LES MINES DE BERINGEN 1948

LES MINES DE BERINGEN 1948 PROVINCE DU LIMBOURG BELGIQUE

[@outdoorarea8380]

Klasse Film. Danke und Glückauf.

[@fanchette122]

Le dernier charbonnage de Belgique, il a fermé ses portes en 1992

[@wtm7554]

MERCI à vous tous Mineurs, j'ai un immense respect pour vous et votre dur labeur. 👍

[@BELHORIZON31]

il y avait belle et bien des masques et les jets d eau était utilisé alors pourquoi des morts de silicoses?

[@lain_Meier]

la silicose vient pas du charbon amicalement

[@BELHORIZON31]

Alain Meier la poussiere de silice pas du charbon? J en doute

[@CoD62470]

Il faisait très chaud, il fallait beaucoup d'effort physique, allez travailler dans de tels conditions avec un masque qui vous empêche de correctement respirer...

[@lain_Meier]

@@BELHORIZON31 La silicose viens de la silice et la pneumoconiose viens du charbon amicalement

[@petryjosy]

Merci Alain pour ce beau reportage. Josy

[@olivierdelvincourt6330]

non mais, on le croirait ça? Le chirurgien sans gant. Les mineurs sans masque ou mieux masque à oxygène? Etc..

[@michaelmeykens3437]

Mijn grootvader Leopold Meykens heeft hier ook gewerkt

[@mauricecharlesdupont1015]

Ce puits ressemble beaucoup à celui du 13 de Nœux, soit deux puits en un ! En 1946 j'ai travaillé dans ce genre de taille avec desserte par couloirs oscillants, mais nos marteaux-piqueurs fonctionnaient sans eau. Les tailles de faible hauteur l'ouvrier couché dans l'eau aurait été insupportable. Nos collègues mineurs Belges ont apparemment utilisé l'arrosage des points d'émission de poussières bien avant nous? De surcroît pour l'utilisation du piqueur avec de l'eau il est clair qu'il s'agit d'une démonstration, l'ouvrier a le regard bien souvent dirigé vers le photographe !.A ce que je vois il y a déjà une haveuse ce que nous n'avons eu qu'aux environs de 1949/50 et l'outil de coupe est engagé mécaniquement dans le charbon. En position de travail cet outil (nous l'appelons un bras) doit être perpendiculaire au corps de machine. Ce qui au cinq d'Auchel nous contraignait au pied de taille à creuser au-marteau-piqueur, une niche, pour à la main mettre ce bras de coupe en position de travail. Et, nous n'avons eu des étançons qu''en 1950 et peu de temps après les rallonges articulées. J'ai vécu ce passage du soutènement tout en bois pour ensuite participer à l'évolution du soutènement métallique.. Je souris en voyant modeler l'argile pour en faire des bourres, roulées en forme de gros cigares, travail que je faisais encore galibot. Pour faire exploser la roche lors du creusement de galeries. Pour ce faire . il faut dans cette roche percer de nombreux trous dans lesquels on introduit des bâtons de dynamite, le premier est pourvu d'une amorce avec les deux fils conducteurs qui sortent du trou et pour maintenir ces bâtons ou cartouches de dynamite bloqués dans ce trou on bouche ce dernier à l'aide de bourres en argile, celles ci sont tassées avec un bourroir ! Avant d'introduire l'explosif il faut d'abord s'assurer à chaque trou qu'il n'y a pas présence de grisou ! Le boutefeu est seul juge de la décision de déclencher ou pas l'explosion. Bonne vidéo, cependant je suis surpris qu'en 1948 mes collègues Belges aient déjà atteint un tel progrès dans la mécanisation des tâches, ou alors c'est nous qui étions vraiment en retard ? Non seulement nous n'avions pas encore l'eau dans nos chantiers du fond mais pas encore non plus de chargeuse Eimco

[@fanchette122]

Même en Limbourg