Рет қаралды 8
[Couplet 1]
Elles s’avancent doucement, le cœur à découvert,
Des larmes dans les yeux, des mots qui effleurent l’air.
Sous leurs foulards légers, les visages inclinés,
Elles portent le poids des mondes oubliés.
Les pierres anciennes écoutent leurs murmures,
Des psaumes en secret, une foi pure et dure.
Leurs lèvres bougent à peine, un souffle sacré,
Leurs prières montent haut, jusqu’à l’éternité.
[Refrain]
Ce sont des guerrières, qui se battent en silence,
Elles portent la paix, comme un bouclier immense.
Au Kotel elles prient, les murs tremblent d’émotion,
Des femmes debout, dans la force de leur dévotion.
Leurs mots invisibles, frappent fort sans un bruit,
Une guerre de lumière contre l’ombre qui fuit.
Elles n’ont pas d’armes, juste un regard levé,
Et leur foi immense qui refuse de céder.
[Couplet 2]
Elles touchent les pierres, les mains pleines d’histoires,
Chaque fissure répond : "Je suis là pour y croire."
Mères, sœurs, filles, ensemble alignées,
Des générations entières à leurs pieds déposées.
Le vent porte leurs vœux vers des cieux éloignés,
Des prières pour les vivants, pour les disparus aimés.
Et dans leur silence, il y a un cri d’espoir,
Qui perce les cieux, bien plus loin que le soir.
[Refrain]
Ce sont des guerrières, qui se battent en silence,
Elles portent la paix, comme un bouclier immense.
Au Kotel elles prient, les murs tremblent d’émotion,
Des femmes debout, dans la force de leur dévotion.
Leurs mots invisibles, frappent fort sans un bruit,
Une guerre de lumière contre l’ombre qui fuit.
Elles n’ont pas d’armes, juste un regard levé,
Et leur foi immense qui refuse de céder.
[Pont]
Leurs dos courbés dans l'humilité,
Cachent une force que rien ne peut briser.
Elles prient pour la paix, pour les murs, pour demain,
Avec une ferveur qui traverse les chemins.
Le monde s’arrête quand elles se tiennent là,
Leurs cœurs battent fort, mais leurs âmes parlent bas.
Entre chaque mot, un miracle peut naître,
Les pierres du Kotel en sont les fenêtres.
[Refrain final]
Ce sont des guerrières, qui se battent en silence,
Elles portent la paix, comme un bouclier immense.
Au Kotel elles prient, les murs tremblent d’émotion,
Des femmes debout, dans la force de leur dévotion.
Leurs mots invisibles, frappent fort sans un bruit,
Une guerre de lumière contre l’ombre qui fuit.
Elles n’ont pas d’armes, juste un regard levé,
Et leur foi immense qui refuse de céder.
[Outro]
Sous un ciel étoilé, leurs prières s’envolent,
Comme des colombes blanches sur les épaules du Kotel.
Elles ne font pas la guerre, elles créent la paix,
Dans leur silence sacré, l’Éternité renaît.