Couplet 1 Le silence m’oppresse, les pensées m’assaillent, Je suis seul avec moi-même, chaque doute m’étrangle, Les rêves se fanent, le temps joue au sablier, Chaque grain qui tombe me rappelle que je suis piégé. J’crois plus aux promesses depuis que l’espoir s’est fait la malle, Les sourires en façade cachent des larmes qu’on camoufle mal, On avance, on s’use, les blessures deviennent des souvenirs, Mais les plaies ouvertes rappellent que tout peut repartir. La vie, c’est des coups bas, des fausses tapes sur l’épaule, Des “frères” qui deviennent des fantômes au premier obstacle qui décolle, J’écris pour m’vider, pour survivre à la pression, Parce que les mots sont les seules armes contre mes dépressions. Refrain On rêve de paix, mais le chaos nous colle à la peau, J’cherche des réponses dans la fumée de mes mégots, Parfois j’me perds dans des souvenirs qui blessent, Mais j’continue d’écrire pour que mes peines se confessent. Couplet 2 Les miroirs me rappellent tout ce que je veux oublier, Des visages effacés, des vérités qu’on veut nier, La rue est froide, les regards sont des couteaux, Les échecs s’empilent comme des briques dans le ghetto. J’fais semblant d’être fort, mais j’me connais par cœur, Sous les couches de sarcasme, y’a un gamin qui pleure, Les étoiles sont loin quand le ciel devient gris, J’vise la lune, mais les nuages m’écrasent sous leur mépris. Je suis partagé entre le pardon et la rancœur, Chaque texte, c’est une bataille entre mes démons et mes valeurs, L’amour est rare, la haine toujours à portée, Les cœurs s’usent vite, trop de coups pour les supporter. Refrain On rêve de paix, mais le chaos nous colle à la peau, J’cherche des réponses dans la fumée de mes mégots, Parfois j’me perds dans des souvenirs qui blessent, Mais j’continue d’écrire pour que mes peines se confessent. Pont Chaque nuit blanche me rapproche de mes démons, J’écris des lignes pour que le silence démissionne, Les vérités que j’cache sont celles qui font mal, Mais au fond, c’est dans l’ombre que je trouve mon idéal. Outro J’vais finir par m’perdre si je trouve pas la sortie, La vie c’est des rounds, j’compte les coups comme un arbitre, Je m’accroche à mes rêves comme on s’accroche à la rive, Les mots comme dernière chance pour rester en vie.
@seirapАй бұрын
🔥🔥🔥🙏
@oarstoka5702Ай бұрын
Spécial vision 👁️
@SpeedDemonSquad21 күн бұрын
Titre : "Vertiges des Cimes" Couplet 1 : J’marche sur un fil tendu entre l’ombre et les flammes Chaque pas pèse des tonnes, chaque souffle alimente mon âme La vie m’met des crochets, j’réplique en esquive fine J’traverse des zones minées, chaque rime comme un éclat d'mine Ils rêvent d’riches, moi j’rêve d’impact, qu'chaque ligne laisse des traces Dans ce manège où tout s’efface, j’fais durer l’éphémère qui passe La plume affûtée, j'cisèle des vers comme un artisan d’la lame Chaque mot une cathédrale où mes pensées gravent leurs psaumes J'vois leurs chaînes dorées, illusion d’liberté vendue Le monde est une cage ouverte, mais les rêves restent suspendus J’grimpe des sommets hostiles, le vertige comme compagnon Chaque couplet, un cri d’guerre gravé dans les partitions Couplet 2 : Là où les regards fuient, j’plante mes racines dans l’silence Dans ce désert de vérités, j’suis l’écho qui perce l'absence Chaque note cogne l’crâne, comme un marteau sur l’enclume J’déclenche des tempêtes verbales dans l’vide où les cœurs s’enrhument Ils veulent des punchlines vides, j'construis des vers infinis Chaque syllabe comme un engrenage dans l’horloge de l’infini J’dompte la bête dans ma poitrine, le doute m’tient en laisse Mais chaque mot libère un peu d’moi, chaque phrase devient ma fierté Le système blesse, moi j’cicatrise, j’colle les morceaux brisés Ils voient des murs, moi j’vois des portes prêtes à exploser Dans l’ombre j’forge des armes, les rimes comme des projectiles Chaque tir est chirurgical, l’auditeur saigne mais s’redresse docile Couplet 3 : Les étoiles meurent, mais leur lumière reste en héritage Moi j’veux briller même dans l’oubli, être une voix dans le passage Chaque rime est un tatouage, gravée sur l’peau de l’existence Les blessures s’ferment mal, alors j’écris pour trouver la distance J’ai vu les masques tomber, les faux-semblants brûlés dans l’néant La vérité dérange, mais c’est mon oxygène, mon vent J’suis l’orage dans l’calme, l’éclair dans la nuit profonde Chaque ligne éclate l’cosmos, mes mots résonnent à chaque onde Ils m’disent rêve pas trop grand, mais j’vise les cieux fracturés J’gravite entre les échecs et l’espoir d’un monde épuré Les chaînes craquent sous ma plume, la liberté s’écrit en cris Chaque rime un pas vers l’vide, mais jamais vers l’oubli Couplet 4 : Les murs s’effritent quand j’pose, le ciment s’change en poussière Le monde s’écroule, mais j’bâtis des châteaux dans l’air Chaque rime est une prière, une offrande à l’univers Les échos dansent sur mes couplets, mon âme traverse l’enfer J’dompte le temps avec des syllabes, les secondes deviennent élastiques J’tisse des toiles de mots où les pensées deviennent drastiques Le vertige m’fait sourire, j’aime l’risque, l’équilibre Chaque rime un saut d’l’ange, mes phrases volent entre les libres Ils parlent de cash et d’bling, moi j’parle de l’essence de l’être D’une lutte contre l’vide, d’un feu qui s’ravive dans ma tête J’suis pas un joueur de rôles, chaque mot est une lame de fond Dans l’océan d’leurs illusions, mes vers frappent comme un typhon
@140GANGАй бұрын
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@DrakeDrake-dc5rkАй бұрын
Mental métal J’ai la mental métal Je mani mains droite le phone main gauche ma plume