Esther Duflo : "Depuis 2019, une globalisation des problèmes auxquels font face les plus pauvres"

Esther Duflo, économiste franco-américaine, Prix Nobel d'économie 2019, professeure au Massachusetts Institute of Technology (MIT) et au Collège de France, est l'invitée du Grand entretien. Plus d'info : www.radiofranc...

[@lamarmottereve]

Pour ceux qui se demandent où trouver de l’argent, le chiffre d’affaires mondial de la pub c’est près de 17000milliards par an Moins de pub est un but d’utilité publique

[@ybarcat6158]

Félicitation Léa Salamé 🎉🎉 Vous avez réussi à vous retenir de couper la fin des phrases de votre invitée pendant 11 minute 🎉🎉🎉🎉🎉🎉

[@sibyllinegobolino9468]

Qui casse paie, cela me semble logique🤷🏻‍♀️. Donc oui, les entreprises polluantes doivent rembourser les dégâts commis dans les pays pauvres qui, eux, ne sont pas responsables de cette catastrophe climatique.

[@bertrandmartin9285]

merci

[@swingnigloo]

Voila la personne idéale pour remplacer Dominique Seux à la rentrée.

[@pochgames6690]

Ou Bruno Lemaire

[@tsuica2799]

Merci.. ✌✌✌✌

[@ghiju6393]

21:38 elle répond pas à la question

[@Saccageguitare]

Encore une qui n'a jamais passé une seule nuit dehors ....

[@khotigieh2281]

Kính xin Allah ban ân phước tốt lành cho các bạn

[@info-bible5674]

Plus de croix huguenote? snif

[@kalIcoeur]

Merci madame

[@passantzen]

Les "principaux concernés" par la taxe mondiale sur les super riches ne sont pas les super riches. Je comprends la formule mais c'est quand même révélateur d'un angle mort dans la réflexion. Nous sommes tous les principaux concernés par ce capitalisme catastrophique qui détruit la vie sur Terre. A la limite, Esther Duflo explique d'ailleurs que les pauvres subissent plus de dommages du réchauffement climatique que les riches. Les "principaux concernés" par cet impôts sont donc bien les pauvres pour qui il est une question de vie ou de mort.

[@cecilehualipal5426]

angle mort dans la réflexion ? Pouvez-vous développer ?

[@passantzen]

@@cecilehualipal5426 C'est ce que j'ai essayé de faire dans la suite du commentaire. Quand Léa Salamé désigne les super riches comme les "principaux concernés" par une taxe sur les super riches, on comprend que c'est une formule mais elle fait oublier le fait que cet impôt nous concerne tous, notamment les plus pauvres pour des questions de survie. La journaliste n'est pas mal intentionnée mais cela traduit un vision du monde très capitaliste, où la vie sur Terre n'est pas considéré comme un enjeu commun. Pourtant elle est en train d'interviewer une économiste qui a passé son temps à lui exposer le problème! Elle a vraiment la tête dure.