"Je suis maîtresse en petite section et je vois bien que l'éducation des enfants change" - Marie

Avec Didier Pleux, psychologue, psychothérapeute et auteur de plusieurs ouvrages, dont « On aime comme on a été aimé » avec Brigitte Lahaie aux éditions La Musardine et de « Comment échapper à la dictature de notre cerveau reptilien » aux éditions Odile Jacob.
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[@catherine2784]

Etes vous au sujet de l'instauration de l'éducation sexuelle dès la maternelle . Un scandale en route . Je vous invite à suivre Ariane Bilheran et d'autres psychologues le 13 Mai a Paris en colloque pour prévenir les futurs dommages ! Alors qu'il y aurait déjà de l'éducation tout court à mettre en place .

[@objet6022]

Le chaos est en route .....là ,c'est juste un avant gout !

[@hankhulator5007]

Chalut, sèpuki avait donné un descriptif facilement compréhensible pour les parents (enfin, pour ceux qui veulent bien faire les efforts voulus…), l'enfant commence dans son parc, où l'espace est réduit, puis, quand il commence à marcher, il passe du parc à la maison, puis au jardin, etc - arrivé à l'adolescence, son terrain est beaucoup plus large, mais toujours clôturé dans certaines directions et il faut y revenir à l'heure convenue - enfin, il est prêt à prendre son envol et c'est l'élargissement progressif de son domaine d'action, surveillé, voire réprimé s'il le faut, qui lui permet de déployer ses ailes. La métaphore est jolie et correspond à une réalité qui devrait-être la norme. Laisser la bride sur le cou d'un cheval fou n'a jamais donné de bons résultats, sauf exception, mais toujours desservi à la fois l'enfant et ses parents, ne serait-ce que parce que dans un tel cas, certaines portes se ferment instantanément dès qu'il se découvre tel qu'il est vraiment. LE problème, en dehors des incivilités couvrant l'enfance à l'adolescence, est justement quand de petits sauvages sont relâchés en rase campagne, car lorsque l'on a pas la retenue ni les valeurs nécessaires, tout peut arriver, malheureusement surtout aux autres… Et ça n'est certainement pas le laxisme policier et surtout judiciaire dans ce pays qui va arranger les choses, alors que diverses "expériences" un peu partout dans le monde ont montré sans ambage que si une juste punition tombe immédiatement, le tir peut être corrigé. Dans l'état actuel des choses, il va falloir au minimum une génération pour que les choses reviennent à la normale, si elles y reviennent jamais, parce que c'est loin d'être gagné d'avance - dans ces conditions, on comprend mieux pourquoi des tas de familles, très souvent avec des enfants jeunes, quittent définitivement le territoire, l'herbe étant plus verte presque _partout ailleurs._