Alexandre Astier : Lettre à Frédéric Taddeï

[@alexandredurand-kristofic163]

Voilà un moment culte de la télé ! Heureusement qu’on le trouve sur KZbin merci pour le partage !

[@bonjour7715]

Sympa, vraiment très sympa. Je trouve ça très bien écrit et tout aussi bien raconté. Meerci pour cette vidéo!

[@cecilevincent9929]

Quand l'intelligence est là. Que c'est frais.

[@maxoochoo]

Alexandre Astier est brillant. C'est indéniable. Tellement brillant que je peine à saisir le sens de son message dans cette vidéo. On sent que le message est subtil, peut-être trop subtil pour moi. Je n'arrive pas à éclaircir. Quelqu'un peut-il m'éclairer ? PS : Mon commentaire n'est pas ironique. J'aime beaucoup Alexandre Astier mais sur celle-ci je cale. Merci à vous.

[@CyregO]

Alors même si dans l'absolu, je suis d'accord avec vous Yza (à titre personnel, je suis contre les débats intégrant l'extrême-droite, parce que dans cette forme d'échange court, rythmé, avec un public à convaincre, la manipulation des émotions [peur, colère...] l'emportera toujours sur un argumentaire développé, sourcé, nuancé...), mais je ne crois pas que ce soit le message d'AA dans cette vidéo / lettre. J'ai même carrément compris l'inverse : pour moi, il prend clairement la défense de Frédéric Taddeï, qualifié dans l'Opinion "d'homme sans convictions" qui, par ses choix d'invités controversés, a pu donner une tribune à des idées peu reluisantes mais qu'on retrouve dans la population, "du saugrenu à l'imbécile, du n'importe quoi au sans intérêt, du nauséabond au divertissant"... Sa conclusion : "Je ne suis pas un dingue des œufs durs (ici illustrés par Soral, Dieudonné, Finkielkraut...) mais s'il faut que je m'en tape un de bon matin pour leur permettre d'exister en tant qu’œufs durs (les écouter une fois) , pour qui aime les œufs durs (ceux qui partagent leurs opinions), [...] je le fais volontiers, calme et curieux." En fait, j'ai l'impression qu'il défend au contraire une liberté d'expression absolue, argüant son immunité contre les opinions d'autrui et son "aptitude à ne pas s'indigner" (1:22), et prêtant à tout le monde l'intelligence et la responsabilité individuelle de savoir écouter sans se laisser persuader, et faire le tri entre bons et mauvais arguments. Dans la même veine, à l'époque où le gouvernement socialiste avait interdit les tournées de Dieudonné, AA avait pris la défense de ce dernier, non pas en faveur des sous-entendus antisémites qu'il distillait, mais contre ceux qui empêchaient un artiste de s'exprimer (je pense pas qu'il se soit jamais intéressé de près à ce que pouvait dire Soral, ni qu'il connaisse Dieudonné autrement qu'à travers ces premiers spectacles, sinon j'imagine qu'il aurait revu son rapport à la liberté d'expression...) Sa vision sur le sujet a pu évoluer depuis, d'ailleurs ?

[@pseudocroyance6643]

@@Yzatoutcourt oui mais il aime pas les œufs dur, et il est prêt à en manger. Il est prêt à laisser s'exprimer n'importe quel imbéciles pour qu'ils puissent exister en tant que ce qu'ils sont.

[@mariongiannettini7318]

@@Yzatoutcourt j’arrive très longtemps après la guerre mais désolé de vous dire que vous n’avez rien bité au tableau .. il dit tout le contraire justement. Il dit qu’il faut laisser les gens s’exprimer même si on est en fondamentalement en désaccord avec eux . En gros comme disait Voltaire je ne suis pas d’accord avec ce que vous dite mais je battrai jusqu’à la mort pour que vous ayez le droit de le dire .

[@masterjack8222]

@@Yzatoutcourt Il dit exactement l'inverse

[@masterjack8222]

@@Yzatoutcourt non, vous n'avez pas suivi l'histoire, il critique les gens qui ont justement critiqué taddei à la limite du lynchage pour avoir invité tout le monde sans distinction. taddei et astier sapprecient. il le defends justement.

[@hainefire]

Şeref ve can... Quelle élégance. Un ami entre et s’assoit, Parlant sur je ne sais quoi. Quelle importance ! Je dis un ami. Car il est le bienveillant, Le soutient qu’on attend. Avec poésie. Sans surprise. Ou bien c’est à l’inverse totale. Au delà du compagnon animal, Le copain demeure dans la crise. Il n’aborde pas le thème . Trouverions-nous l’idem ? Ce défaut est le problème, De ceux qui ne s’aiment...