouter, jour après jour, des éléments à votre écrit. Il est possible que cela vous prenne des semaines. Jour après jour, ajoutez ce qui vous viendra à l’esprit. Symboliquement, vous pouvez déposer à côté de votre cahier ou de vos feuilles de papier, une boîte de mouchoirs pour que chaque mouchoir, tu recevras les larmes ou verserais. Au moment, vous ferez se remémorer des souvenirs Recueille la beauté de ce que vous voulez conserver. Même si ses larmes s’évaporent au séchage de chaque mouchoir, vous savez que ces souvenirs forts et magnifiques ne peuvent s’évaporer. Votre exercice d’écriture, dans cette première étape, aura pour objet de veiller à ce que rien, ni personne ne participe à l’évaporation du souvenir de la beauté, de la place et de la richesse de l’être cher qui n’est plus présent auprès de vous. Je me ferais un plaisir de lire votre retour dans une trentaine de jours. Bien affectueusement. Pascal

[@jeannegueidan7743]

@@heureuxaupresentpascalquio1282 C'est valable quand on est jeune mais plus pour pour moi. Je m'occupe car j'ai des animaux et eux ont besoin de moi surtout qu'ils sont abandonnés pour la plupart. Je ne souhaite pas me reconstruire, je veux continuer comme ça tant bien que mal. Mais je vous comprends et vos conseils sont bons. Je n'écrirai pas, je relis des lettres, notre courrier d'autrefois. Moi qui aime tant écrire je n'en éprouve plus le besoin. Mais je lis. Merci.

[@heureuxaupresentpascalquio1282]

Jeanne, à la lecture votre message, j’entends bien que vous avez choisi de ne plus vivre pour vous installer dans la survie. Vos animaux peuvent s’en réjouir. Et en lisant votre message attentivement, je me demande si vous en vous sentez pas abandonnée ? Vous avez Choisi de vous investir pour des animaux abandonnés. Et que penseriez-vous de l’un d’eux qui se contenterait de la survie ? Vous en contenteriez-vous ou feriez-vous votre possible pour lui donner envie de passer en mode vie ? Le voir avancer bien que mal vous affecterait sans doute, n’est-ce pas ? Vous aimeriez le voir recommencer à bondir de joie et trouver goût à la vie. Je n’en doute pas du tout. Que pensez-vous de prendre le temps de réfléchir à ces questions ?

[@christianeromand4084]

Immense conerie. Il est dis aussi *Personne ne séparera ce que dieu a uni*!!!!!.....

[@JeanneMarie-c4p]

C'est difficile quand ont es tres attachée sa prendre du temp ah accepte

[@-DIEU-TE-CHERCHE-9923]

La vie n'est qu'un passage, on peut guérir du deuil.

[@gabriellehupond8047]

Chacun doit vivre son deuil, je dis bien vivre son deuil. Pour chacun de nous, la perte d un être cher se vit différemment et à travers cette perte, c est notre propre mort que l on se représente aussi.

[@paulmartin9892]

Une mère ne sens remets jamais

[@heureuxaupresentpascalquio1282]

Comme évoqué précédemment, une mère peut s’en remettre comme c’est le cas de millions de mère chaque année, touchées par le décès d’un enfant. Pourquoi pensez-vous qu’une mère ou une grand-mère ne peut pas s’en remettre ? Où se situerait le blocage ? Et pourquoi une différence de genre entre le féminin et le masculin ? Serait-ce plus facile pour un père ou un grand-père ? Cordialement

[@huguescarrier6621]

Mon chéri me manque depuis le 25 janvier. Il ne s agit pas de penser qu il ne me manque pas. Il est là à chaque endroit où je me rends. Nous étions fusionnels c est très dure

[@heureuxaupresentpascalquio1282]

Fort témoignage. Bon courage à vous

[@silvamavova6815]

En cherchant de l'aide psychologique en ligne je tombe sur votre post, j'ai viens de perdre mon épouse il y a un mois et trois semaines et comme par hasard elle s'appelait aussi ANAÏS, je ne parviens pas à surmonter cette douleur.

[@heureuxaupresentpascalquio1282]

Bonjour Silva, Votre recherche d’aide se trouve récompensée en tombant sur mon blog. Je suis tout disposé à vous accompagner pour surmonter votre douleur. En suivant le lien ci-après, vous pouvez prendre rendez-vous en ligne pour un accompagnement. Vous aurez le choix de le vivre par téléphérique ou en visio. Quel pays habitez-vous et quel est votre âge ? Je vous attends pour notre prochain entretien. Bien à vous www.heureuxaupresent.com/prenez-rendez-vous-vers-le-bonheur/rendez-vous-1-heure-par-semaine/

[@amarnali482]

Courage monsieur, c est le temps qui vous aidera à vous remettre debout. La douleur deviendra familière et s atténuera. Vous n êtes pas seul. Courage,vivez au jour le jour ...c est plus facile.La personne que vous avez perdue voudrait certainement vous voir apaisé et heureux.

[@amarnali482]

Vous n êtes pas seul, je ne vous connais pas mais je vous envoie une grosse vague d affection d Algérie. Tenez bon monsieur et prenez soin de vous.

[@silvamavova6815]

Merci Amar nali pour ces mots d'encouragement

[@heureuxaupresentpascalquio1282]

@@amarnali482 Je comprends la démarche d’Amar. Seulement, le temps n’est pas un acteur, mais un facteur. Par contre, vous êtes un acteur, doté du pouvoir de choisir et d’agir. Utilisez les ressources même limitées qu’il vous reste pour construire en utilisant le facteur temps afin d’établir des étapes à franchir, de choisir de oreilles qui vous écouteront et vous entendront. Passez à l’action, en tous cas, sans attendre. Le piège de penser que le temps fera quelque chose est de camper dans l’attente. En agissant ainsi, on prend la poussière ;-) Je reste à votre écoute si vous en avez besoin. Profitez de 30 minutes d’accompagnement offert sur le site heureuxaupresent.com. Bien à vous

[@paulmartin9892]

Je pense quand on perd un enfant une mémé ne sens remets jamais

[@heureuxaupresentpascalquio1282]

Bonsoir, En réalité, la plasticité humaine est supérieure à notre aptitude à l’appréhender. Un grand-parent se remettra du décès de son petit-enfant dans la mesure où l’aïeul le voudra et travaillera dans ce sens. Nous cultivons la nécessité de porter de lourdes charges alors que nous pourrions porter le souvenir du défunt en se défaisant de la peine de son départ comme on cultive une souffrance. J’entends que ce n’est pas évident et accessible avec les mêmes timing pour tout le monde. Cela dit, il n’en demeure pas moins qu’il s’agit d’un choix personnel de délivrance à laquelle aspirer. En restant à l’écoute de votre cheminement. Bien à vous.

[@philippe-mj4wv]

Absolument n importe quoi C est mauvais Adieu

[@mariejosettebon3790]

Merci pour ce podcast j'aurais bien

[@mariejosettebon3790]

Voulu lire tous les conseils que vous donner.. Lors du décès de mon papaj'avais13 ans et il n'y avait pas d'aide à ce moment là.😊

[@marie-carmenridaura8023]

Je ne suis pas d accord avec votre discourse. J ai perdu mon ame soeur, mon mari. J ai tout perdu. Le partage, l amour, le soutiens, la vie, ma place. J ai perdu totalment mes repers. Ca fait 6 ans et j ai plus de crises de leurs, mais sa presence et tout ce qu il me donnait me manque t. Meme mes enfants que j aime plus que tout, je n arrivais plus a m accrocher a eux. J etais vide. Totalment vide. MA mere est decedee l annee 8:15 derniere, Elle me manque, oui. Mais le deuil de mon mari ou de ma mere aucune comparison. Alors votre descriptif tres joli, mais avez vous perdu quelqu un que vous aviez grave au plus profond de vous?

[@whiteoatwhiteoat5511]

Comment dire de telle chose...déjà ce ne sont pas nos pensées qui donnent nos émotions mais bien le contraire...vous n avez pas perdu un être cher ...ce que l on ressent est terrible...ce vide...ce manque...à l intérieur de soi...dans son ventre..son cœur.. dans son être...une vraie déchirure...arrêter de dire n importe...vous devriez avoir honte de dire ...ce que vous dites...votre maison intérieure est dévastée quand vous perdez un etre cher...je ne vous souhaite de vivre ça...attention au karma...vous risquez de le vivre pour comprendre. Vous n êtes que dans le mental...horrible

[@bokeror8026]

Yeshoua en hébreu celui qu on appelle Jésus en grec a dit je suis la resurection et la vie..celui qui croit en moi revivra quand il a été mort. Voilà il faut lire la Bible. Amitie

[@heureuxaupresentpascalquio1282]

Je vois que te nourrir d’espérance te fait du bien. En quoi ta foi t’aide-t-elle à revivre après un deuil ?

[@bokeror8026]

@@heureuxaupresentpascalquio1282 Dans le concret c est la connaissance de D.ieu qui aide. Son amour est révélé par Jésus. Il y a. beaucoup de paroles de consolation dans la Bible. Si on cherche D.ieu on le trouve. Amitié a Vous.

[@heureuxaupresentpascalquio1282]

@@bokeror8026 Tu sais, à lire comme ça, tes réponses semblent conceptuelles, idéelles, sans connexion avec le terrain. J’entends bien que la foi n’est pas rationnelle (par essence), mais j’aimerais entendre en quoi elle impacte ton bonheur présent et plus encore pour revivre après un deuil, vois-tu ?

[@bokeror8026]

@@heureuxaupresentpascalquio1282 Si il y a connections avec le terrain. C est précis ce que je dis. La définition de la foi est celle là c est la ferme assurance des choses qu on espère la démonstration de celles qu on ne voit pas. Je dirai rien de plus. Shallom paix en hébreu.

[@heureuxaupresentpascalquio1282]

@@bokeror8026 D’accord, j’entends. Je comprends que la ferme assurance, comme tu l’as mentionné, permet d’avoir une sécurité émotionnelle au présent. C’est ce qui fait que, en cas de deuil, tu vivras les choses avec sérénité et une capacité à te relever. C’est bien ça ?

[@fmathieu3809]

c nul votre discours

[@heureuxaupresentpascalquio1282]

Merci pour votre retour. En quoi mon discours vous semble-t-il nul ?

[@Sabrina45600]

La perte de ma maman a cause du covid je ne peux oublier !

[@heureuxaupresentpascalquio1282]

Heureusement que tu ne peux pas oublier. Revivre après un deuil n’est en rien synonyme d’oublie. Personne ne prône l’amnésie. Revivre inclus la personne aimée en lui donnant une place choisie qui permet de continuer à construire sa propre vie sans plus d’entrave. Où en es-tu à ce sujet ?