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Furax Barbarossa - Fumée blanche (Audio Officiel)
Nouvel album "Caravelle" disponible : furaxbarbaross...
©️ 2022 / Jardins Noirs
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#FuraxBarbarossa #Caravelle
Paroles :
Eh, quand j'ferme les yeux, y’a de la fumée blanche
Je vois des formes troubles, est-ce il ou elle ?
Une voix me dit qu'est c'que t'attends Fu, déclenche.
Ton taf c'est faire des trous dans des silhouettes.
J’y vois le bonheur au prix de vagos chères.
On y vend des bagues, on vend des sacs aux chèvres
J’y vois l'humain aigri, s'laisser pousser les griffes.
Et le gamin pousser les cris que font les phacochères.
Eh, quand j'ferme les yeux j'suis pas dans l'noir, délire
Y a un éclair et un tas d'autres, comme des balles qui sifflent.
Cette pute de voix me dit de boire des litres.
Et que l'espoir est un cadeau qu'on ne déballe qu'ici.
Rappe, elle me dit envoie les jeunes loups À Necker.
Mais aux ordres aucun charlot ne m'y verra.
Je les ai pas attendus j'mets des genoux à l'équerre
Depuis qu'j’les amène au sol a la Charles Oliveira.
Quand j'ferme les yeux, autour y’a des cafards massifs.
Ça m’a pas empêché d'tout rater à part ma cible.
Les prods je fais ner-tour et moi je fais des tours, Nan…
Y’a rien pour soigner mes tourments dans ta pharmacie.
Ici ça banane, Rafale, balafre.
Ainsi la vie offre une Sale balade à Falbala.
Cocaïne à foison, Melon, cavale, palaces.
La raison est un poison que l’on n’avale pas là.
Eh, quand j'ferme les yeux, y’a de la fumée blanche
Je vois des formes troubles, est-ce il ou elle ?
La voix dit putain qu'est c'que t'attends Fu, déclenche.
Ton taf c'est faire des trous dans des silhouettes.
Eh, quand j'ferme les yeux, j'suis assis en tailleur.
Je me refais la lutte je revois nos trajets.
Je ne suis plus sur les lieux, je patiente ailleurs.
Entre des malamutes et 2-3 naufragés.
Le tampon de la morgue posé sur nos visas.
S’habituer à la crasse c'était pas dur ou j'allais
Le baiser de la mort déposé sur nos visages.
A laissé quelques traces c'était pas du rouge à lèvre.
Quand j'ferme les yeux mes douleurs me paraissent égales.
Et peu importe le coût de ta caresse dégage
Ton ciel est bleu mais qd je vais rer-pleu, écoute,
Y’a aucun doute , faudra pas rester gars.
Tu m'y verras si tu regardes à terre.
Peu d'espérance mais de gros bails terribles
Ton pote te briefera si t'es retardataire .
Ce n'était qu’une expérience où le cobaye dérive.
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Eh, quand j'ferme les yeux, y’a de la fumée blanche
Je vois des formes troubles, est-ce il ou elle ?
La voix rabâche qu'est c'que t'attends Fu, déclenche.
Ton taf c'est faire des trous dans des silhouettes.
J’y vois le bonheur au prix de vagos chères.
On y vend des bagues on vend des sacs aux chèvres
J’y vois l'humain aigri, s'laissé pousser les griffes.
Et le gamin pousser les cris que font les phacochères.