Bonjour .Réalisations spectaculaires.J’étais au spectacle👍👍 dans les rues de Toulouse ce week-end au milieu d’une foule démentielle .Certains rageux y sont allés de leur commentaires…des abrutis ..tous satanisés🤣🤣🤣serions nous soit disant.
@fenristv2265Ай бұрын
salut Patrick Julien .il y a certaines personnes malheureusement dans ce monde qui exagère beaucoup et qui ne savent pas que c'est avant tout du spectacle . (et rien de satanique) vous savez j'ai us des commentaires sur le satanisme sur plein de trucs il a fallu que j'explique aux gens qu'il ne fallait pas confondre religion et spectacle. j'ai dû leur faire un cours d'histoire. (je vais partager avec toi ce que j'ai dû leur expliquer) il ne faut pas mélanger spectacle et religion ( les deux ne vont pas ensemble) mets comme je disais un autre commentaire tout à l'heure( je respecte vos points de vue) mais il ne faut pas prendre ça au sérieux . oui c'est culturelle mais c'est aussi avant tout du spectacle. et même si ce sont des machines ça émerveille les gens les enfants. je ne pense pas que la religion rentrer dans cette histoire c'est avant tout de la fantaisie . même si dans les écrits on parle de Lilith. il faut voir ce spectacle comme un scénario de film qu'on pourrait écrire .( mais je respecte les opinions de chacun) . (à la base Lilith dans la mythologie) . est un démon féminin de la tradition juive, qui transpose une divinité à l'origine mésopotamienne. Dans les légendes juives qui se répandent au Moyen Âge, Lilith est présentée selon l’Alphabet de Ben Sira comme la première femme d'Adam, avant Ève. Étymologie et origine Une étymologie populaire relie le nom de Lilith à la racine hébraïque laylâ « nuit ». Cette mauvaise étymologie en fait un démon de la nuit. Lilith est en fait la forme hébraïque de l'akkadien lilītu, féminin de lilû. Il dérive du sumérien líl qui signifie vent. C'est à l'origine une déesse mésopotamienne liée au vent et à la tempête. Selon Samuel Noah Kramer, Lilith apparaîtrait au IIIe millénaire av. J.-C. sous la forme lillake dans le poème sumérien Gilgamesh aux Enfers. La seconde partie de ce poème, traduite en assyrien, a été ajoutée en appendice à l'Épopée de Gilgamesh (tablette XII). Au début du récit sumérien, un démon ki-sikil líl-lá-ke s'installe dans le tronc de l'arbre huluppu planté sur le bord de l'Euphrate puis transplanté à Uruk dans le jardin sacré de la déesse Inanna. Le héros Gilgamesh parvient à l'effrayer et le démon s'enfuit dans le désert, lieu du séjour habituel des démons. Il est possible que ce soit la première mention de Lilith même si cette identification est contestée. Dans les sources akkadiennes, les démons Lilū, Lilītu et (w)ardat-lilī dominent les vents. Les démons femelles Lilītu et (w)ardat-lilī cherchent à séduire les hommes. Lilītu n'a pas de mari et ne peut avoir d'enfant. Elle cherche à entrer dans la maison d'un homme par la fenêtre. Elle peut s'enfuir à travers les fenêtres ou s'envoler comme un oiseau. À partir de l'époque médio-babylonienne, Lilith est assimilée à Lamashtu. Elle représente un danger pour les femmes qui accouchent et pour les nouveau-nés. Pour se protéger de Lilith, on doit recourir à l'invocation d'autres démons, notamment le roi des lilû, Pazuzu. La figure de Lilith Dans la Bible Le mot « Lilith » est un hapax dans la Bible hébraïque. La seule référence à Lilith figure dans le livre d'Isaïe (34.14). Dans cette prophétie sur la fin du royaume d'Édom, le territoire d'Édom est décrit comme une terre désolée. Il est habité par des bêtes sauvages et par Lilith. La signification de Lilith dans ce passage n'est pas claire. Les premières traductions grecques de la Bible l'ont rendu de différentes manières. La Septante le rend par onocentaure (créature mi-homme mi-âne). Cette lecture peut renvoyer à la figure de Lamashtu qui peut être représentée assise sur un âne. Aquila transcrit simplement Lilith et Symmaque utilise le nom Lamia qui est un démon de la mythologie grecque. Les traductions françaises modernes optent généralement pour le nom propre Lilith (ou encore Lilit avec ou sans article défini, au singulier ou au pluriel). Dans des traductions plus anciennes, le mot hébreu (ou grec) est rendu par des termes se référant à des créatures mythologiques, démoniaques ou monstrueuses, effrayantes ou encore à des animaux nocturnes à cause de la mauvaise étymologie qui fait dériver Lilith de la racine hébraïque signifiant « nuit » (lamia, sirène, monstre de la nuit, créature de la nuit, spectre de la nuit, chat-huant, hibou, chouette, etc.). On peut ainsi trouver : Lemaître de Sacy (1614) : « Les démons et les onocentaures s’y rencontreront, et les satyres y jetteront des cris les uns aux autres. C’est là que la sirène se retire, c’est où elle trouve son repos » ; John Nelson Darby : « Les bêtes du désert s’y rencontreront avec les chacals, et le bouc sauvage y criera à son compagnon. Là aussi la Lilith se reposera et trouvera sa tranquille habitation » ; Louis Segond (1877) : « Les animaux du désert y rencontreront les chiens sauvages, et les boucs s'y appelleront les uns les autres. Là, le spectre de la nuit aura sa demeure, et trouvera son lieu de repos » ; André Chouraqui : « Les lynx rencontrent les chacals, le satyre y crie contre son compagnon. Là, se délasse Lilit ; elle s'est trouvé un reposoir ! » ; La Bible : Traduction du monde nouveau (2018) : « Les animaux du désert rencontreront les animaux hurleurs, et les boucs sauvages s’appelleront l’un l’autre. C’est là que l’engoulevent s’installera et trouvera un lieu de repos ». Dans le Psaume 91, alors que l'original hébraïque ne mentionne pas Lilith, certaines traductions substituent le terme « Lilith » à la « terreur de la nuit » : « Tu ne craindras ni Lilith, ni la flèche qui vole de jour ». enfin voilà je t'ai fait un peu un history de Lilith mais elle a plusieurs représentations aussi . comme. (Dans le Talmud ).(L'Alphabet de Ben Sira). (Dans la Kabbale).« Fenris bref si tu as eu le courage de tout lire vous avez eu le courage de tout lire je vous remercie.»