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Ils sont près de 200 disséminés sur une centaine de lieux de vie. Les zadistes ne comptent pas abandonner leur zone à défendre malgré le "Oui" au référendum. Ils annoncent une mobilisation le week-end prochain. En 2012, le gouvernement avait dû renoncer à les évacuer, confronté à des scènes d’une rare violence. Sur place, des militants écologistes, des paysans expulsables ou des activistes de la gauche radicale rêvent de faire capoter le projet de l’aéroport, mais aussi d’une société alternative.