Arthur Keller. La résilience des territoires

La résilience des territoires face aux crises sociétales qui se préparent.
Face aux risques d’effondrements écologiques et économiques qui menacent notre société, comment préparer et organiser les territoires et construire un monde résilient, juste et digne pour tout un chacun ? Conférence d'Arthur Keller, le Jeudi 20 octobre à 20h, Faculté Lettres, Langues, Sciences Humaines & Sociales, Lorient
Le conférencier : Arthur Keller
Arthur Keller, ingénieur spécialiste des stratégies de territoire face aux risques sociétaux et climatiques, est formateur, conférencier et consultant autour des questions de résilience territoriale et collective.
La résilience des territoires face aux crises sociétales qui se préparent
Le 20 octobre 2022 de 20h à 22h30, à l'Université Bretagne Sud, Arthur Keller partagera sa compréhension des risques d'effondrement pesant sur les systèmes socio-économiques et proposera des stratégies d'anticipation et d'organisation collective pour y faire face.
Conférence co-organisée par la Mission Développement Durable et Responsabilité Sociétale (DDRS) de l'université Bretagne Sud et l'Agence Locale de l'Energie et du Climat de Bretagne Sud (ALOEN).

[@sol.air.2024]

Merci d'être aussi didactique et clair monsieur Keller, ce que vous faites est très important, j'aurez l'oreille des gouvernants, parce que c'est inévitable, parce que vous êtes capé pour, parce que votre discours et votre science sont tant reconnu que académiques et certifiés. Parce que votre force extraordinaire d'enseignement et d'enseignant. Nicolas Hulot un temps, et les erreurs du passé, vers un renouveau, et d'autres sciences et capacités appelées. Mais toujours la même sociologie des pouvoirs et des sagesses appelées, toujours les mêmes costumes, toujours les mêmes traditions, toujours les mêmes jeux de chassé-croisé autour des pouvoirs, cela dans tous les groupes sociaux quelles que soient leurs effets d'échelle, comme quelle que soit leur époque. "L'agronomie écologique" n'est toujours pas appelée à la gouvernance, bien que science clé du seul présent vivant possible : du couple Claude et Lydia Bourguignon à Marc-Antoine Selosse en passant par Marc Dufumier ... La science et la quête de vie de ces personnes sèment la culture sociologique et sociétale de notre vivant présent populaire. Mais on aura bien le temps de crever avant d'en faire une politique de nation, on se connaît bien en tant que populations, en tant que sociologies, en tant que démocratie, comme en tant que gouvernances. ET L'ÉTAT IL FAIT QUOI ? Nous avons besoin que ce soit l'État qui organise : l'État et les Etats dans une coalition : il nous faut un changement d'ensemble piloté par la science, la biologie, et l'agroécologie agro-forestière. On en fait quoi ? On parle réforme des retraites, on fait des ronds de jambe, des effets de séduction, on se dit meilleur que tous ses prédécesseurs qui n'étaient que des rois fainéants, et au fond on aura eu la place seulement pour nous prouver à nous-mêmes que nous pouvions l'occuper ? Ah j'oubliais : on fait des convention citoyenne pour le climat, et pour la fin de vie, et on le dit en anglais : "make our planet great again"😃. Les changements individuels ou même collectifs locaux particuliers ne seront que parcellaires et touchés par l'effondrement de masse de toute manière. Vélo, peu de chauffage l'hiver, végétarien : pour le reste, aux limites de ma propre foi, ma foi s'arrête au fait de mon expérience sociale.

[@tessierjeanclaude1612]

Mmmmmmmmmm

[@lamafauche46]

Les politiques sont les suiveurs de l'opinion, ils bougeront si la société bouge (puisqu'ils doivent gagner la confiance dans les urnes)

[@guaytanedesjardins8040]

@@lamafauche46 --- --- La confiance dans les urnes OH YES!.... si les urnes sont sophistiquées par le vices de la technologie .... EST-CE OK? OH NO!.... La technologie est facilement manipulée par de la tricherie. Voilà le POURQUOI les gens ne se FIENT plus aux URNES techniques? SOMMES-NOUS des VICTIMES de la FRAUDE TECHNIQUE? ?

[@QuentinNau]

Merci... simplement merci de nous réveiller !

[@giaSistaFunk]

Clair, net et précis. Merci 🙏

[@PierreDBA]

J'ai beaucoup aimé. C'est terrifiant ce qu'on vit déjà. Le changement semble tellement loin et irréel. Enfin, concernant l'éducation, il me semble qu'on se borgne à enseigner des choses inutiles aux enfants à la place d'apprendre des choses utiles comme bien manger, cuisiner, faire, comment s'occuper de sa santé physique et mentale, à s'occuper des autres, de la paix, la politique, le commerce, l'histoire des peuples, le jardinage,le respect des autres formes de vie, la navigation, expérimenter, essayer plus... Au lieu de croire que les formules mathématiques, chimiques et physiques puissent aider les jeunes à s'en sortir dans leur vies... Je pense à un système d'éducation de l'être humain et non ces méthodes actuelles qui distancie les jeunes des écoles... Ça serait plus utile pour les sociétés et pour le monde... Non ?

[@anges9807]

@@gerardmanvussa5159 dans l'immédiat apprendre à survivre me semble plus judicieux

[@lionelc77]

Fini les bretons.... Bientôt remplacé car ils le veulent bien

[@patriciaparmentier2558]

Édifiant ! Grand merci !

[@laurentdrouault6241]

Magnifique, merci pour ce partage.

[@thigui30]

✨✨ Les résultats sur le climat sont indéniables. La démonstration sur le climat laisse supposer que les chiffres sont fiables tout comme les chiffres qui concernent le sanitaire le sont. C'est donc une analyse faite dans la matrice pour la matrice. Oui il faudra trouver des systèmes de résilience pour vivre avant que la matrice nous impose SON système. L'étape d'après au vu des théories de la compote (qui se vérifient chemin faisant) c'est la levée des brevets technologiques. Leur verrouillage est la cause primordiale de la non transition globale

[@Unvansurlaroute]

Excellente conférence. Merci

[@marielauremathivet4175]

Merci pour ce partage 🙏✨❤️

[@zietekchristophe7661]

ayant des valeurs anarchiste ,je me retrouve beaucoup dans ces propos

[@lucmigeon9543]

Il semble logique que la ressource énergétique alternative aux hydrocarbures est l'Homme et sa propre vie: revenir aux gestes et à l'huile de coude. Un service "citoyen", difficile à généraliser certes, permettrait de supprimer beaucoup de dépendances aux ressources extérieures. La difficulté étant de ne pas basculer dans de l'esclavage moderne... le risque sociétal de l'exploitation d'autrui bien présent chez l'Homme, tout comme la paresse ou le desintérêt chez d'autres.

[@jeanlouisrenaud1466]

Plus de pétrole nous auront tout le temps qu'il faut de plus si nous ne nous y met-on pas TOUS nous allons crevé de fain TOUS. C'est pour se la que maintenant c'est pas possible il faut changé notre mentalité crevé de fin changera notre mantalite mai il faut des guide. Merci.

[@richardamarante1594]

Le plus difficile c'est de convaincre les pays en voie de développement qui veulent vivre ce que nous avons vécu!

[@vpic357]

JM Jancovici parle de tout ça avec tellement plus d élégance, d ironie et d humour. Et de calme aussi.

[@boup74]

Il en faut pour tous les goûts, ce qui compte au final c est le fond du discours. Mais pour un abonné à macron et mc fly et carlito ce n est pas étonnant qu il n y ait que la forme qui compte.

[@annickallanet4546]

VITE, PLANTONS DES ARBRES !!!!!!

[@andremorasse9150]

Je met vos propos en doutes, car votre conférence a été co-organiser par un organisme qui peuvent avoir un partie prix, donc vous avez des conflits d'intérêts, vous exposé des articles de journaux qui nous ont mentis depuis au moins 3 ans, je ne dit pas que vous mentez mais un débat s'impose entre les connaisseurs indépendants et dépendant du système mondialiste qui veulent nous faire peur avec des modalisateurs controverser financé par des organisations qui ont quelque chose a y gagné.

[@thibautsauve9905]

2:10:00 Plutôt qu'un jour par semaine de travail pour la société je proposerais plutôt 4 ans de service entre 16ans et 20ans (champs et construction) et ensuite après 20ans soit tu continue dans un métier manuel, soit tu fais des études.

[@fredericvandendriessche9910]

Ce n'est qu'un début de solution. Mais c'est la bonne voie ;)

[@HerveMARTINOT]

la pieuvre monétaire, oui ont en dépend tous. Se mobiliser collectivement ne passe pas forcément par les collectivités, mais par les ensembles de resiliences ayant des intérêts communs

[@alya4976]

Merci d'avoir aussi parlé de la pollution qu'est LA PUBLICITÉ. Et d'avoir précisé que c'est bien toutes les communautés ensemble que nous arriverons à réapprendre la SOLIDARITÉ et l'ENTR'AIDE (exactement le contraire des messages communautaristes des politiques mortifères de droite, reprises dans les mauvais médias)

[@bazarmaroc]

Dès que le gars dit "Dubaï construit avec du sable Australien. Facile pour eux. Pas cher. ils ont du pétrole... peuvent tout s'acheter... etc. etc." et feint d'ignorer que c'est inversible: "L'Australie construit grâce au pétrole de Dubaï. Facile pour eux. Pas cher. ils ont du sable... peuvent tout s'acheter... etc.etc.", moi je conclus que c'est encore un branleur... et je quitte!

[@mts2705]

Dans l'écosystème de cette résilience il me semble qu'il y a une énorme carence de "faiseurs"... Le "y a qu'à faut qu'on " perdure, alors qu'il a déjà fait son temps.

[@inji1955]

Vous ne parlez pas des épandages de produits chimiques pour modifier le climat. Chemtrails .

[@d.adrien6669]

Magistral. Au boulot maintenant.

[@fredericvandendriessche9910]

À propos de l'importance démographique, sur un plan global, en réalisant qu'avec 8.016.000.000 d' humains pour 106.700.000 km² de terres réellement habitables, ce qui représente 13 311 m² / humain (soit 115/115 mètres chacun), il devient plus qu'évident qu'il faille songer à une civilisation unique et mondiale avec des règles communes basées sur tout ce que nous avons de plus commun : besoins vitaux (manger, respirer) et psychologiques (sécurité -> bien-être). Une seule civilisation pour tous = zéro guerre (guerre = conflit armé très destructeur). Au problème périlleux de l'expansion, la solution est tristement facile. Tristement parce qu'elle devra se confronter à une idée faussement éthique induite par des mœurs séculaires. En admettant l'importance d'envisager les choses autrement, nous pourrions reconnaître le droit (la possibilité) pour chaque être humain d'engendrer une et une seule descendance tel un prolongement de soi pour transmettre ses valeurs, ses pensées et son expérience. Ce qui implique de revoir profondément nos mœurs et coutumes toutes cultures confondues. À propos du nationalisme (fierté nationale et distinction territoriale), cousin de l'individualisme exprimant toujours une forme d'ignorance, il conviendrait de s'en défaire puisque nos problèmes sont planétaires. Tandis que l'ignorance révèle la bêtise, la connaissance élargit les perspectives. En tenant compte de l'histoire sur la façon dont les États se sont construits, de la politique dans ses fonctionnements actuels, de et des impératifs majeurs qu'il va nous falloir affronter, il y a tout lieu de reconnaître que les frontières d'État ne peuvent demeurer car elles sont une entrave à l'évolution. Et comme il est aisé d'admettre que l'évolution est inhérente au dessein de la Vie (c'est ce qu'elle ne cesse de faire patiemment depuis son apparition sur Terre), nous ne pouvons, en tant qu'ambassadeur de celle-ci (humains, animaux et plantes = espèces vivantes, même racine primaire), nous en dissocier. Qu'une fois ces frontières abolies, il faille songer au langage qui est l'un des principaux facteurs de notre évolution et un signe distinctif de notre espèce ayant permis le partage de connaissance, (écoles, conversations, ...) pour convenir d'un langage unique et commun à tous pour faciliter cette transmission du savoir et la compréhension de son prochain d'où qu'il soit. Qu'il faille également redessiner les implantations urbaines afin que chacun soit à équidistance des autres et que chaque ville soit à capacité égale des autres. À propos du rouleau compresseur "capitaliste", je doute que "résister" soit une bonne approche car rien ne résiste à un rouleau compresseur. Plus il y aura de résistance, plus il sera énergivore et destructeur. "Esquiver" me semble plus approprié. Faire autrement, mais en tout cas, sans lui. Bien qu'étant une invention formidable, l'argent (ou la monnaie) tel qu'il est conçu est plus problématique qu'intéressant car il est directement soumis au système économique principal avec toutes les défaillances qu'on lui connait (corruption, blanchiment, inégalités, etc...). Qu'avec des billets sectoriels et nominatifs, bon nombre de problèmes pourraient être résolus. Sectoriel > servant à un usage précis et pas un autre. Soit nourriture (billets oranges), soit textile (billets blancs), soit loisirs (billets roses), ... Nominatif > uniquement utilisable par la personne identifiée sur le billet. Une solution techniquement envisageable (système informatique automatisé). Un équivalent des crypto-monnaies, mais en plus précis. Avis aux détracteurs : quand on ne maîtrise pas un sujet, on s'abstient de polluer inutilement. À propos de l'activité humaine (travailler), en reconnaissant la nécessité de changer de système et la réinvention d'une monnaie d'échange, les "métiers pernicieux" propices aux inégalités car directement en lien avec le profit (banquier, assureur, trader, commerçant, publicitaire, ...), viendront à disparaître. Ce qui confère plus de main d'œuvre pour moins de secteur = temps de travail graduellement réduit pour tous (voir échelle sociale). Convenir d'une alternance cyclique d'activité pour tous de sorte que chacun connaisse autant l'aisance que la difficulté en assimilant les bases et les notions pour chaque domaine. Ce qui constitue également un intérêt personnel (savoir cultiver, cuisiner, soigner, confectionner, réparer , etc...) dans l'accomplissement de soi. Quant à la monnaie susmentionnée, elle devrait à terme, pouvoir être transformée en droit, la garantie de pouvoir subvenir à tout ses besoins (besoins ≠ envies) en échange d'une participation aux activités collectives indispensables au bon fonctionnement de la société (production, traitement, distribution, ...) et donc dans l'intérêt de chacun. À commencer par l'enseignement en remplaçant les "années" scolaires par des modules de connaissances hebdomadaires ou mensuels. Exemple: un module "Additions" étalé sur 2 semaines. Suivi d'un module "Soustractions" de même durée. Des modules ultérieurement approfondis (avec des valeurs plus importantes) en fonction de l'avancement de l'élève. Et transposer ce schéma à l'apprentissage des métiers pour les individus en âge de s'assumer. À propos de l'échelle sociale, actuellement établie sur le pouvoir, la richesse, le mérite, ce qui engendre toujours plus d'inégalité, ce sont ces piliers qu'il faut revoir. En élaborant cette échelle (psychologiquement indispensable - objectifs individuels) sur une dimension commune, nous obtiendrions une véritable équité pour tous sans distinction discriminante. Une dimension comme celle du temps (âge-longévité) puisque tout le monde nait, vieilli et s'éteint. Qu'à chaque pallier de longévité, plus de confort, de liberté, d'avantage soient systématiquement accordés. Impliquant la nécessité de veiller à sa santé (activité physique, cérébrale et biologique) pour prolonger sa vie autant que possible et réduire progressivement les pénibilités de l'existence. NB: qu'à l'heure où l'abondance et le profit à tout prix touchent à leur terme, les personnes qui s'offusquent en lisant "un seul" ou "unique" constituent une partie du problème mondial. Chacun est invité à se remettre en question par et pour une prise de conscience massive et historique. Aujourd'hui, c'est encore un choix. Demain, ce sera une obligation, une contrainte.

[@fredericvandendriessche9910]

@@seb240ful Bonjour Sébastien, Merci pour ta remarque emprunte de franchise et de respect. Je suis entièrement d'accord avec toi. Moi-même, lorsque je lis ou visionne des avis tranchés, j'éprouve une sensation d'inquiétude m'amenant à nourrir une certaine réserve, de la méfiance. Une réaction très naturelle qui se manifeste souvent par méconnaissance. Dès lors, j'essaie autant que possible d'élucider les inconnues (recherches, analyses, vérifications, …) pour mieux cerner le sujet et en comprendre l'intention, le fonctionnement. Depuis que je suis en âge de raisonner, les problèmes humains ont toujours occupé mon esprit. Tandis que beaucoup avant moi se sont amusés à refaire le monde à coup d'idée et de désillusion, car ce n'est pas une tâche aisée, j'ai pour ainsi dire passé toute mon existence à imaginer ce que pourrait être un monde parfait. Pendant que les politiciens de comptoir et autres collègues festifs s'endormaient avec l'esprit en vrac, moi, je m'endormais en développant ce monde imaginaire. Si bien qu'aujourd'hui, après plus de 30 ans de constructions mentales développées pour pallier aux problèmes les plus significatifs, j'ose prétendre pouvoir proposer un concept civilisationnel bien meilleur que celui qui nous est imposé depuis notre naissance. Le train de vie moyen que devrait apporter ce concept équivaut à celui de la classe moyenne actuelle. Mais comme il s'agit d'un système progressif, l'individu en âge d'activité connaîtrait d'abord 5 années sommaires pour ensuite apprécier une évolution constante jusque 75 ans et une continuité exponentielle jusqu'à trépas. Une échelle sociale relativement simple et équitable pour réserver les choses les plus rares, les plus difficiles à produire (ressources-coût énergétique) aux individus les moins nombreux = les plus âgés, en retour de leur contribution au bien-être des prochaines générations. Tous les êtres humains veulent à minima la même chose : pouvoir mener une existence plaisante ! Serait-ce si difficile de concevoir une civilisation dans l'intérêt de tous ?... en s'appuyant sur ce qu'il y a de plus évident ? Que pour pouvoir vivre, nous devons tous D'ABORD répondre à nos besoins : respirer, manger, s'entretenir (santé). Et que pour être heureux, nous devons ENSUITE nous accomplir (apprendre à bouger, parler, lire, compter, courir, cultiver, cuisiner, soigner, construire, produire, confectionner…). Goûter à tous les râteliers (art, sport, social, sciences, ...) sans compromettre le bien-être des autres = occuper sa juste place, ni plus brillante, ni plus terne qu'un autre. Que chacun, en ayant son individualité propre, puisse uniquement envisager la « possibilité » de guider, partager, enrichir sa descendance, son entourage, son prochain, sans nuire à qui que ce soit. Les systèmes actuels sont malsains parce qu'ils fonctionnent à l'envers. Ils distinguent plus qu'ils n'associent. Ils divisent au lieu de réunir. Peut-on reconnaître que nos sociétés, dans leur ensemble, fonctionnent encore selon « la loi de la jungle », celle du plus fort ? Que cette force soit la témérité, le charisme, l'audace, la richesse, l'intellect, le courage ou l'effort, nos sociétés reposent sur un rapport de force, de comparaison, un principe de "différence". Premier problème : construire sur base de distinction, c'est inéquitable, incohérent et pernicieux. Tandis que construire sur base de similitude, c'est juste, logique et plus efficace. Second problème : nul n'est en mesure d'affirmer que tel « mérite » vaut plus qu'un autre. Il n'y a pas un être assez sage et possédant toutes les connaissances utiles pour déterminer une échelle de valeurs citoyennes (quelle qualité vaut plus qu'une autre) ou s'octroyer le droit de décider pour les autres. Celui qui cherche à gagner du pouvoir (président, ministre, ambassadeur, directeur, ...) est foncièrement individualiste. Car même si cela part d'une quête légitime à la liberté (meilleur statut > meilleurs revenus > liberté accrue) ou d'une volonté à prendre les choses en main, cela implique inexorablement la subordination d'autres personnes moins privilégiées et donc une forme de soumission (mère de l'esclavage). Troisième problème : le pouvoir. Lorsqu'un individu se voit promu, il découvre assez vite son ascendant sur les autres et peut très facilement perdre pied ou se retrouver déconnecté de la réalité. Comme le dignitaire à trop être enorgueilli par la servitude de ses sujets due à son rang au point de finir par trouver cela normal et oublier (en y étant plus confronté) les difficultés citoyennes. Ou le policier endoctriné à instaurer sa supériorité auprès des civils pour rester maître en toute situation, galvanisé par son uniforme qui lui confère une autorité incontestable, un représentant de la grande Loi indéfectible dont il peut parfois abuser dans son intérêt personnel (non pas que ce soit permis, mais cela arrive). Ou le haut bourgeois qui se moque de la précarité des "gens d'en bas". Quatrième problème, cette loi de la jungle est animal (plus instinctive que cognitive) alors que l'humain est davantage « mental » (plus cognitif qu'instinctif) ...même s'il y a encore des retardataires ou des fainéants de l'esprit absorbés par le petit écran, c'est ce qui nous distingue le mieux du monde animal. Le raisonnement. Sur les 197 États reconnus par l'ONU, pas un n'affiche un fonctionnement identique à son voisin. Chacun de ces 197 États a ses propres règles. Il y a beaucoup de ressemblances, de déclinaisons, mais aucun n'est à l'identique d'un autre puisque aucun n'est suffisamment exemplaire pour faire l'unanimité. Les lois sont établies sur base de « Liberté » au lieu d'être basées sur la Vie. Quelle serait une vie sans liberté ? Et c'est précisément cet équilibre là qu'aucun système sociétal n'est encore parvenu à obtenir. Oui, ça progresse, ça s'affine (Sénat, Congrès, Assemblée, …), mais on est encore loin d'y parvenir parce que les fondations ne sont pas les bonnes. Mettre en avant les plus riches, les plus intelligents, les plus endurants, (via médias) ...pour susciter de l'espoir, de l'encouragement (ou de l'aveuglement car les meilleures places sont rares et donc inaccessibles pour la plupart/ mais ça fait rêver, ça endort l'esprit). Immatriculation et ceinture obligatoires, interdiction de fumer dans les lieux publics fermés, obligation de se conformer à la loi, interdiction de se promener nu en rue, confinement planétaire et vaccination forcée, liberté d'expression (uniquement si cela va dans le même sens que les médias et/ou le gouvernement car une censure s'opèrent depuis quelques années sur les réseaux sociaux à l'encontre des lanceurs d'alerte, des complotistes, des dissidents de l'État, le droit de museler ceux qui ne pensent pas « correctement » est devenu applicable) et agir férocement pour intimider, réprimer (police anti-émeute) les mécontents. Cela fait longtemps que les citoyens pensent être libre dans leur pays autoritaire tandis que nous entrons progressivement dans une mondialisation totalitaire. Le monde libre dans lequel nous vivons nous offre des embouteillages massifs (vive la liberté), vide ses océans, épuise ses minerais, grignote ses poumons (forêts tropicales) à l'image du fumeur qui bousille sa santé (belle liberté) et cerise sur le gâteau : modifie RADICALEMENT son climat, son environnement. Plonger l'humanité de demain dans la précarité, c'est ça la liberté d'aujourd'hui ? Un système qui se mord la queue ou voué à s'effondrer n'est pas un bon système. Une civilisation, ce n'est pas autre chose qu'un ensemble de règles et de fonctionnements pour permettre une certaine cohésion entre citoyens. Les règles sont malheureusement indispensables pour obtenir un équilibre et ne pas sombrer dans le chaos. Elles existaient déjà bien avant notre apparition (gravitation, propagation, molécules, cycle de la vie, …). Par définition, une règle ne peut être souple. Du latin « regula » dérivé de « regere » = diriger = indiquer la direction. À quoi pourrions-nous nous attendre en indiquant approximativement la direction ? Comme en mathématique, comme le code de la route, les règles ne sont pas faites pour embêter les gens, mais pour leur permettre de coexister efficacement ( = sans heurt) par delà leur individualité (caractère / humeur / intellect). Comment vivrions-nous s'il fallait assouplir les règles au nom de la liberté, au bon vouloir des gens ? 1+1 = ( au choix ) 1,9 ou 2 ou 2,1 Et les règles d'une BONNE civilisation, c'est un ensemble de conventions (convenues = étudiées-partagées-adoptées) spécialement élaborées dans l'intérêt de tous sans favoriser l'une ou l'autre catégorie d'individus.

[@fredericvandendriessche9910]

Rien qu'en partant d'un constat tout simple : « Nul d'entre nous n'a demandé à venir au monde », pourquoi devrions-nous respecter/subir des règles que nous n'avons pas choisi ?...d'autant plus lorsque ces règles s'avèrent être discriminantes, mais surtout destructrices. Ne pourrions-nous pas être en droit de réclamer, d'exiger un monde meilleur de la part de nos créateurs ? Au lieu de cela, il est prétendu que nous sommes redevables (on a rien demandé-naissance-, mais on est déjà redevable), que nous avons la chance de vivre dans des lieux civilisés (alors qu'il ne se passe pas un jour sans homicide), avec une médecine de plus en plus efficace (mais souvent inabordable, vive les assurances/mutuelles payantes), beaucoup de libertés (mais proportionnelles au portefeuille), des déplacements motorisés (embouteillages-énergivores-très coûteux- polluants-fainéantant), un logement essentiel (très TRÈS coûteux) pour récupérer de l'énergie physique (sommeil, tranquillité, confort). Et puisque les États nous ont si merveilleusement facilité l'existence (onéreuse), nous leur témoignons notre gratitude en restant tous soumis aux taxes et impôts. Tous ! ...sauf les plus fortunés qui eux, peuvent glisser entre les règles (Panama Papers). C'est à croire que les citoyens sont d'éternels enfants vouant une affection ombilicale à des parents-Gouvernements pour décider de leur sort sur des aspects sciemment compliqués que personne ne puisse avoir envie d'en comprendre tous les mécanismes. Combien de citoyens lambda ont lu et analysé un rapport du GIEC ? La plupart des gens ont autre chose faire de leur temps en pensant que des professionnels plus qualifiés trouveront une solution, mais sans être conscient qu'il y a une discordance systémique entre ces professionnels. Pareil pour les fidèles qui s'en remettent au divin pour qu'un miracle survienne au bon moment, alors qu'ils ne font qu'entretenir une illusion en astiquant les œillères de leur esprit étroit sans pouvoir envisager qu'ils sont eux-mêmes une partie du miracle qu'ils espèrent. À défaut de pouvoir exiger ce monde meilleur, ne serait-il pas de notre devoir, de notre responsabilité émotionnelle et intellectuelle, d'offrir aux vies que nous engendrons, une civilisation mieux pensée, mieux organisée, moins pénible, plus équitable, plus juste ? Un monde plus paisible pour tout le monde. Ce n'est pas à nos enfants d'assumer les erreurs des anciens, nos erreurs. Crois-tu que vivre en harmonie avec ses semblables et son environnement puisse manquer de saveur, d'appréciation (aseptique) ? Moi, je pense tout le contraire. Il suffit d'assister à un barbecue sur la plage, une festivité locale, pratiquer un sport d'équipe ou goûter le calme d'une bibliothèque pour s'en convaincre. Ce n'est qu'en assimilant l'entièreté du concept que je défend et toutes ses imbrications, ses mécanismes qu'on peut en évaluer la pertinence. Et c'est de cette assurance, pour l'avoir déjà si souvent confronté à chaque cas de figure, qu'il en ressort une certaine inflexibilité. Toutes les idées que je présente (je n'impose rien puisque je suis profondément réfractaire à l'autorité) sont indissociables pour obtenir un équilibre sociétal optimal et comprendre comment il est possible de se passer d'une oligarchie. Beaucoup de gens s'inquiètent d'un prétendu chaos lorsqu'il est question d'anarchie. Pourtant, l'anarchie au sens propre rompt simplement avec l'autorité dictatoriale. L'absence de décideurs ne signifie pas qu'il n'y a pas de règles. Bien au contraire puisqu'elles sont essentielles à toute construction, à tout équilibre (comme les Forces Fondamentales - Lois de l'univers). Lorsque les règles sont véritablement établies dans l'intérêt absolue de tout à chacun, il ne peut plus y avoir de mésentente ou de discorde. Mais encore une fois, c'est l'inconnue, la méconnaissance ici qui nourrit l'éternelle crainte, cette émotion primale capable d'atrophier les raisonnements. Alors que c'est en affrontant l'inconnu que nous faisons les plus grandes découvertes précédant des avancées majeures. Et dans notre cas, les inconnues sont encore très nombreuses. Colossales. Rien que sur l'aspect le plus global, où notre spectre de connaissance générale repose uniquement sur une portion de l'univers, le fragment auquel nous avons accès de par notre condition. La condition physique, où « coincés » sur un gros caillou, nous observons d'abord avec nos sens. La vue qui nous permet de distinguer, d'interpréter les ondes électromagnétiques lumineuses (380 - 750 nm / 400 - 789 THz) et l'ouïe pour interpréter les ondes électromagnétiques auditives (20 Hz - 20 kHz). Deux sens pour couvrir deux zones d'une même dimension. Est-ce que le goût et l'odorat sont des scanners d'une autre dimension ? Et que dire de la mutation génétique naturelle ? Puisqu'il y a tentative d'évolution à chaque nouvelle combinaison, cela signifie qu'il y a une expérience, un historique ou potentiellement une dimension mémorielle qui nous échappe encore. Ensuite, il y a la condition technique. Les moyens technologiques que nous avons développé pour capter, interpréter et mesurer les zones dimensionnelles que nous ne pouvions pas percevoir naturellement (ondes radio _ 30 Hz - 1 GHz / Micro-ondes _ 1 GHz - 300 GHz / Ultra-violet, infrarouge, atomes, ... ) et une multitude d'outil visant à nous faciliter l'existence. La recherche reste donc essentielle car elle amène le progrès (Pythagore, Archimède, Faraday, Curie, Turing, …) et s'inscrit dans une continuité absolue : l'évolution.

[@fredericvandendriessche9910]

Une évolution de connaissance pour répondre à la nécessité de comprendre l'ensemble des règles et des forces qui régissent l'univers afin de mieux cerner la place que nous occupons (notre rôle s'il y en a un) et les possibilités qui nous sont offertes. Une recherche constante où certaines pistes théoriques sont plus prometteuses que d'autres. Celles qui débouchent sur de nouvelles connaissances (neuroscience, cosmologie, physique des particules, mécanique quantique, …) ou qui élargissent le champ des perspectives, à l'instar des religions qui, pour l'instant, ne sont que des théories irrationnelles tentant d'expliquer ce qui dépasse encore l'entendement pour donner un sens à notre existence. Attention, je ne dis pas qu'il n'y a pas d'entité supérieure à nous. Vu la synergie qui s'opère dans l'univers dont nous faisons partie, il semble assez probant qu'il y ait une origine, une volonté. Et c'est de cette seule probabilité qu'une (ou des) divinité puisse être envisagée sans qu'il s'agisse pour autant d'une divinité. Compte tenu de tout ce qu'il nous reste à découvrir et à comprendre, ne devrions-nous pas plutôt œuvrer humblement en accord avec la Vie pour pouvoir apprécier une existence aussi épanouissante que sereine ? Par solidarité dans le respect de chacun au lieu d'utiliser son prochain, au lieu de rester divisés ( = affaiblis) en jouant les individuels, les territoriaux ( = séparés) ? À notre époque, l'identité nationale n'est rien d'autre qu'un écran de fumé fomenté par des marionnettistes (ceux qui tirent les ficelles) pour asseoir leur suprématie en manipulant les plus crédules. C'est un jeu de pouvoir sournois dont nous sommes toujours les pions, les laissés pour compte, les éternelles victimes. Bien que les différentes initiatives citoyennes soient louables et bien plus constructives que la résilience, que la soumission aveugle, elles demeurent isolées et dérisoires devant l'ampleur de nos difficultés. C'est pour cela qu'il importe de régler le problème à sa racine en annihilant tout joug dictatorial cherchant à satisfaire un insatiable appétit : l'argent ( = le pouvoir). Malheureusement, le changement souhaitable implique de véhiculer à travers le monde, une alternative intelligente capable de répondre aux principaux défis de notre espèce et redonner de l'espoir à cette jeunesse désabusée. Partager le schéma d'une civilisation salvatrice pensée dans le véritable intérêt du plus grand nombre, pour ne pas dire dans l'intérêt de tous. Une civilisation construite sur des valeurs simples pouvant assurer le bien-être de chacun en établissant les fondations sur ce qui nous rassemble, sur ce que nous avons tous de plus commun. Dans l'intérêt de la Vie dont nous dépendons, dans le respect de chaque « vivant » au nom des éventuels secrets qu'il peut encore receler. Trouver le bon équilibre, le « Juste » équilibre entre la nécessité de vivre et les besoins pour y parvenir, la liberté d'exister et les moyens que nous pouvons développer en participant tous à l'individualité de chacun. En construisant l'expérience du vivant, génération après génération œuvrant ensemble à notre évolution. Malheureusement, la mise en place d'une telle civilisation devrait s'étendre de 3 à 8 décennies. Autant comprendre que pour la plupart d'entre nous, il s'agit uniquement de rompre avec les institutions d'un temps révolu dans l'intérêt de nos enfants. Et c'est l'urgence climatique qui nous en offre l'opportunité. Ne sommes-nous pas encore assez évolués ou suffisamment raisonnables pour prendre les mesures qui s'imposent ? La radicalité de mes idées provient d'une très longue et consciencieuse réflexion sur la Vie, notre existence et nos rapports des uns aux autres. Une suite de processus établis entre la nécessité et l'intérêt. Mais je suis toujours à l'écoute des différents avis, des expériences, des remarques constructives et disposé à reparamétrer le concept au besoin. Pour conclure, je tiens à m'excuser car je suis bien conscient que mes propos ici sont encore insuffisants pour y voir suffisamment clair. Cependant, je ne puis en dire davantage sans devoir entrer dans une succession de paramètres qui s'imbriquent les uns aux autres me contraignant à devoir tout exposer. Exercice pour lequel, je ne suis pas encore prêt. Ce qui d'une part, ne convient pas au format actuel (/commentaire/ ...déjà très long) et d'autre part, correspond à une présentation minutieuse, claire et complète. Ce à quoi je travaille actuellement. En te remerciant encore, je te souhaite une agréable journée.

[@lucarnetrange]

Merci, votre exposé est très clair, et a le grand mérite de montrer l'ensemble de la situation et de proposer une vision assez locale (mais pas trop) pour que nous soyons tous ensemble capables d'éviter le chaos en cas de cassure brutale. Concernant la finance, il existe des banques un peu meilleures que d'autres, par exemple, certaines ne financent pas l'industrie pétrolière. Je ne donne pas de nom, mais une recherche sur Internet permet de les identifier (et si chacun déplace son compte bancaire d'une banque immorale vers une banque «éthique», on aura déjà fait un petit pas dans la bonne direction).

[@michelg4272]

Mettez déjà les camions sur les trains ..et pour l eau seule solution usine de dessalement

[@buialine6492]

Wouuaaaaouuuu!!!!! J'ai tout compris 😃. J'ai travaillé en magasin biocoop. Et je m'apprête à visiter un écovillage autonome. Merci cette conférence me remotive.

[@arnaud9515]

J'ai véritablement A. DO. RÉ cette vidéo !!! De l'anecdote, du détail, de l'analyse, le tout avec une excellente diction .... Bref, un sans faute. Merci pour ce travail de qualité, vraiment! Du coup, je m'abonne !

[@reginec.c1231]

Je viens de réécouter votre conférence et me permet un nouveau commentaire. Vous parlez beaucoup de déchets. Or si l'on veut le fameux découplage entre l'activité économique et l'utilisation des ressources, il faut intensifier le recyclage, la rénovation et la sobriété à tous les niveaux, entre autre technologique. Quant aux humains, eux aussi, on peut les recycler. C'est tout de même mieux que d'en faire des déchets humains.(SDF). A ce propose, je ne comprends pas pourquoi on incite les gens à faire des enfants alors qu'on est trop nombreux et surtout pour les mettre sur le trottoir. Il y aurait à actuellement plus de 4000 enfants SDF en France.

[@sol.air.2024]

Je crois, sans en avoir l'espoir, que nous avons besoin que ce soit l'État qui organise : l'État et les Etats dans une coalition : il nous faut un changement d'ensemble piloté par la science, la biologie, et l'agroécologie agro-forestière. En France, on parle de réforme des retraites, on fait des ronds de jambe, des effets de séduction, on se dit meilleur que tous ses prédécesseurs qui n'étaient que des rois fainéants : au fond aura t on eu la place, seulement pour nous prouver à nous-mêmes, que nous pouvions l'occuper ? J'oubliais : on fait des convention citoyenne pour le climat, et pour la fin de vie. Et on dit en anglais : "make our planet great again" pour répondre au grand méchant Trump ! Mais au fond travailler et réussir, est-ce autre chose que savoir défendre sa propre autorité et le prix de sa propre action personnelle aux autres ? Les changements individuels ou même collectifs locaux particuliers sont parcellaires. Répondre à la menace d'effondrement global, c'est investir un changement global, sans garantie de réussir.

[@didierbambou]

Grâce aux moteurs et à l'énergie fossile l'être humain c'est développer en quelques dizaines d'années de façon exponentielle. C'est cela la véritable cause du problème

[@marie-pauleboquet6902]

J'ai beaucoup apprécié sa pédagogie qui rend accessible et compréhensible ce qui est compliqué pour le citoyen un peu informé.

[@jvildebri3448]

Bravo pour cette démonstration. Je suggère de regarder l’évolution de la température terrestre depuis 500 000 ans suite aux carottages des deux pôles par les climatologues du monde entier. Curieux merci de m’expliquer.

[@sol.air.2024]

Merci d'être aussi didactique et clair monsieur Keller. Et bravo Madame @jocelyne bachet, ce que vous faites est exceptionnel ! ET L'ÉTAT IL FAIT QUOI ? 55:00 Nous avons besoin que ce soit l'État qui organise : l'État et les Etats dans une coalition : il nous faut un changement d'ensemble piloté par la science, la biologie, et l'agroécologie agro-forestière. on parle de réforme des retraites, on fait des ronds de jambe, des effets de séduction, on se dit meilleur que tous ses prédécesseurs qui n'était que des rois fainéants, et au fond on aura eu la place seulement pour nous prouver à nous-mêmes que nous pouvions l'occuper ? Ah j'oubliais : on fait des convention citoyenne pour le climat, et la fin de vie, et on le dit en anglais : make our planet great again. Les changements individuels ou même collectifs locaux particuliers ne seront que parcellaires et touché par l'effondrement de masse de toute manière. Vélo, peu de chauffage l'hiver, végétarien : pour le reste, aux limites de ma propre foi, ma foi fait de mon expérience sociale.

[@officielhproductions1176]

bravo , suis completement d'acoord sur l'analyse... bon moins sur la philosophie... Qui a dit que ces espèces devaient être sauvées? (humains inclus) le bilan de leur cohexistence reste un peu mauvvais.. non? on n'est pas obligés d'être anthropocentriste...

[@telliere]

C'est bien beau tout ça mais quand on ne dit pas QUI organise tout ça, ben y'aura jamais de changement. Belle conférence sur les conséquences, rien sur ceux qui les causent

[@fiors73]

Début à 9:53 Minute 12 : Il n'existe non plus pas de prix nobel de mathématiques Minute 18:15 : rapport entre abus de l'énergie ouvrière et non-redistribution des bénéfices : quel est le lien avec le prix du baril ?? Minute 18:33 : vous avez consulté la boule de cristal de Madame Irma Sinon très intéressant, vraiment !

[@jeffparis2419]

Franchement tellement vrai ! Bravo

[@mbrkabdilaahi8767]

Secrar University

[@zietekchristophe7661]

superbe conférence qui confirme encore que les hommes de terrains seront les sauveurs de demain .....respect pour votre travail ,merci de proposer le possible au lieu de créer la peur . merci de diffuser ces conférences nécessaires à tous pour notre instruction

[@rolandedowdell-grout9687]

Nous attendons donc la fin des humains et les guerres, famines ….ce qui sera une bonne chose pour la planete

[@annickallanet4546]

GO .................

[@bernadettetamiz9526]

Merci ,artisan du Nouveau Monde.

[@krisseven8009]

C’est trop difficile a dire qu’il faut développer l’énergie nucléaire.

[@marcjarry3456]

J'aurais aimé voir le cycle naturel carbonne aussi. Jérôme halzan et camille veyre l'expliquais bien

[@mbrkabdilaahi8767]

LimiTe

[@cyrillep7758]

La sobriété ou non consommation est malheureusement utopique. Il faut continuer à espérer.

[@mchristineruffier7366]

Bravo c est tt a fait comprehensible et de belles idees surtout sauver le foncier les terres agricoles...

[@benjaminrodier6902]

Dans 20 ans, tous survivalistes Très pertinant comme conference

[@pysordes]

Excellent jbsay 😁

[@zouzouzozz2316]

Merci d'avoir organisé cette conférence en Bretagne, en particulier.

[@gregorylambin4109]

❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️science est a faire

[@patricepatrice1390]

Très très Intéressant

Rêvez braves gens.

[@aichaoblkhir5662]

Merci merci merci

[@laurencedanieleboesch2717]

Merci beaucoup

[@annickallanet4546]

TOUT EST VIE !🏁

[@leodelpech9532]

c'est vraiment excellent !! merci

[@andregarrigues1128]

Merci👌😏

[@marionthomas8981]

Bonjour Mr Keller. Merci pour votre remarquable travail !!! Une journée pour in-former sur les voies possibles de résistance territoriale ? Proposez-vous cette intervention Mr Keller ? Peut-on vous faire venir une journée pour recevoir votre expertise sur le sujet, puis tenter de mettre en place un projet local de résilience au niveau d'un petit groupe de communes, en Périgord noir ?

[@boup74]

Est-ce que je venir vous rejoindre ? Peut-on se Regrouper ? Je peux vous donner mon mail pour échanger si vous voulez ...

[@Rosesanspourquoi-zj7bp]

Bonjour, j'habite à proximité de Sarlat, je veux lancer un projet : Resilience Terres vivantes en PN. Oui, Rassemblons nous.

[@marionthomas8981]

@@Rosesanspourquoi-zj7bp Bonjour Rosesanspourquoi. Rencontrons-nous 😃 ! Comment se contacter ?

[@aichaoblkhir5662]

Bravo Mr Kelle merci beaucoup de votre Amour universelle pour la planète terre mère et ces enfants

[@marc-andrebrunet5386]

00:03 "Bonsoir Woodstock !" 😂🤣👍Quelle intro !! 37:40 "ça c'est Jésus, et ça c'est vous" Elle m'a fait rire celle-là.