Cannes 2019 : débat sur Matthias et Maxime

Discussion de la bande du Cercle autour du film de Xavier Dolan dans l'émission Le Cercle présentée par Augustin Trapenard

[@Mimi0207901703]

De la misogynie chez Xavier Dolan ? Il aime les femmes, les mères, admire leur force et leurs combats comme personne ... j'espère qu'il n'a pas entendu ca je crois qu'il en serait vraiment triste.

[@Cabrouille]

C'est tout le problème aujourd'hui avec les nouveaux médias, on ne sait pas qui ni d'où quelqu'un parle par contre ce qu'il dit doit être pris pour argent comptant. Je ne connais pas cette dame mais elle exprime un sentiment visiblement fort dont l'origine n'appartient qu'à elle. Personnellement je ne tiens pas compte de ce genre d'information car ce n'est que de la pollution de l'esprit, un mirage à mille lieues des réalités de chacun.

[@anywayscinema]

"Quand ça tourne à la misogynie, que tous les personnages de femmes sont épouvantables" Vous êtes certaine d'avoir vu ses films ?

[@cecilemauconduit8239]

Si il y a quelque chose d'absent dans les films de Dolan c'est bien la misogynie

[@artielina]

Grave il nous représente tlmt bien. Suffit de regarder mommy

[@madced1983]

le talent

[@av1914]

La tante de Maxime et la mère de Matthias sont adorables... J'ai pas de la mysoginie nulle part moi. Puis bon, demander à Dolan d'arrêter de faire des films sur le rapport à la mère c'est demander à Burton d'arrêter de faire des films sur le maccabre style carnaval gothique

[@raphaelrazaghichantoiseau7211]

Evidemment, c'est notre palme d’or du cœur en majuscule !!! Bravo Xavier Après « The Death and Life of John F. Donovan » (2018), au scénario et au montage problématiques, Xavier Dolan revient, pour sa part, à son terrain familier et à ses amours de jeunesse, proposant un récit visuel puissant, dans un style naturaliste à la fois brut et poétique. Film à fleur de peau, parfois déroutant du fait aussi de l’accent local québécois, « Matthias et Maxime » retrace l’histoire d’un amour homosexuel qui peine à s’assumer et à devenir réel ; il propose une réflexion douloureuse sur la quête de l’autre. Xavier Dolan, qui se met lui-même en scène dans le film en incarnant l’un des deux personnages principaux, tombe le masque, donne à voir ses meurtrissures, symbolisées par cette tache qui recouvre en partie le côté droit de son visage. La scène du miroir ou celle de l’atelier, vue à travers une embrasure, sont de grands moments esthétiques et cinématographiques. Saluons le courage d’un Xavier Dolan qui refuse la facilité que son succès pourrait lui garantir pour faire l’autoportrait d’un artiste en mal d’être et en recherche d’authenticité et d’amour. bienenplace.com/2019/05/23/cannes-2019-un-festival-a-reveiller-les-morts-et-les-esprits/

[@chillmeii]

ce film est magnifique

[@julienhanin5254]

"Moi ça me ferrait des vacances qu'il arrête" Genre mais WHAAAAT hahaha!!!

[@taraberthier1549]

et en personnage féminin détestable je vois pas de qui elle parle a part la soeur de Rivette. La soeur de rivette ainsi que les meres sont tres caricaturées mais ne sont pas catégorisées comme mauvaises. La femme de Matthias, la copine de Maxime, est ce qu’elles sont « épouvantable » ? Je trouve sa réflexion vraiment pas réfléchie

[@taraberthier1549]

Xavier Dolan misogyne? Disons homophobe pendant qu’on y est !

[@Toado14]

Je cherche la musique du baiser dans la buanderie s'il vous plaît ?

[@benjaminduburcq9893]

Phosphorescent - Song for Zula

[@Toado14]

Merci

[@louislaser7182]

Dolan, faux génie, cinéaste surestimé, films surfaits, bref, œuvre sans grand intérêt.

[@thumettefrelaut1102]

Louis Laser je pense que les médias lui ont donner une trop grande ampleur surtout avec john f doneovan cependant ça n’enlève rien à l’esthétisme des ses films et la beauté des sénarios

[@mz0g]

moi j'apprécie et j'accroche. je ne vois pas pourquoi ton avis et ton opinion devrait dicter l'existence et l'intérêt de toute chose qui ne te convient pas.

[@flipendo93]

Pouvez-vous indiquer quel type de film vous plaît afin d’évaluer ce postulat ?

[@xeliane1670]