les résistances sont sur les parcelles en SD ou ACS ! les réductions de doses se paient aujourdhui !
@boeufcarot2 ай бұрын
Tu peux soigner toutes tes parcelles, tout passe par les talus, pour les végétaux le talus c'est Woodstock.
@cozetteolivier47052 ай бұрын
systeme fortier
@herveblossier87942 ай бұрын
aujourdhui la bonne pratique c est le labour a 25 cm ! on n a jamais vu une graine se deplacer ! et l hygiénisation aux UV l été reduit la faculté germinative !
@danielchicouene86922 ай бұрын
Certaines graines sont associées à des annexes constituées d'arêtes pourvues de vrilles hygroscopiques (ex. plus ou moins longues selon les espèces d'avoines sauvages, les Erodium) qui enfoncent progressivement la graine jusqu'à plusieurs cm dans le sol.
@fta14932 ай бұрын
Pauvre plouc
@stephanecordeau55122 ай бұрын
si vous n'avez jamais vu une graine se déplacer alors vous n'avez pas tout vu.
@danielchicouene86922 ай бұрын
Que de confusions et d'absurdités en malherbologie, encore : c'est de l'acharnement. Voici quelques exemples de cette vidéo. D'abord, en conduite sans labour, la particularité est que les formes biologiques de mauvaises herbes non régulées par le labour ont le champ libre (et on sait que le labour ne régule pas les mêmes biologies selon les conditions pédo-climatiques) : se perdre dans un baratin intelligible trahit une incompétence élémentaire. Des apparences de statistiques à 9:28 ne reposent sur aucun protocole de fréquence. La référence de 1995 concerne la flore des champs labourés et non pas la flore des champs cultivés car il y manque la flore caractéristique de la conduite sans labours. Le tableau de "statistiques" (sans aucune définition de "commune") sort d'un chapeau et présente surtout des espèces de la région méditerranéenne, c'est bien connu (par ex. le seul nombre de graminées estivales connues en Bretagne est supérieur au nombre de monocotylédones pour la France dans ce tableau). A 18:34, la figure du haut a 2 légendes incompatibles : le nom international ne correspond pas au nom français cité qui devrait être, en se référant au premier, "Renouée à feuilles de patience" et non "persicaire". A partir de 32:50, alors que les notions de compétition, concurrence et allélopathie remontent au XIXè siècle, dans la vidéo, le conférencier (ignorant a priori par exemple des travaux de ses anciens collègues malherbologistes de l'INRA de Dijon) est perdu dans un charabia : dans les essais habituels au champ, il est impossible de distinguer entre allélopathie et compétition. Les confusions sont sur même ordre à 35:50 sur ce qu'est la régulation biologique. Les "ray-grass" abordés à différentes reprises sont présentés en opposition à ce qui est traditionnellement connu sur le caractère remontant et pérenne d'une espèce, probablement confondu dans certaines phrases avec des intermédiaires entre l'ivraie raide (Lolium rigidum) et le RGA (non remontant), et qui peuvent survivre à de nombreux herbicides antigraminées des céréales à paille. Sur les liserons, à 55:14, concernant les espèces à rhizomes (renouvelés à peu près chaque année), "dents vibrantes... faire remonter les rhizomes à la surface du sol" suppose d'attendre que les rhizomes soient formés au lieu d'intervenir pour empêcher leur formation (c'est-à-dire détruire le feuillage aérien estival va plus être peigné que détruit par les dents vibrantes qui vont exercer un effet de binage valant "2 arrosages" selon l'adage classique) ; et en hiver les rhizomes formés à l'automne sont en repos, et en climat tempéré l'hygrométrie est généralement telle que le dessèchement est impossible. Quant aux propos sur l'effet des couverts et la distinction entre espèces de liserons où le conférencier est perdu, le liseron des haies Calystegia sepium, et surtout le liseron sylvatique Calystegia sylvatica (qui se répand en Bretagne), d'après leur biologies connues pourraient se moquer des couverts qui seraient pour elles une opportunité de grimper. Il faut raisonner en comparant la grande diversité biologique et adaptative des très nombreuses mauvaises herbes à celle de quelques espèces cultivées.
@herveblossier87942 ай бұрын
c est un ingénieur INRAE , pas un génie !! il dit ce que ses supérieurs lui disent de dire !
@danielchicouene86922 ай бұрын
@@herveblossier8794 peut-être en s'asseyant sur l'Office Français de l'Intégrité Scientifique ?
@stephanecordeau55122 ай бұрын
Comme toujours Daniel Chicouène qui n'a jamais rien fait de sa vie à part commenter les travaux des autres sans 1) connaissances de ces travaux et 2) compétences sur le domaine si ce n'est une vision partisane de la botanique, déverse sa haine sur les réseau sociaux. Et quand on le prend entre 2 yeux pour parler de tout ca, il n'y a plus d'arguments. C'est bien de débattre M. Chicouène, mais avec des arguments issus de connaissances scientifiques, pas de votre propre opinion. De plus, vous ecrivez comme vous parlez : incompréhensible. Au plaisir de se recroiser pour en parler.
@stephanecordeau55122 ай бұрын
@@herveblossier8794 c'est assez risible ca. merci pour l'humour.
@stephanecordeau55122 ай бұрын
@@danielchicouene8692 votre non-intégrité scientifique n'est plus à démontrer M. Chicouène vu les dossiers qui vous suivent. Pas étonnant que vous n'ayez plus de tribune dans les milieux spécialisés de l'agronomie et de la gestion des adventices. Preuve en est la médiocrité des travaux que vous tentez de communiquer tous les 3 ans au COLUMA.