Christophe Bertrand (1981-2010) - Vertigo, concerto pour 2 pianos & orchestre (2008)

[@MegaCirse]

Il y a infiniment plus que des bizarreries au sein de cette architecture sonore biscornue et rebelle. Comme une âme naïve non encore déflorée 🌺🕊️

[@machida5114]

quite good...

[@TempodiPiano]

On dirait la musique que je voulais entendre. C'est le réel auquel je rêvais, celui que le sommeil adoucit et fait fondre par impuissance de faire son travail correctement.

[@jameskulig]

On peut dire que c'est la musique que je ne voulais pas entendre... mais très triste de la disparition du compositeur

[@JohnBorstlap]

Absolutely brilliant. But what is it, that this work conveys? Cold, frightening terror, confusion, 'hard' drama, nightmare. It is a kind of process sound art, using musical gestures and musical scales. The material is not connected through intervallic relationships, but it is the gestures that form the collections of notes. The ear for timbre is astonischingly alert.

[@MegaCirse]

Right .. The musical equivalent of a Salvador Dali painting, Bertrand paints a landscape where all clocks have melted, logic has been transformed and has been deliberately obscured by apparent chance. Listening, what seems to be dissonance is in fact a dense sculpture, despite sometimes a few slobbery digressions, highly worked with polyrhythms and musical themes that agree with the absurd and playful poetry of this composer

[@TempodiPiano]

Ebouriffante voltige, jamais lassée ! A trop prendre cette musique au sérieux, on risque l'hypnose, je pense. Modestie de la complexité, à la brillance explicite, donnant l'impression de pouvoir tout "comprendre". Ça fait presque oublier le malheur de devoir rester vivant. (Je dis ça pour moi pas pour le compositeur mort à 29 ans).

[@TempodiPiano]

C'est le contraire du Cygne de Saint-Saëns.

[@jameskulig]

Forcément, tous les oiseaux se sont envolés depuis un bout de temps!...