Ce que vous devez savoir sur les études et le métier d'infirmier

[@esthertshiamalenge]

En Belgique ce n'est vraiment pas le cas malheureusement! je suis enseignante en haute ecole et le taux d'inscription ne cesse de chuter de 30% depuiis 5 années, il faut savoir que les études en Belgique sont passées en 4 années, et c'est vrai que c'est diversifié en sortant de l'école , on peut travailler aux urgences, en gériatrie, pédiatrie.... je suis interpellée par le fait qu'en france le métier soit reconnu en tant que formation bachelier (universitaire) alors qu'en belgique pas du tout !!! De plus les salaires n'ont pas été revalorisés alors que la durée de formation a augmenté , tous ces facteurs peuvent influencer de façon négative l'engagement des jeunes envers cette profession qui a bcp d avenir,merci pour l entrevue

[@marieekani2683]

dans les hautes écoles, le taux d'inscription chute parce qu'ils ont des critères de sélections insensés je dirai. ils compliquent trop le traitement de dossiers et je pense beaucoup plus aux étrangers, pourtant nous sommes nombreux à vouloir faire cette formation qui est difficilement accessible au niveau des hautes écoles. obligé de se tourner vers les promotions sociales pour 5 ans. merci

[@esthertshiamalenge]

@@marieekani2683 en effet c dommage !

[@samuelabissegue7857]

Combien coûte la formation par an ?

[@esthertshiamalenge]

@@samuelabissegue7857 je crois que c est 400 euros pour une année académique

[@boom16rag]

La reconnaissance du diplôme en France..sur quels critères?

[@boom16rag]

on choisi ce métier pour être utile et prendre soin d'autrui, les différentes dimensions du soin, la diversité d'exercice, donner du sens, la reconnaissance du diplôme, des compétences techniques et transversales, un très haut niveau de responsabilité, la gestion de problèmes et de crises, des formations aux spécialités, l'adaptation en continue, des notions d'autonomie... oui....et non il n'y a pas un monde mais des univers entre la formation (effectivement des cerveaux jeunes et malléables)et la pratique du métier, prendre de soi d'autrui limité au devoir de se "couvrir" (je ne saurais dire si c'est plus vis à vis de la patientèle que des collègues), avoir un diplôme reconnu mais être payé au même tarif qu'un routier ou saisonnier de nuit en coopérative agricole(il n'y a pas de sot métier, mais à compétences et responsabilités égales, on repassera), l'autonomie limitée à l'application du rôle sur prescription et à la toute puissance du médecin comme des cadre infirmier et administratif (à fortiori en cas de pandémie). Je pourrais égrainé ainsi à l'infini mais cela ne reste que des détails. Cette Directrice fait son taf, bon marketing (comment vendre l'invendable). Après 20 d'exercice je quitte le métier, brisé. L'argument fallacieux de la mixité m'a donné envie de vomir, c'est un métier féminin et la misandrie ordinaire détruit doucement mais sûrement...mais ça, ces femmes si "exemplaires et dévouées" ne veulent pas en entendre parler, puisqu'elle ne savent même pas ce qu'est une misandre (si moi je disais ne pas connaître la misogynie en temps qu'homme, je serais cloué au pilori). Concernant la formation, j'ai refusé le bizutage qui soit disant n'était qu'une journée d'intégration, 2 3eme années ont essayé de m'y emmené de force en me disant que "j'allais en chier comme elles en avaient chié", je n'ai donc pas eu de tutorat lors de la formation (contrairement à la totalité de la promotion) et était interdit d'accés à toutes les actions du BDE, entre autres plaisirs. reality vs expectation comme disent les anglais

[@belindabouit2870]

Elle explique tellement bien 👍

[@christellereinessemilandou4701]

C'est un métier de haute responsabilité mais mal payé en France.