Christine Angot - Une semaine de vacances

[@socharlotte6111]

C’est tellement intéressant et cela nous éclaire tous sur la position de Christine Angot face aux pleurs de Mme Rousseau à ONPC. Elle n’écrit pas comme unevictime elle est plus forte que ça !

[@mariannejuhan9845]

Bravo!....bien vu...je n ai pas vécu cette situation mais j ai été papionnee par chaque phrase entendue....très subtil ....le parcours mental évident chez vous.(dans le livre)est il fréquent dans la réalité.?ce serait à souhaiter....merci et respect pour votre talent.

[@anneelisabeth4181]

Merci a la Librairie Mollal pour cet échange d'une grande finesse, intelligence, respect. Merci a cet universitaire qui a parle de lui avec tant de sincerite. Christine Angot, vous etes une femme admirable. Merci , BC Canada

[@philos9997]

Attention à ne pas confondre le titre de ce roman de Christine Angot avec celui de la chanson à plus grand succès du chanteur et acteur de sitcoms ("Premiers baisers", "Les années fac", "Les années bleues") Christophe Rippert "Un amour de vacances" ! Un jour où je ne savais plus quel était le titre de ce livre de Christine Angot je m'étais dit qu'il s'intitulait "Un amour de vacances". Mais non, c'est "Une semaine de vacances" et cela n'a apparemment rien à voir avec la chanson de Christophe Rippert !

[@audepons8801]

La question du consentement comme illusion de vérité devrait interpeler les magistrats et policiers qui ne recherchent que cela pour rendre la soi-disant justice dans toutes les affaires de viol

[@nicolaspinetarthurmaxrosen5333]

C'est le lecteur qui déchiffre, et qui refait l'histoire... Il a la liberté de la page blanche avec les mots manquants. L'écrivain n'explique pas, sinon il n'écrit plus. Christine Angot est écrivain, l'auteure écrit.

[@nadinebaudry4356]

j'aime cette femme et comment elle voit les choses au plus proche de l'humain

[@mrktyb]

Une folle hystérique oui.

[@yed-nadiashihab3748]

Épatante Christine Angot, Suis impatiente de lire votre livre. Merci.

[@christinerichard145]

ces propos sont aussi dures que ces écrits...

[@Eddynamic]

Comme disait un prof de théâtre : "le béton est dur. Ses/ces propos sont difficiles" Oui, mon point de vue rejoint le vôtre sur le plan des difficultés. "Les gagnants du réel", par exemple. Ceux qui ont fait table-rase des mondes intérieurs, à commencer par le leur. Comment s'étonner, ensuite, que je les appelle des "pervers narcissiques". Ils se déconnectent de ce qu'ils sont, pour rejoindre une image sociale, l'image d'un groupe social, alors que chacun est différent. Avec la dimension du "Pas vu, pas pris" dans la situation de cet homme qui fut le père qui ne voulait pas être le père de Christine Angot. Un pervers n'est-il pas narcissique, par nature.?

[@mohamedbenbecher]

Je vous preconise de la lire et vous changerez peut être d'avis ;)