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MYSTERES DOULOUREUX
Premier mystère douloureux :
L’AGONIE DE JESUS A GETHSEMANI
Fruit du mystère : Demandons la contrition de nos péchés
Mc 14, 32-42 : « Ils parviennent à un domaine du nom de Gethsémani et il dit à ses disciples : « Restez ici tandis que je prierai. » Puis il prend avec lui Pierre, Jacques et Jean et il commença à ressentir effroi et angoisse. Et il leur dit « Mon âme est triste à en mourir ; demeurez ici et veillez. »
Jésus dit : « La coupe de la volonté humaine présentait à mes yeux une telle amertume et une telle abondance de vices que c'est par rapport à elle que ma Volonté humaine unie à ma Volonté Divine s'écria: "Père, s'il est possible, que cette coupe passe loin de Moi." Comme est laide la volonté humaine sans la Volonté Divine, laquelle, comme dans une coupe, se trouve dans chaque créature! Il n'y a aucun mal parmi les générations dont la volonté humaine n'est pas le principe. Voyant la sainteté de ma Volonté couverte de tous les maux produits par la volonté humaine, Je me sentis mourir. En fait, Je serais mort si la Divinité ne m'avait pas soutenu. J'ai dit jusqu'à trois fois: "Que non pas ma Volonté mais la tienne soit faite". Je portais en Moi les volontés de toutes les créatures, tous leurs péchés. Et, au nom de toutes, j'ai crié vers mon Père: "Que la volonté humaine ne se fasse plus sur la terre, mais la Volonté Divine. Que la volonté humaine soit bannie et que la tienne règne." J'ai fait cette prière au tout début de ma Passion. Car le «que ta Volonté soit faite sur la terre comme au Ciel » était la chose la plus importante à mes yeux. À ce moment, J'ai constitué l'ère du Fiat Voluntas Tua sur la terre. » (T.16-4 janvier 1924)
O Marie, Mère de Miséricorde, Reine de tous les Saints, priez pour nous
Notre Père, Dix Ave, Gloire au Père, prière de Fatima
Deuxième mystère douloureux :
LA FLAGELLATION
Fruit du mystère : Demandons le pardon de nos sensualités et la mortification
Mc 15,15 : « Pilate alors, voulant contenter la foule, leur relâcha Barabbas et après avoir fait flageller Jésus, il le livra pour être crucifié. »
Luisa suivait les Heures de la Passion. Pendant qu’elle accompagnait son cher Jésus dans le mystère de sa pénible flagellation, Il lui apparut avec sa chair en lambeaux. Son corps était dépouillé non seulement de ses vêtements mais aussi de sa chair. On aurait pu compter ses os un à un. Son apparence était horrible. Elle provoquait à la fois la frayeur, la crainte, la révérence et l'amour.
Jésus lui dit avec bonté: «Regarde-Moi bien pour que tu saches la profondeur de mes souffrances. Mon corps est l'image de l'homme quand il pèche. Le péché dépouille l'homme des vêtements de ma grâce. Dans le but de lui redonner la grâce perdue, Je me suis dépouillé de mes vêtements. Le péché déforme l'homme. Il le transforme, de la plus belle des créatures sortie de mes mains en la plus laide et la plus horrible chose qui provoque le dégoût et la répugnance. J'étais l'homme le plus splendide. Pour redonner à l'homme sa beauté, mon Humanité a pris l'apparence la plus laide. Regarde-Moi, vois comme Je suis horrible. Les fouets m'ont enlevé ma chair et ma peau, et m'ont rendu méconnaissable. Le péché non seulement enlève à l'homme sa beauté, mais lui inflige des blessures profondes infectées par la gangrène, laquelle corrode sa personnalité profonde et consume son essence vitale. C'est pourquoi, tout ce qui est accompli dans l'état de péché est sans vie et d'aspect squelettique. Le péché prive l'homme de sa noblesse originale, enténèbre sa raison et le rend aveugle. Pour atteindre la profondeur de ses blessures, ma chair a été arrachée, de telle sorte que tout mon corps n'est devenu qu'une seule plaie. En versant des rivières de Sang, J'ai fait couler mon essence vitale dans l'âme de l'homme pour lui redonner vie. Si Je n'avais pas eu avec Moi ma Divinité, qui est la source ultime de la vie, Je serais mort dès le début de ma Passion. À chaque souffrance qui m'était infligée, mon Humanité mourait, mais ma Divinité me soutenait. Mes peines, mon sang répandu, ma peau en lambeaux furent autant de contributions pour redonner vie à l'homme. » (T.14 - 9 février 1922)
O Marie, Reine des Martyrs, Reine des Apôtres, priez pour nous
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