C EST UN GENIE DE LA POESIE KABYLE LONGUE VIE ET BONNE SANTE SI LOUNIS
@saidslimani71905 ай бұрын
Traduction mélodique de : Avrid n temzi (La route de la jeunesse) Si on regarde la voie où on est passés C'est par des soupirs qu'on se la rappelle Même si, parsemée de rudes d'obstacles Par la jeunesse, enjolivée Cela, c'est en sommeil seulement Que nous pouvons nous rencontrer C'est ce qui m'est arrivé Cette nuit, quand j'ai rêvé J'ai rêvé d'un long chemin Qui me rendra d'où je viens Je marche sans voir l'horizon Après chaque étape, pensant Regardant tout ce qui est passé Ce que je prévois, mes souhaits Ils sont toujours installés Chacun où je l'ai laissé Je rencontre un ami mort Le voyant, vite, rechutant Escomptant un changement C’est la joie, en me voyant Tu es encore dans les cœurs Dans les rêves, nous voyons Un jour, les autres nous laisserons Dans la route où nous te laissons Un fusil à deux, rencontré Reconnus quand il s'est montré Sur sa crosse, des bijoux fixés Gravés par un joaillier d'At Yani Quand, sur les collines, étant Notre objectif, l'atteignant Celui qui l'a pris, l'a pourri Je tire la gâchette, s'effritant Une romance, rentrée De la tête, elle m'est sortie Entre les roches, elle errait Sur le chemin de ma vie Sur moi, ne sermonnez pas Ma jeunesse, elle me l'a rappelée D'elle un peu, il m'en est resté J'en amène un peu dans ma voix Ne me quitte pas - (Ur iyi ttadja à 4.58) Ne me prive pas de ta voix Ne me laisse pas Avec ton image, seulement Ne me quitte pas Ma vie, à un roseau semblant Et elle ira Là où ta main le voulant Ne me quitte pas Je préfère être tué Ne me quitte pas Où tu vas, tu vas me trouver Ne me quitte pas Ma vie est comme un papier En main, tu l’as Déchire-le avant d’y aller Ne me quitte pas Reste, ensemble, on va marcher Ne me quitte pas Laisse donc le cœur te conter Ne me quitte pas Mon cœur comme un film, devenant Et tu verras tout l’espoir qu’il y a dedans Ne me quitte pas Je te supplie jusqu’à quand Ne me quitte pas Pourquoi donc, tu ne m’entends Ne me quitte pas Mon cœur devient un miroir Où tu verras Tout ce que l’amour peut avoir. Cette romance en l'entendant J'ai suivi mon chemin, fuyant Je craignais fort de penser Ce où j'ai juré d'arriver J'ai trouvé un calcul simili Sur des mythes, j'ai espéré Tous de ma vie, sortis Et seul, je me suis retrouvé Je pris la route de la vallée Des roses de toutes sortes, rencontrant Je pensais : qu'est-ce que ceci Quand on cherchait sans trouver Lorsque je valorisais Ce qui n’était pas trié Si je vois un arbre pourri Un rejeton, me paraissant Je rencontre un autre ami Mort, sans être arrivé au but C'est quelqu'un qui est parti Pour sa langue, sacrifié Entre ses mains, sa tête, a mis Ses yeux suivaient, ayant tout vu Comment ? il m'a demandé Sa langue kabyle était Tant de choses se sont passées Depuis que tu es parti Ce jour-là, qui aurait dit Du peuple, qu’en est-il resté Au mur, quand on l’accula Sa force est là, on la voit Pour vous, nous compatissons Morts, vous n’étiez pas présents En quatre-vingt, soulèvement Vos connaissances, se rappelant Ils se disent, pendant longtemps Notre langue, malade, la laissant C’est le pauvre fils des monts Qui comme toi, va le premier Quand d’autres se sont levés Aux seuils, arrive la dissension Depuis, les temps ont changé Le Kabyle, la tête, relevant Même les gens qui ne voulaient Par peur, dignité s’y mettant La langue est debout maintenant On l’a secouée, nettoyée Parmi ces enfants, elle est Qui l’a levée ne la posant A la fin, il a soupiré Il dit : je vais me reposer Attention, ceux d'aujourd'hui Par la lutte, d'être trompés Cela, on l'a dans l'ethnie De jadis, la fraternité Quand on arrive à la sortie Nous sortons l'inimitié Pensant à ce qu'il disait Ma joie commence à s'effacer Je pense à mon adversaire Je trouve que c'est mon frère d'hier Continuant ma route, de là Le soleil, à l'apogée Le son d'une fête m'arriva Il précède ce village-là Dans ce village-là, entré De femmes, la rue, rassasiée Les robes et les pagnes, et De toutes sortes, enjolivant Chacune d'elles apportant Des chants, des cris et des rires C'est les chansons, le bendir Qu'à la fête, plus, on entend. N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
@aliouamrane87113 ай бұрын
La kabilie sans ait menguellet égale zéro .bravo .
@hocinebelaidi65844 ай бұрын
Je ne pense pas qu'il existe un équivalent de Lounis Ait menguellet. Un astre illuminant la sphère de la poésie. Longue vie inchallah.
@omaraitmokhtar579524 күн бұрын
C'est ke bon dieu qui l'a envoyé aux kabyles comme il envoyé Md aux arabes, hélas on ne veut rien comprendre !