Karpatt - Salvador - Officiel

[@rytospar1731]

She was one of those women that you looked into the eyes When she told you her route as the rules of a game She was not that old, she had on her back The weight of the thousand sorrows of SUSHITOTO's women She was one of those mothers you look at from below No easier, no more proud, that we used to listen to and that's it She was hidden there on this side of the border 'Cause she chose to stay to resist in her own way Welcome to Salvador, small country "que calor" Stuck between south and north She was one of those women whom everything was taken from The smile, the tears, it was in another life Now she brings together the women of her neighborhood Once a week to go running On the roads where she used to walk her children Now it's war, bullets get lost though It is with the courage of those who have nothing left to lose That they run proudly in the streets Welcome to Salvador, small country "que calor" Stuck between south and north She was sentry with this little bird Of the colors of the sun that she paints with a brush On the door of her house to tell all these people I suffered like you, but I stay ahead In front of the fools who damaged us By stealing the tears that were intended for them Because it is in the misery of our country that weeps That through my drawing I say : "I am not afraid"..... Source: Musixmatch Lyricists: Frederic Rollat ​​/ Hervé Jegousso / Gaetan Lerat Words of Salvador © Raoul Breton Editions

[@rytospar1731]

Paroles Elle était de ces femmes qu'on regarde dans les yeux Quand elle raconte sa route comme les règles d'un jeu Elle était pas si vieille, elle avait sur le dos Le poids de 1000 chagrins des femmes de SUSHITOTO Elle était de ces mères qu'on regarde de dessous Pas plus facile, pas plus fière, qu'on écoute et c'est tout Elle était planquée là de ce côté de la frontière Car elle a choisi de rester pour résister à sa manière Welcome to Salvador, petit pays que calor Coincé entre le sud et le nord Elle était de ces femmes à qui l'on a tout pris Le sourire, les larmes, c'était dans une autre vie Maintenant elle regroupe les femmes de son quartier Une fois par semaine pour aller faire de la course à pied Sur les routes où naguère elle promenait ses enfants Maintenant c'est la guerre, les balles se perdent pourtant C'est avec le courage de celles qui n'ont plus rien à perdre Qu'elles courent fièrement dans les rues Welcome to Salvador, petit pays que calor Coincé entre le sud et le nord Elle était sentinelle avec ce petit oiseau Aux couleurs du soleil qu'elle peint au pinceau Sur la porte de chez elle pour dire à tous ces gens J'ai souffert comme vous autres, mais je reste devant Devant les imbéciles qui nous ont abimé En nous volant les larmes qui leur étaient destinées Car c'est dans la misère de notre pays qui pleure Qu'à travers mon dessin je dis " Je n'ai pas peur " Source : Musixmatch Paroliers : Frederic Rollat / Hervé Jegousso / Gaetan Lerat Paroles de Salvador © Raoul Breton Editions