Auto édition ou éditeur à compte d'éditeur : Une alternative l'auto-édition

[@nicolefaure5788]

Je n’avais pas pensé à tout cela.... merci pour cet éclairage nouveau pour moi. Je suis sûr que j’ai encore beaucoup à apprendre, alors j’attends la suite.

[@editions7218]

C’est un plaisir de partager !

[@nicolaspinetarthurmaxrosen5333]

On peut faire également l'expérience de l'édition classique chez un éditeur, ne serait-ce que pour faire l'expérience du comité de lecture... D'en attendre une réponse... Et après-coup décider de l'autoédition pour les raisons que vous évoquez. Beau weekend à vous... Merci.

[@editions7218]

Oui c’est toujours intéressant d’avoir des avis de professionnels.

[@nicolaspinetarthurmaxrosen5333]

@@editions7218 Cyril Morel Hello Cyril... Oui, et cela peut se répéter dans le temps. De toutes les façons, dès que le roman est terminé, il y a une tendance à la précipitation. Tout simplement parce que l'envie d'avoir le baby dans les bras est puissante. Sauf que l'édition est une seconde activité qui demande pas mal de réflexions et de préparations, surtout si l'on s'aventure dans l'autoédition. Parmi les éditeurs, il y a les pros, et d'autres plus ou moins bien improvisés, et l'expérience a été intéressante, car les réponses m'ont encouragé à aller plus loin dans l'écriture. Je vais suivre les vidéos avec grand intérêt. Beau dimanche à vous. Amitiés

[@aubelvincent8303]

Encore plus intéressante que la 1ère vidéo. Merci edition7.

[@editions7218]

Merci, c’est sympa

[@georgesetienne5403]

@@editions7218 Merci pour votre précieux conseil

[@jean-johngonzalevitch1053]

4:22 : "En estimant que vous avez autour de vous une cinquantaine de proches qui veulent vous soutenir, vous pouvez gagner sur le premier mois, sur la base d'un livre vendu à 14 euros, 280 euros." Traduction : editions7 vous offre l'opportunité incroyable de faire acheter votre livre à vos amis et vos parents. Voilà qui fait envie. 4:38 "référencé dans toutes les librairies francophones" Traduction : si quelqu'un entre dans une librairie et demande à acheter votre livre, le/la libraire pourra commander ce livre sur internet et vous l'aurez d'ici quelques jours. Cela ne veut pas dire que le livre sera présent sur les rayons pour que des gens le découvrent. 5:11 "La plupart des auteurs autoédités vendent environ 500 livres par an, en faisant des salons tous les mois" Traduction : la plupart des auteurs autoédités gagnent 2400 euros par an en travaillant à plein temps à la vente de leur livre, là où un auteur édité à compte d'éditeur ne gagnera sans doute qu'une fraction de cette somme, mais pourra avoir un métier à plein temps à côté (et du temps pour écrire) Se faire publier à compte d'éditeur est très difficile, mais l'éditeur a le même intérêt que vous : distribuer au maximum votre livre pour rentrer dans ses frais. Les plateformes d'autoédition n'ont pas ce souci : elles se font de l'argent en vendant des services de correction, de mise en page et de distribution. Une fois l'argent entré dans les caisse, le destin de votre livre leur importe peu. L'autoédition peut être un choix honorable, mais ne constitue pas une solution miracle. Que vous soyez publié à compte d'éditeur ou à votre propre compte, vous ne vivrez de votre livre que si ce dernier devient un bestseller.

[@editions7218]

Vous avez en parti raison ! Sauf pour le temps plein de l’auteur. L’auteur auto-édité travaille quand il en a envi et selon ses objectifs (Dedicaces en librairie et conférences).

[@editions7218]

J’ajouterai que l’auto-édition est bien préférable à l’édition à compte d’éditeur car l’auteur maîtrise son livre de A à Z.

[@jean-johngonzalevitch1053]

@@editions7218 C'est comme dire qu'il est préférable de construire sa maison soi-même, car l'on maîtrise la construction de A à Z. C'est vrai si on est à la fois architecte, maçon, plombier, électricien... De même, s'autopublier, c'est faire le travail à la fois de l'éditeur, du graphiste, du fabricant, du commercial, du comptable... ou payer de sa poche un(e) professionnel(le) pour le faire à notre place. Je ne cherche pas à décourager les gens de se lancer dans l'autoédition, juste de s'y lancer à la légère. L'autoédition n'est pas une "alternative maline" à l'édition classique, c'est l'équivalent de traverser la Manche à la nage parce qu'on ne trouve pas de place sur le bateau. Certains y arrivent, et méritent d'être félicités, mais c'est un exploit rare, la plupart des gens ne dépassent pas la bouée.

[@editions7218]

Thomas Beddok la comparaison n’est pas très judicieuse. Je vais faire une vidéo prochaine pour vous montrer que de grands auteurs ont commencé avec l’auto édition.

[@editions7218]

Thomas Beddok s’auto-éditer est nettement plus simple qu’être maçon ou plombier ! Et si l’on ne maîtrise pas tous les métiers de l’édition, il existe des attache de presse (par exemple) pour promouvoir le livre auprès des médias !

[@plumafeuille]

Oulah.... nop. Pas d'accord du tout. (aspect financier plus bas) Sur l'aspect "un éditeur traditionnel vous demandera de retravailler votre livre" : AUCUN EDITEUR SERIEUX NE VOUS DEMENDERA D'INCLURE DES PASSAGES QUI NE SONT PAS DE VOUS !!! (gros mensonge, Edition7 !) (Ils vont vous payer des droits d'auteurs. Pourquoi vous payeraient-ils un prête-plume en plus ? Si ça devait vous arriver *mais je n'y crois pas* : cet éditeur est un guignol. fuyez. ) Il vous demandera de le retravailler, avec des consignes particulières. Oui. Parce que votre livre peut être meilleur. Tous les auteurs, même professionnels, ont des bêta lecteurs (critiques) qui leur font des retours et suggèrent des modifications avant d'envoyer le livre à l'éditeur. Et tous les auteurs, même professionnels, bénéficient des conseils (et consignes) de l'éditeur pour retravailler leur livre avant édition. Dans l'auto-édition également, vous devrez écouter les critiques et retravailler votre livre selon leurs retours, au risque sinon de voir vos lecteurs reposer le livre après deux pages. La différence est qu'un éditeur sait mieux ce qui marche ou pas (c'est son métier) : il a plus de chance de suggerer des modifications qui rendront votre livre meilleur que votre beau-frère ou votre voisin. Par contre, c'est une discussion : vous pouvez refuser certaines modifications. Il est important de choisir son éditeur, et de savoir dire non si votre éditeur vous demande des modifications qui, à votre sens, dénature votre livre. Vous pouvez n'avoir pas la même vision, après tout ; discutez-en avant de signer. Si votre livre est assez bon pour avoir été accepté par un éditeur, il le sera certainement pour un autre aussi ; sachez être ouvert aux critiques de l'éditeur (c'est son métier d'améliorer votre livre, encore une fois), mais sachez qu'il est possible de dire non. Sur le coté financier : Si vous vendez 3 livres sur 4 en édition classique, vous n'en vendrez pas plus en auto-édition : une fois dans les rayons des librairies, le client ne fera pas de différence (ou à désavantage de l'auto-édition, souvent, parole de libraire). Dans l'exemple, Edition7 indique des coûts d'impression à 5 euros. Si vous éditez 25 livres, vous aurez donc 125 euros de frais dés le départ. Vous en vendez les 3/4 : 19. Sur les 266 euros que les clients ont payé (pour un livre à 14 euros), le libraire en garde 75. Il vous reste 66 euros de bénéfice par mois. la plupart du temps, vous aurez utilisé votre voiture ou le bus pour apporter ces exemplaires aux librairies. 5 euros pour l'essence ou les tickets de bus. Il vous reste 61 euros. Vous avez passé un samedi après-midi à placer vos livres (pour 5 points de vente, c'est très efficace !), et un samedi après-midi à aller vous faire payer vos livres vendus dans chaque librairie. 10h de travail par mois. 10h de travail, au smic, c'est 80 euros. Vous êtes déficitaires de 19 euros sur votre travail fourni ce mois. Si vous replacez autant de livre, en réutilisant 5 des 6 imprimés le mois précédent (l'autre étant endommagé ; oui, c'est courant.), vous gagnez 5 euros par mois. Quand à la vente en ligne, en 2018, une plateforme d'auto-édition en ligne (librinova) annonçait un revenu moyen de 366 euros par an, mais la plupart des plateformes d'auto-éditions annonce des frais de 300-400 euros pour faire les maquettes numériques et papier, parfois la relecture ( jusqu'à 1000 euros pour les services "gratuit" (remboursé par les ventes) chez un éditeur traditionnel.). Votre livre est lu par 240 personne par an, peut-être une centaine de plus grâce à l'édition en ligne (base de calcul à: vous touchez 4 euros par livre vendu en ligne.) Vous avez pris un risque financier. Des chiffres personnels à opposer, Edition7 ? :) En édition classique : Vous envoyez votre manuscript à 20 éditeurs (C'est plus qu'énorme ! 5 à la fois est plus réaliste.) dont la ligne éditoriale correspond à ce que vous avez écrit . Sur les 20, 10 d'entre eux demande un envoi par mail. Vous n'avez donc que 10 envois à payer, à 17 euros l'envoi selon les chiffres d'Edition7. 170 euros, et 10h de travail pour respecter les consignes de soumissions de chaque éditeur. Vous n'aurez jamais rien d'autre à payer ; l'éditeur se charge de faire la (les) maquettes, couverture, résumé, ect . Si le livre marche correctement en version papier, il sera facile d'obtenir une version électronique. Votre livre à 14 euros est édité à 1000 exemplaire. Vous en vendez 600 la première année (la moyenne pour un roman est entre 500 et 800, utilisez google), soit un droit d'auteur de 590 euros (7%) sur l'année ; moins vos frais originaux, 418 euros restants. Vous gagnez 35 euros par mois. Vous ne prenez pas de risques financiers ; si votre livre ne trouve pas son public, vous restez à flot. Vous avez bénéficié d'un conseil, d'un suivit et d'une production professionnelle de A à Z. Votre livre est lu par 600 personne par an. Bilan financier: 1) N'écrivez pas pour gagner de l'argent. 2) Votre livre sera lu par plus de monde avec l'édition traditionnelle, donc vous aurez potentiellement un meilleur départ pour votre second livre. (Pour un second livre, il y a fort à parier que vos frais d'envois de manuscript seront réduits : si votre premier livre a marché, le deuxième sera sans doute accepté plus facilement par votre éditeur, si dans la même ligne éditoriale).

[@editions7218]

plumafeuille vous dites pratiquement la même chose, mais tant que c’est hypothétique, on peut raconter ce que l’on veut. Vous prenez des exemples et je prends d’autres exemples (nombre d’éditeurs). Attention, vous faîtes des fautes d’orthographe !

[@editions7218]

Fautes d’orthographe : pas de « p » à manuscrit et pas de « t » à suivi. Il doit y en avoir d’autres !

[@plumafeuille]

@@editions7218 Nous ne disons pas la même chose. Vous dites qu'un éditeur va probablement demander de dénaturer le texte. Je conteste. Vous dites que l'auteur sera obligé de faire ce que l'éditeur demande. C'est légalement faux. Vous dites que l'auto-édition est préférable car moins chère. Je constate qu'à sevices égaux, l'édition traditionnelle est beaucoup moins chère (le surplus de vente dans l'édition générale générant plus de revenus qu'une meilleur rémunération à l'ouvrage en auto-édition). Vous dites que l'auto-édition est AU MINIMUM deux fois plus rentable que l'édition classique. Si on compare à services égaux, je conteste. On pourrait facilement dire que dans l'adition classique, l'éditeur vous prends 30% pour son travail, et que dans l'édition numérique "gratuite", l'éditeur prends 30% sans faire le travail. Mes excuses pour les fautes, (Vous en faites aussi dans les vidéos aussi d'ailleurs... "il pourrait s'avérer que l'histoire sera dénaturée" / soit dénaturée ), et merci d'avoir corrigé, je réalise que manuscript est en fait le mot anglais !

[@editions7218]

Vous sacralisez les éditeurs (à compte d’éditeur) mais l’éditeur peut tout à fait corriger,retravailler, supprimer une partie de texte. Ex : supprimer des descriptions ou même améliorer le sens des phrases. Chaque auteur sera obligé de tenir compte des corrections.

[@plumafeuille]

@@editions7218 Je ne les sacralise pas, je dis juste que ce sont des partenaires dans le travail du livre. C'est comme dire "je veux élever des enfants comme je l'entends, donc je prévois d'être parent célibataire". Certains seront capable de faire un bon travail seuls, mais la plupart auront besoin du soutien de l'autre pour réussir. (et il faut choisir l'autre avec soin. ^^) Et ce n'est pas parce que l'autre invite aux compromis que c'est mauvais... Quand au retravail, l'éditeur n'a en soi aucun droit de modification sur votre texte. Il peut tout à fait vous dire "Si vous ne faites ce retravail, je ne vous édite pas", mais il n'a légalement pas le droit de modifier votre texte lui-même (sauf à donner son accord explicite) ! C'est donc votre choix que de lui faire confiance ou de lui retirer le projet (et de chercher un autre éditeur ensuite). Vous voyez les corrections comme un mal ; c'est pourtant une étape obligatoire pour un bon livre ! Il est très dommage que vous teniez ce discour à vos auteurs, ça ne les aide pas...

[@patricerasconseil]

SCANDALEUX ! Bourré de contre-vérités : 1 c 'est l'auto-édition qui coute de l'argent (avant de toucher le moindre centime) : vous n'avez absolument PAS besoin d'imprimer votre livre pour l'envoyer à un VRAI éditeur : un pdf suffit amplement, voire une impression sur votre imprimante (comme un dossier). 2 Si vous vous auto-éditez, vous allez devoir TOUT faire, tout le temps et tout SEUL.. ou alors vous allez devoir PAYER un faux éditeur ("à compte d'auteur") qui va vous VENDRE tout le travail que fait un VRAI éditeur gratuitement : les corrections, la mise en page, la couverture, la distribution et la promotion de votre livre... 3 Le livre numérique ne se vend PAS (encore), donc il ne suffit PAS de mettre votre livre sur Amazon ou autre pour que les gens l'achètent... La distribution, la promotion et la vente sont un vrai travail à temps complet, qui nécessite des vrais compétences (que vous n'avez pas). 4 Tous les auteurs auto-édités que je connais (sauf UN) ne vendent RIEN : quelques centaines de livres en xx années... Alors que n'importe éditeur classique va vendre à votre place des milliers de livres... Regardez les auteurs auto-édités (chez....) En connaissez-vous un seul ? Non ! 5 la "liberté d'écrire comme on veut" est une illusion (de l'ego) et une ERREUR : la quasi-totalité des livres auto-édités sont MAUVAIS, voire NULS : mal écrits, mal (ou pas) corrigés, mal conçus, mal structurés... Le livre est un METIER... et ce n'est pas le vôtre ! Pour résumer : à quoi ça sert d'avoir des droits d'auteur importants si PERSONNE n'achète votre livre ? Ou si vous devez consacrer TOUT votre temps pour en vendre une poignée... ?

[@editions7218]

Attendez de voir une vidéo sur les réalités des auteurs auto édités ! Vous serez surpris car des auteurs auto-édités vendent plus de livres que la moyenne des éditeurs !

[@editions7218]

J’accompagne les auteurs auto-édités depuis plus de 10 ans, et tout ceux qui s’en donnent la peine vendent plusieurs centaines de livres ! Et s’ils vendent c’est bien parce qu’ils sont bien écrits et corrigés ! Quelle est cette attitude négativement vis à vis des auteurs auto édités. Chacun fait bien ce qu’il veut ! Vous parlez de mensonges de ma part ! Mais c’est une réalité ! Les éditeurs classiques, désormais regardent les livres édités en version Ebook et démarchent les auteurs auto édités ! Réveillez vous les bons auteurs sont partout !

[@patricerasconseil]

@@editions7218 Vous vendez votre business... Le mensonge, c'est de dire qu'il faut payer (en imprimant son livre) pour se faire éditer chez un vrai éditeur... Alors c'est L'INVERSE : c'est en passant par des pseudos éditeurs (...),qu'ils vont devoir TOUT payer... avant d'être édités ! Les chiffres que vous donnez sont également faux !

[@editions7218]

Patrice Ras Conseil c’est la réalité pourtant !

[@patricerasconseil]

@@editions7218 sûrement pas ! Et comme vous êtes juge et PARTI, vos chiffres sont évidement plus que suspects...