Henry Purcell (1659-1695) : « Cold Genius Song »

[@anne-mariegallet5505]

Magnifique

[@funkyfunkyboumboum]

Merci d'avoir aimé et de l'avoir signifié, Anne-Marie.

[@elianavarro3793]

Lovely, am fan of the incredible semi-opera fragment!!

[@funkyfunkyboumboum]

Thank you, Elia, for sharing with us this feeling. This "song" is truly great, being an opera's aria but also a song we could hear on our average radio. This makes the singer's responsability greater, and Michaël Koné-Saki is not afraid of this kind of responsability!

[@silviacarta3360]

Assolutamente magnifico. Ma assolutamente non adatto. Grazie.

[@funkyfunkyboumboum]

Merci pour votre message. Mais, à titre de curiosité, à quoi cette proposition n'est-elle pas adaptée ?

[@jlp8573]

c'est une performance honorable, malgré quelques prononciations hasardeuses ("thou" bien frenchy, "to bear" prononcé "beer" 😅; ...) Pour référence, écoutez Scholl ou Nomi, entre autres .

[@toupanceannie9857]

le meilleur est quand même Klaus Nomi

[@martinbanks7686]

Begob sir and you’re a stickler.

[@VADORT]

PURCELL DIED AT 36 AND KLAUS NOMI DIED AT 39 ..... as GENIUS COULD N T LIVE LONG

[@funkyfunkyboumboum]

Dear Dark, Thank you for your recording. Life is short, that's for sure, but music for a while shall all our cares beguile. That's something (for a while)...

[@giacomolaurivolpi8693]

Vos attaques manquent de précision. Si vous voulez de belles attaques, travaillez les dans la surprise. Comme quand vous etes surpris d'entendre quelqu'un dire quelque chose: Ex: " ...Ah, oui.." Ce millième de seconde entre la fin de l'inspir et l'attaque vous donne l'accolement parfait, dans un parfait équilibre, sans surpression, sans poids sur le larynx. Pour le contre tenor, c'est indispensable. De plus, attaquer comme cela, en faisant des crescendo diminuendo, va vous donner un équilibre phonation résonance impeccable, sans aucune surpression. Bravo sinon.

[@Zacharie17]

Bô

[@funkyfunkyboumboum]

Merci pouce qu'on m'enterre, Zacharie !