Allain Leprest sur la petite scène du Limonaire à Paris, le 18 septembre 2000, accompagné par Jean-Louis Beydon au piano. Paroles d'Allain Leprest et musique de Léo Nissim. Les images sont de Raphaël Caussimon.
Пікірлер: 14
@brigittedemaret82652 жыл бұрын
J'aime sa façon d'aligner des mots pour en faire un texte d'une grande qualité... Sa voix , son physique a la brel. Il a " Morfle... Physiquement au long des années... Tristesse malgré heureuse de l'entendre... Brigitte☀
@carolinecallu802 Жыл бұрын
❤
@lauriolan4 жыл бұрын
J'ai eu la chance de voir Allain Leprest dans un café concert près de Lyon, peu de temps avant sa mort! ... Un souvenir inoubliable et l'exemple le plus parfait d'un génial poète à l'âme consumée qui a tant donné pour son art... et cette façon si entière d'interpréter ses œuvres qui n'est pas sans rappeler jacques Brel...
@remi-tl5lp5 жыл бұрын
Vraiment Allain Leprest m'émeut à chaque chanson, je le découvre depuis peu et jamais une chanson ne m'a laissé indifférent. Indifférentes! clin d’œil à Saravah et à Jean-Roger Caussimon un poète parmi les poètes. Merci.
@loup57654 жыл бұрын
J'en aie des larmes, merci...
@gocagar8 жыл бұрын
Connu au limonaire une décennie plus tard. Bouleversé. MERCI pour la vidéo
@sauveurarrechea19613 жыл бұрын
Magique
@agnesmatthysecolesupduchie44948 жыл бұрын
J'aurais adorée le voir au Limonaire! J'y ai vu loic Lantoine, une filiation en quelque sorte ;)
@huguesdelpech15674 жыл бұрын
Une etoile ds le ciel
@jacquelinesoussouy50303 жыл бұрын
Je ne sais pas si il a chanté à l'Olympia lui .... IL AURAIT EU SA PLACE !!!
@cedric482144 жыл бұрын
Il est un peu Brel / Ferré / Brassens ... pourtant pas comparable il manquera à tout jamais son visage sur l'affiche
@arramyevelyne65357 жыл бұрын
J'étais un gamin laid Allain LeprestJ'étais un gamin laid Qui serrait des cailloux Dans sa main sans ami Sale comme un balai Gonflé comme un biniou De gros mots et de bruits Avec un pansement Que j'appelais maman Les jours de pas de chance Un grand sabre en papier Au ciseau découpé Dans un Huma-DimancheJ'étais un jeudi vide Qui léchait des carreaux Aux lucarnes des chambres Sur des feuilles humides Plongeant son cœur idiot En habit de scaphandre Papa s'appelait papa La rue s'appelait pas Elle venait toute seule Lancer sous la fenêtre Quelques refrains à naître Des taches plein la gueuleJ'étais un gamin vert Arrivé en soucoupe Dans un hôtel du Nord Dix ans après la guerre Deux heures avant la soupe Trop tôt avant sa mort Coulé dans le ciment Coincé dans ses volières Qu'on tresse pour vriller Héréditairement Aux saisons ouvrières Les enfants d'ouvriersEt ce que je raconte Dans tout ce qui remonte C'est peut-être pas vrai Je suis né au hasard Nu dans la même gare D'où je repartirai Sans avoir jamais su Si j'étais attendu Si j'ai fait bonne route Si j'étais un pékin Qui attendait quelqu'un Sans que quelqu'un s'en douteSans avoir jamais su Si j'étais attendu Si j'ai fait bonne route Si j'étais un pékin Qui attendait quelqu'un Sans que quelqu'un s'en doute
@lauriolan4 жыл бұрын
Merci pour ce beau texte! J'ai eu la chance de voir Allain Leprest dans un café concert près de Lyon, peu de temps avant sa mort! ... Un souvenir inoubliable et l'exemple le plus parfait d'un génial poète à l'âme consumée qui a tant donné pour son art... et cette façon si entière d'interpréter ses œuvres qui n'est pas sans rappeler jacques Brel...