Thank-you so much for this snippet of video, it's urgent and necessary that this side of our culture-- the oral, the french, the introspective, the reflective--be aired in addition to the music. Let's not forsake our linguistic heritage.
@hawktane14 жыл бұрын
This is awesome. I love his music.
@BlindTom6113 жыл бұрын
Octa was the one i wanted to learn from. In Tokyo! Of all the CDs I bought at Tower Records in Shibuya, his was the one. His playing was perfect. There are many great accordion players of French music but Octa was the only one my ears heard that was...perfect. Thank you for this video. i always wanted to thank your grandfather for his wonderful gift. Tom Quinn
@JamesBrown-zc7xg8 жыл бұрын
This video has me teared up. That generation of Cajun folks are the finest people on Earth. If you've been blessed enough to know one you would understand. If not, I couldn't begin to explain it to you. Always smiling and joking.
@meloderon14 жыл бұрын
Very impressive. Thanks Glen !!!
@jbm074514 жыл бұрын
Thank you!!!
@lacadjine14 жыл бұрын
Bon Dieu! What a pleasure to know this exists! I interviewed your grandparents in the 80s and would love to give you a copy if you're interested. Would you be willing to let me subtitle this in Cajun French to use it for teaching?
@drewry13 жыл бұрын
Merci pour ta vidéo!
@lacadjine3 ай бұрын
Octa: C’est pas rien de vivre vieux, non. C'est jongler. C'est jongler quand tu vas arriver au bout des rangs. Au bout du chemin. C'est ça qui te dérange. Autrement, l’âge, non, non. Mais quand tu connais que ce chemin-là…tu vas arriver au bout-là, quoi ça va d’être…tu vas glisser, je pense. Et c'est ça (que) faut pas tu jongles. Et moi, je vas m’agripper, ouais. Je vas essayer pas glisser, non. Je vas faire Glen me me tiendre. (Il rit.) Hé, Glen ! Glen: Ah ouais. Avec un câble. Octa: Je vas dire: “Attrape moi, Glen !” Quand ça me prend pour jouer-là, que j'ai envie de jouer-là, c'est quand je m'ennuie un petit peu, pis j'ai les blues. Si j’aurais pas l’accordéon-là, et pis il faudrait que je jouerais, je payerais, je payerais 5, 10 piastres-là pour un bougre, qu’a un accordéon pour me laisser jouer. Ça me ferait du bien, ça me fait du bien. Je payerais ça. Et là, quand j'ai fini de jouer, ouais, c'est fini. Mais une chance ça dure pas tout le temps. Des fois, moi, j’aurais le cœur de brailler. Mais, cette affaire de brailler, c'est (que) tu perds trop des larmes. Tes yeux prend (à) couler. Quand c'est fini, là. C'est embêtant.