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Quand la justice se trompe, elle peine souvent à reconnaître ses erreurs. Si certains fiascos judiciaires nous marquent autant, c’est parce que personne ne se sent vraiment à l’abri d’être accusé un jour à tort . Et Quand la machine judiciaire se met en route, c’est souvent un vrai parcours du combattant pour prouver son innocence. Il faut aussi faire face au regard accusateur de la société, de l’entourage. Face à la calomnie, à l’injustice, à la rumeur et bien souvent à la prison, le combat pour la vérité c’est aussi tout faire pour être réhabilité ensuite.
Olivier Delacroix met la lumière sur des affaires qui ont demandé un courage et une ténacité sans failles à quatre accusés à tort.
La vie de Sandrine, mère de deux enfants, a été bouleversée le jour où elle a été accusée avec son ex-mari d’avoir secoué violemment Hugo, son bébé de 4 mois. Coupable aux yeux des médecins, le couple a été privé de la garde de son enfant du jour au lendemain.
Pascal a été condamné en septembre 2002 à vingt ans de prison pour un meurtre qu’il n’avait pas commis. Parce que le jeune homme timide et fragile s’est accusé du crime après 48 heures d'une garde à vue musclée, il a été reconnu coupable sur la seule base de ses aveux, sans aucune autre preuve.
Mara était promis à une carrière de footballeur professionnel, avant d’être accusé de tentative de meurtre sur des policiers lors des émeutes violentes de Villiers-le-Bel.
Mathias avait une vie rêvée de promoteur immobilier à Bali lorsqu’il a été accusé par ses associés d’escroquerie. Un litige commercial qui l’a conduit à trois ans de détention dans des prisons insalubres de Bali et Hong Kong.
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