Bravo, enfin on parle de souveraineté française car l'IA est à l'evidence une source de fuites massives de données sensibles autant que grand public. Le biais universitaire est très pertinent mais puisse t'il se déployer commercialement, défaut malheureusement typiquement français. En espérant que T. Breton n'y mette pas son grain de sel genre Atos !