J'offre gracieusement mon fort précieux master recherche en sciences de gestion de l'Université de Dijon, et ma maitrise en gestion économique sociale de Poitiers. , vous-demandez vous ? Pour ma grande précarité hivernale durant ma prospection doctorale en France, pour mon éloignement au Maroc, mesure injustifiée et motivée par apologie de terrorisme, fausse accusation et sans aucun bien-fondé. Savez-vous pourquoi ? L'enquête policière établit que ma simple fréquentation de mosquées tient seulement à ma précarité au souci d'assurer mes vivres et à poursuivre mon doctorat, qu'au vu de l'interrogatoire et les informations me concernant, il n'est aucune implication de nature à troubler l'ordre public, et que, et c'est important de le souligner, je suis un athée et ambitieux chercheur à nul autre et non un bourricot. Mais, qu'importent mes dires devant des myopes tels des taupes. Pourtant, l'expulsion est maintenue et voici maintenant neuf mois infernaux que je macère au Maroc. Savez-vous où ? Au pavé, à la gare de Marrakech, errant l'âme en peine et diplômes à la main. Venez donc vous en emparer, peut-être que cela atténuerait ma souffrance et me fera oublier ma science à jamais. Merci pour la lecture
@jarnicoton86585 жыл бұрын
Pfff, l'esprit de mon cul ! Tenez, j'ai suivi un très bon cursus universitaire à l'IAE de Dijon, couronné d'un master recherche en 2015. Depuis lors, je suis, saviez-vous, en quête d'un putain de directeur de recherche en guise de doctorat, mais peine perdue. Je soumet ma proposition de thèse en long, en large et en travers, n'importe, c'est comme pédaler dans la choucroute. La plupart sont aux réponses exécrables, à perte de vie et à tirer par les cheveux. Sans parler du financement, point sur lequel toutes les écoles doctorales sont de facto à présent très regardantes. Et la cerise sur le gâteau, c'est plutôt Booba, Gad El Maleh, Norman, et d'autres crétins de cet acabit qui sont à l'honneur universitaire et se voient attribués un doctorat honorifique. Il n'en reste pas moins que mon projet de recherche s'avère, relèvent pas mal de professeurs, d'un intérêt épistémique et pragmatique à nul autre. Pas à bout de mes jérémiades, j'ai même voici un mois, saviez-vous, postulé à Paris-Saclay en vue d'allocation doctorale, et avec à l'appui un très bon projet de recherche de plus de 70 pages. 70 putain de belles pages rédigées comme un petit dieu et à la minute près. Pour autant, sur les quelques 17 candidatures passées au crible ne sont tombées que 4, les deux premières à auditionner, les deux autres, dont la mienne en putain de liste d'attente. Seulement, je suis persuadé d'être porteur de l'un des meilleurs projets de thèse en la matière. En l'espèce, par la présente, je ne saurais faire rien d'autre que, et avant de péter quelque part, céder mes dîplomes universitaires. Certes vendrai-je mon master recherche de l'Université de Dijon et ma maîtrise de Poitiers, et tout le tralala ! Tel est le mode de crottin, de connards et de babouins dans le quel je vis. Michel Tarik