L'idée de la psychanalyse est bonne sur le fond. Un élément du passé de la personne pose problème. Par contre sur la forme c'est une absurdité totale, soit n'écouter que la seule personne qui ne pourra pas en parler, c'est même un comble absolu. L'inconscient, c'est deux entités distinctes, ce que ne sait pas la psychanalyse et donc n'en tient pas compte. Un affect négatif, pour qu'il ne puisse advenir de nouveau, a été le point de départ d'une adaptation de l'une des deux entités, adaptation mise en place mais qui en fait produit un autre problème. De plus, toujours pour protéger la personne, cette entité va empêcher cette personne de repenser à l'affect négatif, de le revivre par mémoire, et donc logiquement d'en parler mais aussi d'entendre quelqu'un, là le psy, en parler, sinon colère immédiate, à la suite de laquelle elle ne se souviendra pas de ce qui aurait été dit avant, et avec une soudaine envie, inconsciente donc mais bien réelle, de ne plus jamais revenir voir ce psy, d'où l'absurdité que j'ai nommée. Les psys les moins mauvais seraient ceux ayant perdu tous leurs patients. L'autre entité de l'inconscient, qui gère d'autres choses et plus générales, est au courant du nouveau problème généré par l'adaptation en question et c'est elle qui tend à ce que ressorte l'aspect négatif, mais de façon indirecte, puisque la personne ne peut en avoir conscience. Là on touche le problème de l'humain. L'inconscient est le cerveau d'origine de l' humain composé de deux entités distinctes ayant chacune leurs tâches définies bien que travaillant au même but. Pour que cette complémentarité soit efficace ces deux entités ont un besoin crucial de communiquer entre elles. Sauf que chez l'humain cette communication est rompue, au moins dans un sens, et ne peut être rétablie, d'où un dysfonctionnement de l'ensemble, et de leur l'adjonction de la conscience, soit nous, entité de secours, sorte de cerveau bis mais virtuel, censé comprendre le dysfonctionnement et aider l'entité au courant du problème à en pallier les conséquences négatives pour l'humain. La conscience, nous donc, est persuadée qu'elle est l'humain et qu'elle le dirige, ce qui est faux, veut le contrôler et ne tient pas compte des informations que lui envoie en permanence l'entité au courant du dysfonctionnement qui gère le corps de l' humain et qui a toute latitude pour le faire. Sans non plus voir que l'entité qui réalise les adaptations la manipule, peut même l'anesthésier, lors de la colère dont j'ai parlé par exemple. Le nouveau problème a toujours à voir avec l' Amour, dont je connais depuis 18 ans, c'est assez long, les deux conditions nécessaires pour qu'il soit généré chez et entre deux personnes par l'entité au courant du problème et gérant le corps. J'ai aussi constaté aussitôt à la suite de cette connaissance que l'entité responsable des adaptations, pour l'une d'elles, chez plus de 99,7% des personnes interdisait cet Amour qui ainsi demeurait inconnu de cette personne incapable de le "voir" et donc de le vivre. Je ne sors rien d'un chapeau, 18 ans ce n'est pas rien quand on détient une connaissance si importante. Je ne publierais rien sans une preuve infaillible et guère discutable, je n'ai guère envie de devenir le Copernic de ce millénaire, déjà que je suis un peu polonais, ma mère étant née en Pologne.
@vitoroliveirajorge3682 жыл бұрын
Oui, mais la chose est plus complexe et profonde. Il faut étudier bien LACAN.