Extrait de l'acte 1 de La Vie Parisienne "Nous sommes Employés de la ligne de l'Ouest"

[@ZWERKY]

D'accord.

[@nathandurand9977]

Jaime beaucoup. Souvenirs de mon oncle décédé en 2014 qui aimait offenbach

[@jmj4879]

Devrait être diffusée dans tous les TGV ! Bravo !!!!

[@michsturge]

This is the best Vie Parisienne I ever saw. This great opening train chorus is a hoot and normally cut to ribbons. This glorious performance, though, is note complete...obviously based on the new Keck critical score. BRAVO!!!

[@michsturge]

Is this available commercially!!!

[@christophesingio9801]

Ce n'est pas une mise en scène, ça. C'est une mise en espace. Pas un choriste ne sait ce qu''il a à faire. On dirait des morts-vivants, qui errent. C'est pathétiquement lent. Enfin, qu'est-ce que c'est que cette version ? Doit-on rappeler qu'Offenbach a procédé lui-même à de nombreuses coupures. Par quelle liberté les rétablit-on ici ?

[@mavialerysingeldir5819]

La musique d'offenbach ne lui appartient pas en exclusivité. Si il a écrit quelque chose de beau, il est de notre droit de l'écouter (et puis, il était soumis aux goûts de l'époque...) Pour la mise en scène, il s'agit des 2 premières minutes de l'opéra, et c'était peut être un choix de faire une introduction avec des choristes immobiles, puisque les employés de trains servent dans le premier acte essentiellement de décors...

[@gerardcadet3724]

Et puis Offenbach s'il était prompt à couper, il était tout aussi prompt à rajouter (voir les différentes "versions" en allemand, entre Vienne, Bad Ems, et les "françaises des journées et années pôstèrieures) Je ne pense pas que ce soit lui faire injure que de repr,endre ce qu'il avait peut-être coupé parce que les choristes ne parvenaient pas à rendre les effets produits; ou que le public n'était pas prêt à recevoir des opérettes construites comme des opéras avec de vraies parties choristes. Et l'on sait qu'Offenbach aimait l'équilibre : ce choeur d'entrée est bien mieux construit avec toutes ces petites entrées de personnages dont les voix finissent par se superposer pour se redonner sur la liste des villes desservies qui prend alors toute sa valeur. Voyez également donné par la même troupe l'ensemble de "l'habit craqué dans le dos, plus étoffé que d'habitude et bien plus intéressant ainsi; de même dans le finale du trois... Quant à la Grande Duchesse, le finale du Carillon est quand même bien plus intéressant que le premier conservé qui tourne court et fait bâclé, et est bien indigne du grand compositeur qu'est Offenbach...

[@carolinefiorentini3233]

L'atelier lyrique angevin travaille avec Nicolas Bercet musicologue spécialiste des opérettes qui re-orchestre ou produit des œuvres inconnues avec parfois des partitions retrouvées dans des greniers ! Pour avoir chanté dans pas mal de mise en scènes d'opérettes d'Offenbach c'est souvent compliqué car il y a plein de versions différentes avec pour certains airs les partitions orchestrales qui ont disparu. Ainsi on fait des choix en fonction des solistes, choristes et instrumentistes que nous avons et de la longueur ou de la pertinence des airs dans l'histoire.

[@musiquesetoeuvresoubliees1866]

Ça nous paraît bien terne car ça ne bouge pas niveau mise en scène, mais vous auriez été surpris si vous étiez allé voir la Vie parisienne ou tout autre pièce dans les années 1850/1900…ça n’y bouge pas beaucoup plus ! Quand à cette version employée, la coupure a été faite à Paris en 1866 mais figure malgré tout dans la première édition de la partition parue chez Heu. Si nous continuons dans cette lancée des coupures n’ayant pas droit de cité, il faut faire sans le Triolet de Gardefeu, lui aussi coupé.