La conquête de la lune, une fabuleuse histoire spatiale | Archive INA

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Inf2 dimanche | ORTF | 03/12/1972
Ce reportage retrace l’histoire de la conquête lunaire de la NASA. Neil Amstrong et Buzz Aldrin ont foulé le sol lunaire le 20 juillet 1969. La rivalité entre les USA et l’URSS pour aller dans l’espace est racontée par François de Closet. Le sujet évoque les échecs des missions Apollo, mais aussi les réussites. Après la lune, la NASA souhaite conquérir la planète Mars. Mais en 1972, le programme lunaire s’arrête définitivement.
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#INA #Histoire

[@ousmanesarr6290]

Intéressant !

[@denisclouard569]

il était beau de rêver en 1972 , mais actuellement, nous sommes encore loin de la réalistion de tous ces projets, car il faut rentabiliser chaque projet. Il manque la musique de "il était une fois ... l'espace".

[@flyingnymphea88]

la '' fabrication '' s'est globalisée et seuls les vendeurs de rêves jubilent ;)

[@Din-nz9tl]

La différence c'est qu'à l'époque c'était une course à l'espace entre les USA et l'URSS, chacun n'hésitait pas à dépenser des dizaines de milliards pat ans pour dans le fond ne récolter que du prestige. De nos jours, plus aucun pays, ni les USA, et même la Chine, ne sont prêt à mettre autant d'argent d'un seul coup alors qu'en bas le chômage de masse et le déficit font rage.

[@nicolaslecam8692]

Hélas, aucun vaisseau n'est parti pour Mars le 2 novembre 1981. Pas plus d'ailleurs que la mission vénusienne qui aurait dû se faire en 1973-74. Et ça a été au point que la NASA a dû se résoudre à annuler les trois dernières missions lunaires prévues (Apollo 18, 19 et 20) alors que l'essentiel du matos était déjà prêt pour.

[@pascalxavier3367]

J'aime bien: Le voyage vers Mars était prévu en 1981; 40 ans plus tard, il n'est toujours pas possible.

[@nicolaslecam8692]

Faute de volontés politiques et de soutien populaire. C'est le problème du vol habité, vu le prix que ça coûte, on est obligés d'attendre que les étoiles s'alignent (c'est le cas de le dire) pour que le contexte permette qu'on le fasse.

[@sasukefree8763]

Si vous voulez compléter vos connaissances sur la liste d’aberrations des pseudo-missions Lunaire vous pouvez les développer davantage, par exemple le sujet des pierres de Lune est traité au time-code 42;46 d’American Moon de Massimo Mazzucco visible sur odysee Le soupçon du braquage de la Nasa des supports média de la pseudo-mission apollo 11, est au time-code 1;31;44 de la même enquête de M. Mazzucco

[@T0m1789]

C'est marrant comme le Service Public et ses administrations lourdingues ne dérangent plus du tout François de Closet, dès lors qu'elles lui fornssent subsides et sujets.

[@christoohunders5316]

Voyage vers Mars en 1981, ils avaient donc prévu l'arrivée de Mitterrand ? lol Plus sérieusement un détour par Vénus ? Quel intérêt pour un vol habité ?? Avec plus de 400 degrés en surface, je vois pas trop ce que des astronautes iraient faire sur place !

[@nicolaslecam8692]

L'intérêt pour un vol habité c'était déjà de diversifier les objectifs d'exploration avec les mêmes technologies disponibles pour Mars. Si on peut faire plusieurs choses différentes, ça amène des domaines scientifiques supplémentaires et rend un peu plus facile une pérennité du programme. Dans cette idée-là, on pouvait donc gagner de nouvelles connaissances sur DEUX planètes avec le coût d'une seule mission. Mais il n'était pas question évidemment de se poser sur Vénus, il aurait s'agit juste d'un survol avec observations et largages de sondes durant une période de quelques jours. D'une part, comme Vénus est plus près de la Terre, sur une mission spécifique ça aurait permis de tester la faisabilité d'un vol lointain sur la santé et la psychologie des astronautes avec quelque chose de plus court qu'un vol martien. D'autre part, une exploration limitée au survol aurait pu déboucher ensuite sur, pourquoi pas, des vols jusqu'à l'orbite afin d'avoir une vraie exploration plus poussée. Certes depuis 500 km de la surface de la planète mais tout de même, avec l'instrumentation disponible c'aurait été sans doute très intéressant.