J'essaie un FASTRAC 4220 avec Thomas

[@alaingourlay5932]

Bonjour Thierry, je suis vraiment tres impressionné par le matériel agricole de Haute technologie. Je trouve tes vidéo très intéressante et agréable à regarder ne serait-ce que pour tes commentaires. Merci encore de nous faire découvrir ton monde. Alain 👍👍👍👍

[@AgriculteurdAujourdhui]

Merci 😊

[@claudegarnier8001]

Merci THIERRY de nous avoir fait découvrir ce tracteur que l on ne connaissait pas de trop👍👍👍👍👍👏👏👏👏👏

[@jojo-ms2mi]

Bonjour, c'est ce genre de vidéo qu'il faudrait publier plus souvent. Ca serait un bon concept de faire des essais de différentes marques de tracteur

[@antoineverbeke5364]

Tu resteras un enfant et un passionné et un amoureux des tracteurs Merci pour ce petit tour de tracteurs Merci😁😁😁😁😁😍😍😍😍

[@mickaelbru4435]

Salut Thierry, je suis justement entrain de négocier le 4220 avec mon concessionnaire je trouve quil n as rien à envier aux plus grandes marques, très bien cette vidéo continue d expliquer ton métier comme tu le fait! Un grand merci

[@rolandfaucon1560]

C'est une grande marque.

[@thierrydu3378]

Super vidéo Thierry 👌👌👌

[@agricompilation6529]

Je t'adore Thierry tu me fais rêver

[@frederichybois7462]

Super vidéo

[@victorgirard5479]

Super vidéo plus super tracteur

[@noahlmbt8163]

Superbe vidéo

[@Bob-wo1dq]

Bonjour. Super vidéo

[@lucaspommarel2391]

Super vidéo!

[@remypirnay2467]

Super tracteur fastrac

[@paulsemez162]

Jolie machine !

[@brunocharles3179]

J'attends le moment propice pour changer mon 2170 4ws Je l'aime bien Je fais de tout avec Je l'appelle le tracteur bascule. La série 4000 est un réel progrès Je vais prochainement essayer un 4190 avec les ets AXYOM. Quand on a goûté au fastrac....... 😃😉

[@yohannveille8082]

Bonjour vous seriez vendeur de votre fastrac a quel moment ? Je serais bien intéressée , à t il un relève av ? Merci beaucoup.

[@xGoomba80x]

Super vidéo Thierry , assez interéssante mais pourquoi c'est pas Manuland qui t'on contacter ?

[@didiercreignou]

merci belle vidéo.

[@yannbertrand8269]

super vidéo tu est dans mon département moi je suis du coté de niort

[@adriagri8270]

yann bertrand où a coter de niort

[@yannbertrand8269]

a La crèche

[@adriagri8270]

yann bertrand j'ai un copain qui habite a bonneil

[@legamer5802]

adriagri moi a coter de saint maixent

[@yannbertrand8269]

je ne connai pas

[@fredhugues7138]

J'aimerai faire le stage

[@userlaveurdevitres14]

Belle vidéo

[@lefermierwallon7350]

Un vrai gamin se Thierry 😂😂

[@Jeff-vm3gc]

Susuper isonorisation ☺

[@estebanagricultureisere1678]

les jcb sont des tracteurs que je pensait moi aussi il yen encore pas si longtemps que sa pour faire de la route mais il on l'air tout a fait capable de faire des travaux dans les champs.

[@The61Chaumi]

T'es vite limité niveau traction du fait des 4 roues égales mais sinon ça le fait

[@nvnrun]

excellent :)

[@lecampagnarddu7483]

Nickel

[@vincentbuardcultivateurpas2411]

Bonjour, Thierry super. (ps tu aurai pu faire un crochet en charente ;) )

[@jeromegaboreau2249]

Sa doit être agréable a conduire

[@AgriculteurdAujourdhui]

Oui pas mal du tout

[@BouallalaM]

Vous pensez en CUMA ppur en acheter un ??

[@anthoagricole8422]

Il roule à combien au Max

[@passionneagriforet4996]

En Angleterre il peuvent allait au max

[@Dylan-pb7ew]

C'est thomas qui ?

[@guyandre8328]

Tracteur Pallas. Quel silence. Le matériels a fait un très grand pas dans le domaine du travaille de la terre ces cas en céréales mais aussi d'autres exploitations. Mais là, il faut des hommes ( ou femmes) niveau Bac ++ . Grand BRAVO à tout ces forçats du monde agricole qui ne comptes pas leurs heures. Fainéants s'abstenir .

[@thibautragnere8848]

Salut Thyerry super vidéo.Mon pere est agriculteur si tu veux je t'envoie notre matériel sur facebook

[@sebastiendesdouys4529]

200 chevaux 5 corps ça va chez moi 125 chevaux 5corps

[@passionneagriforet4996]

Nous 135 cheveau une mf 6 corp avec un 6630jd

[@johndeere58tanguy]

Le mec laboure quand meme a plus de 20 centimètres je pence qu'il faut un petit peu de ch

[@fleuryjean-francois8704]

Ça tombe bien ou mal. C'est justement dans les Deux-Sèvres qu'il y a la zone atelier de Chizé (450 ha pour différentes études par des spécialistes du CNRS) et où on a documenté l'effondrement des populations d'oiseaux dans les écosystèmes agricoles. M'est avis que le travail ici exposé ne participe pas vraiment du bon maintien de la biodiversité dans les Deux-Sèvres. On en a eu un exemple illustré hier soir sur France 2.

[@HenriBourjade]

Fleury Jean-François Et? Quel rapport ? Les agriculteurs sont des salauds qui dévastent la nature, c'est ça ? Les oiseaux, il n'y en a pas tant que ça, et pas dans une grande diversité, dans les vastes forêts qui existaient avant l'agriculture. Et il y avait beaucoup moins d'humains pour les regarder, vu que seule l'agriculture à grande échelle peut nourrir les milliards d'hommes. Beaucoup d'oiseaux se sont nourris dans les champs cultivés autrefois, il y en a moins aujourd'hui, par contre les mêmes superficies nourrissent bien plus d'hommes. Pour nourrir autant de personnes qu'aujourd'hui en culture biologique, combien de forêts faudrait-il raser ?

[@fleuryjean-francois8704]

Il faut arrêter le déni. Les études du CNRS ont été confirmées par d'autres études sur de longues périodes (plusieurs dizaines d'années). Les oiseaux ont souffert de l'augmentation des surfaces emblavées, notamment avec la fin de la politique de jachère (donc diminution de la source d'alimentation pour les oiseaux granivores et pour les insectivores) mais aussi de la chute des populations d'insectes avec la mise en œuvre des néonicotinoïdes (les oiseaux passent tous par un stade où ils doivent être nourris avec des insectes) et de l'empoisonnement direct via l'ingestion des graines enrobées non enfouies du fait d'un mauvais travail de semis. D'autres part, les populations d'oiseaux concernées par cette chute de population sont celle des campagnes ou des milieux ouverts, les autres, celles des forêts par exemple, ne sont pas concernées. Il est vrai que dans la zone atelier de Chizé, les parcelles en agriculture biologique ne connaissent pas l'effondrement faunistique des alentours. Mais, agriculture biologique ne veut pas dire fin du labour et fin du labour ne signifie pas agriculture chimique. Par exemple, M. J. Berland qui pratique l'agriculture de conservation depuis la fin des années 90, a pu constater, au travers d'un décompte fait au profit de la fédération de chasseurs locale, qu'il y avait sensiblement plus d'oiseaux sur ses parcelles comparativement aux parcelles conventionnelles. L'agriculture conventionnelle a échoué à nourrir l'humanité : il y a un milliard de personnes qui crèvent de faim dans le monde. D'après la FAO, le passage à l'agriculture biologique n'empêchera pas le fait de pouvoir nourrirl'humanité. Et même sans aller jusqu'à l'agriculture biologique, on peut produire autant en agriculture de conservation qu' en conventionnelle, sans insecticides, sans fongicides et pour les plus talentueux sans herbicides. Mais, pour cela, il faut accepter la réalité, se remettre en cause et faire preuve de courage.

[@HenriBourjade]

Fleury Jean-François Les théories agricoles, les tests sur quelques exploitations agricoles ne sont pas souvent validés à grande échelle. Les populations d'oiseaux ne résoudront pas le problème de la faim dans le monde. La fin des guerres, l'éducation, la formation des agriculteurs des pays en développement et une diminution de la consommation de viande le pourront. En pratique, l'agriculture biologique est presque toujours faite avec labour en France, chez les céréaliers. L'agriculture non conventionnelle sans labour s'est développée avec un usage massif du glyphosate tant décrié. La majorité des agriculteurs vivent avec un revenu inférieur au smic. Et pratiquement tous les agriculteurs bio. Ils ne vont pas travailler plus et gagner moins pour les petits oiseaux. C'est facile de faire du bio et de l'agriculture de conservation dans des situations agricoles très favorables. Presque jamais en France les fermes d'essais agricole ne sont en terrain pauvre, toujours sur des sols profonds et riches. Ce qui est extrêmement trompeur. Des fonctionnaires salariés de l'Inra ont mis 20 ans pour laisser un sol non labouré s'enrichir naturellement et procurer des rendements presqu'aussi bons qu'en céréaliculture conventionnelle. Après une baisse de rendement pendant une douzaine d'années. Ça a marché chez eux mais... C'est l'état qui les a payés. Je vous assure que s'ils étaient salariés de l'état pendant 12 ans, les agriculteurs essaieraient. Ils ne labourent pas pour le plaisir. C'est lent, coûteux et pénible. Mais la majorité n'a aucune marge de manoeuvre et les autres n'en ont pas besoin.

[@fleuryjean-francois8704]

‘‘Presque jamais les fermes d’essais ne sont en terrain pauvres’’. Qui a parlé de fermes d’essais ? L’agriculture de conservation est pratiquée par au moins plusieurs centaines d’agriculteurs en France. Sans parler de toutes celles et ceux qui travaillent de cette manière à l’étranger. Allez raconter à F. Thomas, C. Abadie ou P. Lemey qu’ils ont des terres riches, ça les fera bien rigoler. Quant à celles et ceux qui s’y sont mis, ils et elles l’ont fait A LEURS FRAIS. Quand ils et elles ont réussi, après quelques années (et non 12 ans comme avec l’INRA, pas de ma faute s’ils sont dépassés sur le plan conceptuel), à faire revivre leurs sols, ils (elles) n’en changeront pas. Et comme ils réduisent leurs charges de production, ils ont une meilleure marge. Cela passe par, entre autres, la réduction des intrants phytosanitaires. Habituellement, on commence par les insecticides et les fongicides (faut bien que quelqu’un recycle les résidus végétaux qu’on laisse sur le sol) et puis quand on pousse le processus, ça passe aussi par la réduction plus ou moins forte des herbicides, qu’on laisse dans un coin au cas où, pour utiliser des astuces agronomiques permettant de réguler à la fois les couverts et les adventices qui voudraient repousser. Cf C. Abadie : kzbin.info/www/bejne/epnTo6WegLuIja8. Personne n’a dit qu’il fallait passer brutalement de l’un à l’autre système. Tous ceux qui ont fait le saut recommandent de s’informer, de contacter un réseau, de diminuer progressivement le travail du sol, de faire des petits essais pour se faire la main, voir ce qui marche, ce qui ne marche pas, comprendre pourquoi, bricoler ce dont on dispose si on le peut avant d’acheter du matériel spécifique et de convertir l’ensemble des parcelles. Naturellement, ça irait mieux avec un financement mais sous la mandature précédente, une maec en ce sens était en préparation en liaison avec les professionnels et depuis ? Plutôt que de courir après tel ou tel produit phytosanitaire, les représentants des paysans feraient mieux d’insister sur la mise en œuvre d’un dispositif d’aide à la conversion. Certes les oiseaux ne résoudront pas le problème de la faim mais la disparition des oiseaux ne servira pas la cause des paysans. En Chine, quand Mao dans un accès de délire a décrété la fin des moineaux sous prétexte qu’ils prenaient une partie des grains des récoltes de blé, les paysans se sont d’autant mieux exécutés qu’ils croyaient par ignorance et bêtise qu’avec la fin des moineaux tout irait pour le mieux. Las, les oiseaux effectivement exterminés, les récoltes des paysans chinois ont été décimées par les insectes ravageurs qui ne faisaient plus l’objet de la prédation des moineaux. Comprenant un peu tard la bêtise de ce qu’ils avaient ordonné de faire, les autorités chinoises ont réintroduit en masse et en catastrophe des … moineaux ! Chez nous, les populations d’insectes sont plus ou moins jugulées avec les insecticides, cela au dépens des oiseaux comme je l’ai déjà expliqué mais cela aussi au dépens de l’environnement et aux dépens financier des paysans car la lutte insecticide coute cher aux paysans que ce soient les produits phytosanitaires ou les semences enrobées. Par contre des carabes qui consomment les limaces et les graines d’adventices tombées par terre, des hirondelles et des frelons qui consomment des insectes, des oiseaux granivores qui vont consommer avec les carabes les graines d’adventice, ça, ça ne coûte rien à l’agriculteur. D’ailleurs, les acéistes prennent la peine de disposer des nichoirs et des perchoirs pour les oiseaux.

[@THELignariusLANDS]

Mais qu'est ce que tu nous emmerdes avec tes oiseaux toi ? Si ça t'emmerde tant que ça bah vas-y monte une assos va tassoire au milieu des champs pour les empêcher de bosser ou jsais pas mais viens pas casser les couilles

[@raphaelchenot3378]

C'est quoi ton objectif ? Expliquer l agriculture ou faire de la pub?

[@leleveurlaitier1491]

Labour c'est pas bon pour la vie du sol et les vers de terre

[@amandinelegourrierec6898]

L'éleveur Laitier l'homme labour depuis toujours depuis des centaines d'année ..... a mediter

[@HenriBourjade]

Le labour est depuis des siècles en Europe la meilleure manière d'éliminer les plantes qui concurrencent les céréales qu'on sème. Sans labour on voit souvent utiliser de plus grandes quantités de désherbants. Les techniques culturales simplifiées fonctionnent souvent bien, mais au niveau vie du sol et vers de terre, ça ne fait pas de miracle. On peut avoir une vie du sol intense en culture sans labour, mais c'est, en Europe, très rarement pour cultiver des céréales, ça nécessite beaucoup de travail et d'apports organiques. Très bien pour faire des légumes bio à prix élevés. Certes on voit en culture extensive dans les grandes plaines américaines faire du semi direct et jamais labourer. Mais les adventices hivernales (et les vers de terre, et la vie organique) y sont tuées par le gel intense et profond, et les rendements sont très bas. Les contraintes économiques ne laissent pas beaucoup de choix à la plupart des céréaliers en France, et les agriculteurs bio labourent presqu'autant.

[@JeuneEtJardin2019]

Utiliser à bon escient cela reste encore un levier agronomique

[@tomec5980]

Un labour vaut 2 désherbage!

[@rolandfaucon1560]

160000E d'occasion c(est chouette)